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Triste nouvelle pour la littérature belge francophone, son doyen est parti ce jour à l'âge respectable de 99 ans...
Un grand monsieur... :-(
Un grand monsieur... :-(
Je ne l'ai jamais lu mais tous ceux qui l'ont lu m'ont dit l'avoir aimé.
Quels livres me recommanderiez de lire?
Quels livres me recommanderiez de lire?
je pense que le plus emblématique de son oeuvre est celui-ci : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/3650
et celui-ci aussi avait eu pas mal d'echo : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/3642
pour en savoir plus : http://lesoir.be/culture/livres/…
Paix à son âme. J'ai lu l'enfant bleu, et j'aimais beaucoup.
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/6249
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/6249
Antigone, lecture aimée.
Je suis triste, son regard sur le monde comptait.
Je suis triste, son regard sur le monde comptait.
Je suis vraiment triste, j'avais pour objectif de lire un de ses livres avant qu'il ne trépasse.
Mais procrastination, quand tu nous tiens !
Mais procrastination, quand tu nous tiens !
Ne pas oublier son journal d'une vie qui me semble exemplaire à tous points de vue.
Malgré de longues années de galère, l'attention aux autres via la psychanalyse et le travail sur la langue, Henry Bauchau aura bien témoigné de son temps.
Mes préférés : ,"Antigone" et "Boulevard périphérique".
Merci à lui.
Malgré de longues années de galère, l'attention aux autres via la psychanalyse et le travail sur la langue, Henry Bauchau aura bien témoigné de son temps.
Mes préférés : ,"Antigone" et "Boulevard périphérique".
Merci à lui.
Exercice du matin
Chaque matin sans église
sur le béton farouche
entre l'ignorance et l'amour
je me prosterne
je me prosterne devant rien.
Quand je suis à ma juste place
instant, instincts, intermittences
de lumière et d'aveuglement
je me prosterne
je me prosterne devant tout.
Henry Bauchau, Heureux les déliants
(je l'ai trouvé dans le fil "les poèmes que vous aimez", et je l'ai aimé aussi)
Chaque matin sans église
sur le béton farouche
entre l'ignorance et l'amour
je me prosterne
je me prosterne devant rien.
Quand je suis à ma juste place
instant, instincts, intermittences
de lumière et d'aveuglement
je me prosterne
je me prosterne devant tout.
Henry Bauchau, Heureux les déliants
(je l'ai trouvé dans le fil "les poèmes que vous aimez", et je l'ai aimé aussi)
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