Le dernier testament de Philip Le Roy
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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last but not least
Comment dire?!; le roman mystique a le vent en poupe depuis.. un certain code, certes!; user d'artifices déjà notoirement appliqués par les maîtres du polar américain relève au mieux de l'hommage au pire d'une copie astucieuse, assurément; mais ce dernier testament n'en demeure pas moins l'un des Thriller Francais le plus abouti de ces dernières années. On pense évidement à M. Brown mais très vite on se retrouve plongé dans un roman d'un profondeur et d'une totale maitrise, tant sur la forme que sur le fond. Attention toutefois, c'est sanglant, chaud, noir et parfois glauque. De son temps en fait. Si vous avez aimé les BD "le troisième testament", les thriller blockbuster US... découvrez sans tarder ce futur référentiel du polar à la french touch. Grangé, tremble sur ton trône , Le Roy arrive!!!!!.
Les éditions
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Le dernier testament [Texte imprimé] Phillip Le Roy
de Le Roy, Philip
Au diable Vauvert / Litt Generale
ISBN : 9782846260756 ; 22,00 € ; 03/02/2005 ; 692 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (8)
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Un bon polar!
Critique de Gégé (, Inscrit le 29 septembre 2011, 46 ans) - 22 octobre 2011
Mouais
Critique de Badzu (versailles, Inscrite le 6 novembre 2005, 49 ans) - 24 mars 2009
Lecture rapide, pas désagréable, mais absolument pas marquante. Décevant.
Du potentiel, mais...
Critique de BONNEAU Brice (Paris, Inscrit le 21 mars 2006, 40 ans) - 16 octobre 2008
Tiré de sa retraite mystique épurée où il pratiquait le Za-Zen, Nathan Love est employé par le FBI pour résoudre l’enquête et retrouver le tueur. Pour ce profiler hors du commun, dont la dernière enquête sur les traces d’un serial killer fut fatale à sa femme, pas question de reprendre le service sans une forte indemnisation. Dépêché en Alaska, il rejoindra l’agent spécial Kate Nootak en charge de l’enquête, et découvrira rapidement à quel type de travaux les deux chercheurs s’adonnaient : faire revivre les morts, pas moins que cela.
Pris comme cible par des tueurs, Nathan Love ne renoncera pas pour autant à l’enquête et partira sur les traces de Bowman, reconstituant ainsi ce qui à pu pousser un agent du FBI à fricoter avec des chercheurs aux motivations discutables, dans l’espoir de retrouver son assassin. De Fairbanks à Rome, le profiler échappera plusieurs fois à la mort de façon quasi-miraculeuse, un peu aidé par sa pratique des arts-martiaux, et achèvera sa course au Vatican, où le Saint Graal de l’enquête lui sera révelé…
Philip Le Roy a aujourd’hui 46 ans, et connu un parcours atypique. Nourri dés sa jeunesse par le cinéma, il s’orienta vers des études de commerce, avant d’ouvrir une agence spécialisée dans le tourisme à New-York, puis de revenir vivre en France, de travailler comme publicitaire, pour finalement écrire des scénarios qui deviendront, in fine, des romans. Le dernier testament est le premier roman d’une saga qu’il a souhaité plus ambitieuse après des publications comme Pour adulte seulement ou Couverture dangereuse. Il a d’ailleurs, depuis, publié La dernière arme en février 2007, où Nathan Love reprend du service…
Contrasté dans sa qualité, Le dernier testament a reçu le Grand Prix de la littérature policière en 2005. Pour autant, le thriller n’a rien d’unique, et exploite des recettes ayant déjà servies dans d’autres succès littéraires et commerciaux. Un homme sombre, meurtri, retranché derrière des préceptes mystiques, qui part en guerre contre plus gros que lui, que rien ni personne n’arrête, que rien n’abat, et qui finit par découvrir LE secret de la religion catholique dans une ambiance conspirationniste au Vatican… hum… comment dire… déjà lu ? Par ailleurs, au delà de scènes absolument irréalistes, et de longs combats d’arts martiaux -on sait que l’auteur en est fan-, les ébats sexuels et les digressions pro-sodomie le plombent un peu. Sans parler des bluettes pseudo-romantiques. Un roman qui n’a rien d’original, et qui n’est ni agréable ni désagréable à lire. Si vous avez un voyage de prévu…
SUPER
Critique de Elfe191 (, Inscrite le 9 novembre 2006, 68 ans) - 2 mai 2007
Un roman passionnant agréable à lire des non sens bien sûr mais la lecture c'est fait pour cela des héros immortels du suspense de l'amour etc
un auteur qui se la joue Dan Brown mais le tout donne un agréable moment de détente où l'on ne s'ennuie pas une seconde
aurait pu ...
