Non mais ta charité, tu peux te la mettre ou je pense !
Et tes jugements de valeur à la même place tant qu'à y être...
C'est pitié de lire de telle choses ...
Comme c'était pitié de lire ta remarque sur les femmes battues...
Après plusieurs jours d'absence et un super partage de Noël, je lis ce fil, et trouve ses dérives .... Minables !
Qu'un acteur qui se barre avec son pognon nous embarque dans de telles diatribes à la limite (dépassée) de l'insulte ... c'est triste !
Etonnant à quel point on peut se "mal renconter" .... et sombrer si vite dans le jugement de valeur !
Qu'un acteur qui se barre avec son pognon nous embarque dans de telles diatribes à la limite (dépassée) de l'insulte ... c'est triste !
Etonnant à quel point on peut se "mal renconter" .... et sombrer si vite dans le jugement de valeur !
Comme c'était pitié de lire ta remarque sur les femmes battues...
Dirlandaise, n'est ce pas toi qui a hurlé quand j'ai lancé un forum à partir d'un livre traitant des femmes battues ?
Je ne te comprends plus là !
Bon, OK, j'ai bien conscience d'être nulle et bêtement revancharde et ... minable, après ma déclaration ci dessus ! Mais ça fait du bien de temps en temps ......
Pieronnelle, bravo pour ton courage !
Le rat, Spirit et quelques autres : Merci à vous d'apporter un peu de fraicheur dans les invectives !
...
Pieronnelle, bravo pour ton courage !
Oui parce qu'avec le bruit des bottes qui claque autour d'elle il en faut.
lolll
Une pièce intéressante à verser au dossier Gérard Depardieu.
(A NE SURTOUT PAS LIRE PAR CEUX QUI N'AIMENT PAS LES DIATRIBES) ;-))
Lettre ouverte de Thierry Afschrift Professeur de droit fiscal à lULB
_____________________________________________________________________________
Bienvenue à vous, Monsieur Depardieu.
Cher Monsieur Depardieu,
Vous avez choisi l’exil en Belgique, comme avant vous, Victor Hugo, Paul Verlaine ou Eric-Emmanuel Schmitt.
Vous avez décidé de « voter avec vos pieds », comme des millions d'Allemands de l’Est, de Polonais, de Hongrois et de boat-people vietnamiens, qui, eux aussi, fuyaient un État hostile.
Certains critiquent les motifs de votre choix : à leurs yeux, devoir payer 85 % d’impôts sur le fruit de son travail n’est pas un bon motif d'exil.
Ils ont tort.
Vous avez compris que la France d’aujourd’hui vit sous le despotisme démocratique que Tocqueville avait prédit :
« Un pouvoir absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux (qui) couvre la surface d'un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes. Il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète ».
Vous savez maintenant qu’il y a des dictatures sans tyran, des oppressions sans Stasi, des inquisitions sans bûchers.
Vous tournez le dos à un système qui vous déteste, à cause de votre talent, à cause de votre esprit d'entreprise, parce que, égalitariste, il repose sur l'envie ; comme le disait Ayn Rand « ils ne veulent pas posséder votre fortune, ils veulent que vous la perdiez ; ils ne veulent pas réussir, ils veulent que vous échouiez ».
La France, orgueilleuse de sa révolution de 1789 n'a cessé, dès la Terreur et bien après, d'attribuer les pouvoirs absolus du monarque à des abstractions nommées Nation ou République. Un pouvoir élu certes, mais absolu parce que sans limites autres que celles fixées par l’État lui-même.
C'est pour cela que le Pouvoir détestait le bouclier fiscal : il fixait un plafond à la faculté, qu’en France on veut illimitée, de lever l’impôt.
Vos motifs sont justes et honnêtes : vous défendez le fruit de votre travail et de votre talent face au totalitarisme fiscal.
Mais votre choix est étrange : pourquoi venir en Belgique, l'un des pires enfers fiscaux au monde ?
Certes, nos ministres sont des hommes courtois, qui ne vous traiteront jamais de « minable ». Ils savent, comme Bertrand de Jouvenel, que « le chemin du pouvoir passe par le service rendu ». Interchangeables sans jamais rien changer, ils sont les gardiens d'une machine étatique qui se garde d'utiliser la violence et n'emprisonne que très rarement ceux qui lui résistent.
