Coïncidences, signes ou destinées ? de Pascal Riolo
Catégorie(s) : Sciences humaines et exactes => Divers
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Il faut être attentif aux coïncidences
Pascal Riolo est né à Rocourt (Liège) en 1974. Il a toujours été passionné, dès son plus jeune âge, par les sciences naturelles et inexpliquées. Il est devenu voyant-médium. Dans ce livre, il nous conte quelques histoires qui ont trait à ce qu’on appelle les coïncidences.
Si je suis nettement moins convaincu par le « mystère » qui tourne, par exemple, autour du chiffre 11, du chiffre 13, ou les signes à propos des attentats du 11 septembre 2001, les tragédies de la famille Kennedy, par contre certaines histoires, ici racontées, sont asses stupéfiantes (et même émouvantes). Citons « un voyage à New York », « une ancienne photo », « Pascal Riolo au Portugal », « les retrouvailles impossibles », « le cendrier africain ».
Il faut être attentif à ces coïncidences qui sont bien présentes dans nos vies. Faut-il les prendre au sérieux, sont-elles porteuses de signes, de messages ? Là c’est une autre paire de manche. Perso, je les considère comme des clins-d’yeux ( au pluriel, on dit clins-d’yeux ou clins d’œil ?)
Je vais vous vous raconter ma dernière « coïncidence » qui m’est arrivée en décembre 2021. Une de mes pâssions est de farfouiller dans les journaux anciens. Pour ce, je me rends - entre autre – aux Fonds provinciaux de la ville de Liège. Ce jour-là, j’explore le journal « La Wallonie » de 1973. J’achève la lecture du mois de février. Il est temps de partir car la salle de lecture va fermer (17h). La toute dernière page est consacrée aux sports (dont je ne suis pas fan, c’est le moins qu’on puisse dire). Sur le lutrin repose l’énorme volume, d’une part la page en question et puis la couverture vierge. Je croise des bras avec cet air de contentement (qui me caractérise souvent). Pascal (tiens encore un Pascal), l’employé à l’accueil des Fonds patrimoniaux, arrive derrière moi. Il voit la page avec en dessous une grande photo : l’équipe de hand-ball de Liège en 1973. « Oh ! dit-il, mon papa … et mon oncle ». Il s’empresse de prendre une photo avec son smartphone. Le surlendemain, Pascal m’a dit que son père et son oncle furent ravis de la photo dont ils ignoraient l’existence.
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