Le père de nos pères de Bernard Werber
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Frères humains qui après nous lirez
De quoi s'agit-il? D'un roman policier? Certes. D'un roman d'investigation? Oui. D''un roman scientifique? Aussi.
En deux mots : une œuvre de science-fiction (et j'insiste sur les deux mots). Le propos est simple, l'histoire aussi. Il y a eu un mort, une journaliste décide de retrouver son assassin. Voilà pour le roman policier. Le mort était paléontologue et suscitait des jalousies ou des sentiments assez hostiles de la part de ses collègues ; la journaliste cherchera de leur côté à trouver un maximum d'information. Mais surtout, le professeur avait trouvé le chaînon manquant, une véritable bombe que l'on découvrira à la fin du livre, et comme la brave journaliste pense que là réside le mobile du meurtre, nous voici partis pour l'étalage par chacun des personnages croisés de sa propre théorie de l'évolution.
Un peu comme Jostein Gaarder nous parlait de philosophie, Bernard Werber nous parle origine du monde.
En parallèle à cette histoire moderne (M. Werber aime écrire des histoires en parallèle, il nous l'a déjà prouvé) se déroule l'histoire de Il, primate sans nom ni espèce bien définis il y a très longtemps en Afrique de l'Est...
Ce livre est bourré de qualités. D'abord par l'écriture. Plus lisse, plus nette, M. Werber a gagné en maturité d'écriture. Par le récit aussi. Sans être spécialiste en paléontologie, je m'intéresse assez aux origines de l'homme pour m'être rendu compte que la majorité des explications scientifiques sont valables. Quant à celles qui le sont moins, elles nous offrent une autre possibilité de nous interroger sur tout ce qui, finalement, fait que nous sommes des hommes.
De cet ancêtre potentiel dont nous suivons les pas à l'échantillon caricatural de l'humanité d'aujourd'hui, c'est une même espèce qui s'exprime, une même humanité qui se définit.
En clair, le propos ici est de s'amuser, de passer du bon temps avec une histoire intéressante mais aussi riche d'enseignements et d'humanité, sans jamais être didactique, pesante ni ennuyeuse. Et ne sont ce pas là qualités majeures pour un livre?
Les éditions
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Le père de nos pères [Texte imprimé], roman Bernard Werber
de Werber, Bernard
Albin Michel
ISBN : 9782226105622 ; EUR 20,60 ; 01/10/1998 ; 395 p. ; Broché -
Le père de nos pères [Texte imprimé], roman Bernard Werber
de Werber, Bernard
le Livre de poche / Le Livre de poche.
ISBN : 9782253148470 ; 7,90 € ; 01/04/2000 ; 379 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (28)
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Ne casse pas deux pattes à un chaînon maquant
Critique de Buck (Rennes, Inscrit le 20 juin 2010, 36 ans) - 24 avril 2017
Ayant comme fil rouge les hypothèses à propos de l’évolution de l’Homme, nos protagonistes un peu trop stéréotypés vont alors rencontrer différentes personnes qui auront tous leurs petites idées sur l’évolution humaine. On comprend vite où veut en venir Bernard Werber. Ça devient à la fin un petit catalogue des hypothèses de l’évolution, sympathique à rappeler aux lecteurs.
L'enquête est bien ficelée et le flash-back explicatif est assez … créatif. Je suis sorti de là avec un sourire aux lèvres et un « pourquoi pas ... ». Bernard Werber écrit des récits originaux et il le prouve bien dans ce passage. Personne n’y était et personne ne peut ni le nier, ni prouver le contraire, alors « pourquoi pas ... ». Le message final du livre n’est pas trop bête et nous pousse à nous questionner, nous lecteur.
Un vrai gros point positif (et qui m’étonne à chaque fois dans tous ses livres) est l’enchaînement des chapitres et des époques auquel Werber réussit parfaitement à enchaîner. Je ne sais pas comment est-ce qu’il fait ça mais les scènes qui se passent il y a 3,7 millions d’années sont dans une continuité parfaite avec celles qui se passent au présent et vice versa. Les tensions et les idées des périodes sont différentes et se transforment au fil de la transition. C'est fluide et la lecture découle d'elle-même. Il faut bien y reconnaître une qualité dans le style qui n’est pas donnée à chaque écrivain.
On me l’avait conseillé comme un vrai bon livre de Werber mais j’ai été déçu tout de même m’attendant peut-être à un nouveau « trilogie des fourmis » ou à un « Thanatonautes ». (deux excellentes sagas) La lecture est fraîche et limpide (comme d’habitude avec Werber) et certains passages relèvent vraiment d’une réussite comme le passage des trois cailloux. Marrant, prenant, original, léger. « Le père de nos pères » n’est pas le meilleur de Werber mais il a réussi à écrire une histoire originale sur un sujet original dans une ambiance cheap assumée
Une fin humiliante
Critique de Portax (, Inscrit le 14 décembre 2012, 33 ans) - 21 décembre 2012
Quand j'avais vu ce livre ça me paraissait sympa un sujet sur nos ancêtres et l'évolution de notre espèce du chaînon manquant.
Au début j'aimais bien l'histoire mais en le poursuivant, on va de déception en déception malgré la trame de l'histoire qui paraissait accrocheur sans spoiler.
A faire simple je m'attendais à une fin, une grande fin révélatrice comme pour les fourmis ou encore les tanathonautes mais non ça se résumait en fait à une blague du coup toute l'histoire est bidon et on se sent à la fin un peu humilié et notre imagination brisée... D'après moi.
Werber m'a déçu... Et ce ne fut pas le seul livre.
1ère grosse déception...