Mais n'avez-vous pas vu que cette machine est fabriquée sur le même modèle que celle de la République que vous fuyez ?
Bien plus nombreux que les armées de Napoléon et mieux informés que Fouché, nos régiments de fonctionnaires, affables et compréhensifs, œuvrent au profit d'un État Providence en qui ils croient voir le Bien Commun.
C'est pourtant au prix du bien-être et des libertés de chacun qu'ils alimentent, de bonne foi mais sans état d'âme, le Léviathan qui veut tout savoir, tout contrôler. On s'offusque lorsqu’un patron, assimile cette politique au marxisme. Pourtant Marx n'aurait même pas pu rêver de nos taux d'impôt, lui qui s'écriait : « Des impôts, des impôts et encore des impôts, c'est comme cela que nous tuerons le capitalisme ».
Observez attentivement vos nouveaux voisins. Pas seulement les riches, mais ceux qui ont la simplicité de se reconnaître comme des « Belges moyens ». Dites-vous bien que l'État leur prend chaque année la moitié de leurs revenus, et en dépense 55 %.
Si un jour vous créez des emplois dans ce pays, admirez vos salariés comme des héros des temps modernes, si vous ne voyez pas en eux, comme R. Nozick, des esclaves du Pouvoir. Jusqu’en août, chaque année, ils ne travaillent que pour payer leurs impôts.
Surtout, ne leur proposez pas d'augmenter leur rémunération. D'ici quelques jours, ce sera illégal, et l’État en confisquera jusqu'aux trois-quarts.
Lorsque vous aurez compris cela, vous saurez, comme beaucoup de Belges, que ce n’est pas ici que vous pourrez vivre libre, à l'abri d'un État qui veut régler à grands frais pour vous chaque détail de votre vie.
Pour cela, il vous faudra à nouveau partir. En Suisse ou ailleurs.
(Signé : Thierry Afschrift, Professeur de Droit Fiscal à l'Université Libre de Bruxelles)
(A NE SURTOUT PAS LIRE PAR CEUX QUI N'AIMENT PAS LES DIATRIBES) ;-))
Lettre ouverte de Thierry Afschrift Professeur de droit fiscal à lULB
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Bienvenue à vous, Monsieur Depardieu.
Cher Monsieur Depardieu,
Vous avez choisi l’exil en Belgique, comme avant vous, Victor Hugo, Paul Verlaine ou Eric-Emmanuel Schmitt.
Vous avez décidé de « voter avec vos pieds », comme des millions d'Allemands de l’Est, de Polonais, de Hongrois et de boat-people vietnamiens, qui, eux aussi, fuyaient un État hostile.
Certains critiquent les motifs de votre choix : à leurs yeux, devoir payer 85 % d’impôts sur le fruit de son travail n’est pas un bon motif d'exil.
Ils ont tort.
Vous avez compris que la France d’aujourd’hui vit sous le despotisme démocratique que Tocqueville avait prédit :
« Un pouvoir absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux (qui) couvre la surface d'un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes. Il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète ».
Vous savez maintenant qu’il y a des dictatures sans tyran, des oppressions sans Stasi, des inquisitions sans bûchers.
Vous tournez le dos à un système qui vous déteste, à cause de votre talent, à cause de votre esprit d'entreprise, parce que, égalitariste, il repose sur l'envie ; comme le disait Ayn Rand « ils ne veulent pas posséder votre fortune, ils veulent que vous la perdiez ; ils ne veulent pas réussir, ils veulent que vous échouiez ».
La France, orgueilleuse de sa révolution de 1789 n'a cessé, dès la Terreur et bien après, d'attribuer les pouvoirs absolus du monarque à des abstractions nommées Nation ou République. Un pouvoir élu certes, mais absolu parce que sans limites autres que celles fixées par l’État lui-même.
C'est pour cela que le Pouvoir détestait le bouclier fiscal : il fixait un plafond à la faculté, qu’en France on veut illimitée, de lever l’impôt.
Vos motifs sont justes et honnêtes : vous défendez le fruit de votre travail et de votre talent face au totalitarisme fiscal.
Mais votre choix est étrange : pourquoi venir en Belgique, l'un des pires enfers fiscaux au monde ?