Critique de Ppakkoqq (, Inscrit le 20 juillet 2005, 41 ans) - 16 août 2006
Je me suis lancé dedans et je ne regrette pas, mais je m'attendais à mieux tant le début du roman était captivant.
J'essaierai tout de même de lire un autre roman de Le Roy.
Page turner sans code
Critique de Manu_C (, Inscrit le 19 août 2004, 55 ans) - 29 mai 2006
L’aspect le plus positif de ce récit est de faire durer la convergence des intrigues tout en maitrisant parfaitement le lecteur afin que cette dilution d’évènements ne soit pas ennuyante. Les personnages sont fouillés (ils sont de toute façon tous « spéciaux ») et l’auteur s’amuse visiblement à nous distiller au fil des pages les quelques éléments qui vous font douter de chacun des protagonistes (jusqu’à la dernière page d’ailleurs).
Objectivement, on ne s’ennuie pas, c’est ou ouvrage très divertissant et moins « blockbuster » que la référence négative du moment (… Code).
Un petit bémol : ce n’est absolument pas moral et de temps en temps un peu limite dans les traitement des différentes religions et de leurs adeptes.
NB : Pour le coup du jerrycan, pour que l’eau ne gèle pas, il suffisait de la saler… il y a d’autres composants du livre moins crédibles que ça !
un héros pas de pacotille dediou !
Critique de Julius (, Inscrit le 24 novembre 2004, 51 ans) - 28 février 2006
La fin du livre va trop vite, des morts de partout, des poursuites, des combats à mains nues incroyables, on est proche du "grand n'importe quoi !" mais après 500 pages, le lecteur est acquis à la cause de l'auteur, ce dernier a gagné, on finira le livre et on en gardera un bon souvenir, car la toute fin du livre avec sa révélation même si on la sent venir est plaisante.
A la toute toute fin une fornication de folie avec une bombasse ! aaaah Nathan, je m'incline.
Le coup du Jerrican d'eau, je ne l'avais pas intuité mais effectivement ! le grand n'importe quoi commence peut-être sur la banquise ...
Entre James Bond et Besson
Critique de Jean Meurtrier (Tilff, Inscrit le 19 janvier 2005, 49 ans) - 9 mai 2005
Nathan Love est un héro parfait qui pratique tous les arts martiaux. Il est beau, sage et... immortel: il lui suffit de se tordre un peu le dessus du nombril pour éviter le comas mortel, un peu comme on tourne la clé d'un véhicule pour le redémarrer. Nathan Love se fait toutes les femmes malgré lui. En gros, Nathan Love est chiant, comme tous les personnages du livre, y compris Brad qui aurait pourtant dû être le cool de service. Tous les comportements sont hyper-stéréotypés comme dans les films de Besson. Le héro assure et les seconds rôles s'en prennent plein la gueule.
L'histoire est loin d'être palpitante, malgré le nombre de voyages digne d'un James Bond, mais elle se tient. L'évolution de l'enquète est tributaire des intuitions de Nathan Love. C'est sans doute l'avantage d'un profiler que de voir ses suppositions systématiquement se confirmer, même quand elles vont à l'encontre de la logique. La fin, un peu particulière, ne déçoit pas au vu du reste.
Le style n'est pas mauvais. L'auteur mélange habilement sens propre et figuré, mais de manière peu homogène.
Ce roman sans beaucoup de profondeur m'a irrité par son message pro-bouddhiste et anti-occidental. A chacun son point de vue, mais employer des phénomènes surnaturels pour appuyer le sien est un peu ridicule, comme l'est l'interrogatoire de Zo par Nathan.
Si ce livre est le futur référentiel du polar à la french touch, on est parti pour quelques années de vache maigre. Disons pour résumer que ça se laisse lire, mais que ça ne laissera pas de trace. Je vais mettre un gentil 2,5.
Il faudra tout de même qu'on m'explique comment un Jerrican d'eau ne gèle pas en hiver au nord de l'Alaska.
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