Certes, nos ministres sont des hommes courtois, qui ne vous traiteront jamais de « minable ». Ils savent, comme Bertrand de Jouvenel, que « le chemin du pouvoir passe par le service rendu ». Interchangeables sans jamais rien changer, ils sont les gardiens d'une machine étatique qui se garde d'utiliser la violence et n'emprisonne que très rarement ceux qui lui résistent.
Mais n'avez-vous pas vu que cette machine est fabriquée sur le même modèle que celle de la République que vous fuyez ?
Bien plus nombreux que les armées de Napoléon et mieux informés que Fouché, nos régiments de fonctionnaires, affables et compréhensifs, œuvrent au profit d'un État Providence en qui ils croient voir le Bien Commun.
C'est pourtant au prix du bien-être et des libertés de chacun qu'ils alimentent, de bonne foi mais sans état d'âme, le Léviathan qui veut tout savoir, tout contrôler. On s'offusque lorsqu’un patron, assimile cette politique au marxisme. Pourtant Marx n'aurait même pas pu rêver de nos taux d'impôt, lui qui s'écriait : « Des impôts, des impôts et encore des impôts, c'est comme cela que nous tuerons le capitalisme ».
Observez attentivement vos nouveaux voisins. Pas seulement les riches, mais ceux qui ont la simplicité de se reconnaître comme des « Belges moyens ». Dites-vous bien que l'État leur prend chaque année la moitié de leurs revenus, et en dépense 55 %.
Si un jour vous créez des emplois dans ce pays, admirez vos salariés comme des héros des temps modernes, si vous ne voyez pas en eux, comme R. Nozick, des esclaves du Pouvoir. Jusqu’en août, chaque année, ils ne travaillent que pour payer leurs impôts.
Surtout, ne leur proposez pas d'augmenter leur rémunération. D'ici quelques jours, ce sera illégal, et l’État en confisquera jusqu'aux trois-quarts.
Lorsque vous aurez compris cela, vous saurez, comme beaucoup de Belges, que ce n’est pas ici que vous pourrez vivre libre, à l'abri d'un État qui veut régler à grands frais pour vous chaque détail de votre vie.
Pour cela, il vous faudra à nouveau partir. En Suisse ou ailleurs.
(Signé : Thierry Afschrift, Professeur de Droit Fiscal à l'Université Libre de Bruxelles)
Quel talent !
Et quel humour surtout ("Victor Hugo, Paul Verlaine ou Eric-Emmanuel Schmitt") !
Quel populisme !
Est-ce choquant de donner 50% de son revenu à la collectivité ? Pour moi non, car mettons que je travaille pendant 40 ans, je serai à charge de la collectivité pendant presque autant d'années (la retraite, les études). En outre, j'ai la chance d'être en bonne santé et de pouvoir gagner de l'argent, mais il ne faut pas oublier qu'il y a des invalides, des gens malades, etc... et qu'ils sont à charge de la collectivité. Et encore, les infrastructures (routes, police, hôpitaux, .. ).
Bref, faites le compte, et vous verrez que payer 55% d'impôt sur le revenu, ce n'est pas exagéré du tout.
Mais ce brave journaliste l'a dit : on peut tous aller en Suisse, planquer notre argent dans des coffres. Sauf que certains ont un autre idéal dans la vie que d'amasser de l'argent dans un coffre...
Observez attentivement vos nouveaux voisins. Pas seulement les riches, mais ceux qui ont la simplicité de se reconnaître comme des « Belges moyens ». Dites-vous bien que l'État leur prend chaque année la moitié de leurs revenus, et en dépense 55 %.
Est-ce choquant de donner 50% de son revenu à la collectivité ? Pour moi non, car mettons que je travaille pendant 40 ans, je serai à charge de la collectivité pendant presque autant d'années (la retraite, les études). En outre, j'ai la chance d'être en bonne santé et de pouvoir gagner de l'argent, mais il ne faut pas oublier qu'il y a des invalides, des gens malades, etc... et qu'ils sont à charge de la collectivité. Et encore, les infrastructures (routes, police, hôpitaux, .. ).
Bref, faites le compte, et vous verrez que payer 55% d'impôt sur le revenu, ce n'est pas exagéré du tout.
Mais ce brave journaliste l'a dit : on peut tous aller en Suisse, planquer notre argent dans des coffres. Sauf que certains ont un autre idéal dans la vie que d'amasser de l'argent dans un coffre...
Quel populisme !C'est une diatribe et, dans une diatribe, la règle est de se permettre quelques exagérations. Mais, étant donné qu'il s'agit d'un professeur d'Université, il ne pouvait pas se permettre des écarts de vocabulaire comme c'est permis pour le commun des mortels.
.
Il a quand même raison quand il parle du pouvoir sans limite de nos États, ce n'est pas Bolcho qui nous dira le contraire.
Il a raison aussi de dire que dans notre mentalité actuelle, on en veut aux riches parce qu'ils ont réussi.
Quand un Président de la République désigne la finance comme l'ennemi public, il choisit son bouc émissaire et les bons citoyens comprennent : « mort aux riches ! ».
Je suis d'accord avec toi qu'il faut laisser beaucoup de son salaire pour la caisse commune des allocations, pensions, soins de santé... etc.
Mais un État qui prend 50 % et en dépense 55 % crée une dette pour les générations futures et ça, c'est le comble de l'égoïsme, de l'irresponsabilité et du populisme.
Et quand l’État prend plus que 50 % il décourage l'embauche et tue l'emploi.
Il serait temps de comprendre que taxer excessivement les travailleurs c'est encourager le chômage.
Mais votre choix est étrange : pourquoi venir en Belgique, l'un des pires enfers fiscaux au monde ?Il y a une chose que peut-être monsieur Afschrift n'a pas bien comprise : les pauvres et les riches ne sont égaux en rien, surtout pas devant l'impôt.
En effet, il se pourrait fort bien que Depardieu, étant riche, paie moins d'impôts en Belgique qu'en France, alors que ce sera l'inverse pour la femme de ménage, qui en paiera moins en France qu'en Belgique
(pour ça, il suffit que la Belgique soit un peu plus ultra-libérale que la France.. :o)
C'est donc pour ça que la France attire les pauvres...
L'avenir s'annonce bien difficile.
C'est bête de dire ça à l'approche du Nouvel An, mais voilà. :(
L'avenir s'annonce bien difficile.
C'est bête de dire ça à l'approche du Nouvel An, mais voilà. :(
Mais un État qui prend 50% et en dépense 55% crée une dette pour les générations futures et ça, c'est le comble de l'égoïsme, de l'irresponsabilité et du populisme.
Je me demande à quoi servent par exemple toutes ces couches de communes, cantons, communautés de commune, communautés d'agglomération, régions etc... est-ce vraiment utile ? Quand en même temps on rogne sur les profs, les hôpitaux, les crèches, etc... et c'est sans compter l'IRFM, cet argent de poche donné aux députés (45 millions d'euros par an !) sans justificatifs de dépenses en contrepartie... qu'on me démondre que l'IRFM est utile... à l'Etat !
Moi quand je vois cela, j'ai mal à mes impôts ! J'aimerais pouvoir faire comme quand je donne aux bonnes oeuvre : choisir ma cause.
C'est donc pour ça que la France attire les pauvres...Difficile pour les riches ?
L'avenir s'annonce bien difficile.
Pour les riches qui préféreraient que les pauvres payent un peu plus pour qu'eux-mêmes payent un peu moins ?? .. :o)
L'avenir s'annonce bien difficile.
Pour les classes moyennes en paupérisation dont je fais partie et qui n'apprécient pas plus l'IRFM des députés, que les évadés fiscaux et les bénéficiaires de toutes aides sociales sans contrôle...
D'ailleurs je me demande où est la crise : les stations de ski sont blindées ! ...
Bonne Année londonienne avec un maximum d'Oxygène !
Bonne Année londonienne avec un maximum d'Oxygène !
pour faire suite à ton clin d'oeil Frunny c'est normal que Jean-Michel Jarre parte à Londres il y a déjà Clavier là bas ! (Ok , je sors)
Bonne Année londonienne avec un maximum d'Oxygène !
pour faire suite à ton clin d'oeil Frunny c'est normal que Jean-Michel Jarre parte à Londres il y a déjà Clavier là bas ! (Ok , je sors)
Excellent !
za zdorov'e Gégé...
Bonne année 2013 !
Bonne année 2013 !
Tu ne pourrais pas lâcher ce fil Frunny ? Me semble que le sujet est épuisé depuis un bon moment...
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