Critique de Fred281 (, Inscrit le 19 octobre 2012, 41 ans) - 19 octobre 2012
Celui là je m'y suis repris à plusieurs fois pour arriver au bout, et il a fallu que la situation m'y oblige (voyage en train, ça vous fait lire n'importe quoi) pour arriver au bout.
Les plus=
-C'est du Werber: simple à lire, histoires qui s'entremêlent, récits décalés dans le temps qui s'emboîtent parfaitement au fil des chapitres, suspense maîtrisé, forte immersion notamment avec les primates.
-Fort bien documenté, théories très intéressantes sur l'évolution, j'ai vraiment "réfléchi" à ce que je lisais.
Les moins=
-Werber a les défauts de ses qualités, il crée des personnages atypiques, hauts en couleur, parfois un peu "too much". Ici ils sont caricaturaux, agaçants, gentils comme méchants.
-Intrigue soporifique. Scientifiques, industriels, Acrobates, costumes de singes, Afrique, Paris, la mayonnaise ne prend pas, c'est indigeste, et tout simplement bâclé voire caricatural vers la fin (rebondissements dignes d'une rédaction de CM2).
-Fortement prévisible (chaînon manquant, sauvetage dans l'usine...) et tiré par les cheveux. Rien à voir avec le suspense des Thanatonautes à titre de comparaison.
Bref j'ai lu environ un tiers de ses oeuvres, 1ère déception, je ne retiendrai que les différentes théories de fond vraiment captivantes. "L'emballage" n'a pas grand intérêt.
La "patte" de Werber
Critique de Nb (Avion, Inscrit le 27 août 2009, 40 ans) - 22 janvier 2012
Alors certes, après avoir lu quelques-uns de ses ouvrages, on est un peu moins surpris par Mr Werber, mais en ce qui me concerne, j'ai passé un très bon moment: j'ai découvert quelques théories sur l'origine de l'homme, ai lu avec plaisir les aventures de Lucrèce et Isidore, vécu quelques semaines avec IL, ...
Lecture facile, sans prise de tête, mais un bon moment. C'est ce qu'il me fallait.
on tourne en rond...
Critique de Le rat des gouts (, Inscrit le 4 juin 2011, 37 ans) - 4 juin 2011
J'ai eu l'impression de tourner en rond, comme si l'auteur écrivait des histoires juste pour faire passer ces vérités scientifiques.
Alors ok, celui qui n'a jamais lu cet auteur saura surement s'en contenter, ceux qui en ont déjà lu, eux auront peut-être l'impression de relire encore la même histoire. C'est mon cas!!!!!
De plus, concernant l'histoire de l'origine du monde, j'ai déjà lu beaucoup mieux de lui, notamment les fourmis qui m'a transporté.
C'est donc avec déception que j'ai lu ce livre.
pas le meilleur Werber
Critique de Soup34 (, Inscrit le 30 septembre 2007, 44 ans) - 11 mars 2011
Je ne sais pas si Werber croit à sa théorie ou s'il voulait juste étonner mais il m'a déçu!
l'évolution pour les nuls
Critique de Rhonal (lyon, Inscrit le 7 mai 2010, 57 ans) - 1 janvier 2011
Le livre m'est tombé des mains .
Donnez-moi l'envie de lire du Werber !!!
Tout dépend ce qu'on cherche...
Critique de PPG (Strasbourg, Inscrit le 14 septembre 2008, 48 ans) - 27 décembre 2010
Mais cette quête s'articule autour d'une histoire à la narration redondante et aux effets poussifs voire ridicules (comme les multiples courses poursuites, les caricatures des personnages ...).
Finalement, l'histoire en parallèle de "IL", le primate ayant vécu il y a plusieurs millions d'années est bien plus prenante, même parfois émouvante. Je laisse à chacun le soin de découvrir ce mystérieux chaînant manquant (idée un peu dépassée) : très surprenant : qu'en penser ?
Donc : un livre divertissant, bien pour les vacances si l'on souhaite se reposer les neurones et être pris dans un suspens
jusqu'à l'explication finale. Mais, encore une fois, la mise en forme est assez indigeste.
C'est une blague!
Critique de Mallollo (, Inscrite le 16 janvier 2006, 42 ans) - 20 novembre 2010
Reprenons depuis le début, mais très vite : Lucrèce, jeune journaliste stagiaire, apprend que son voisin (scientifique un peu fou) a été vraisemblablement tué… pour le faire taire. C’est que le Professeur Adjemian allait faire savoir au monde entier le secret de nos origines, le fameux chainon manquant ! Lucrèce décide donc d’enquêter à la fois sur ce secret si bien gardé, et la mort du Professeur. Comme personne à la rédaction ne veut d’un sujet aussi « bateau » et « cucul », elle finit par faire équipe avec Isidore Katzenberg, ancien journaliste scientifique reconverti en… euh, en espèce de hippie pacifiste végétarien méditant dans son château d’eau en plongeant avec ses dauphins. Lucrèce et Isidore parviendront-ils à déterrer le secret de nos origines ? Les nombreux obstacles et ennemis qu’ils rencontreront en chemin seront-ils plus fort que leur détermination ? Vous le saurez en lisant le livre, où se déroule en parallèle de l’enquête (plus de 3 millions d'années plus tôt) la vie, l’évolution et les états d’âme d’un ancêtre à peu près humanoïde (le père de nos pères ?)
Les ingrédients du Père Werber :
1. De la science. Bien sûr, on parle de Darwin, de Lamarck, vaguement d’autres théories de l’évolution. Si on s’y connait un peu dans le domaine, c’est même un peu rigolo, parce que le Darwinisme est présenté comme étant LA théorie actuellement en vogue (alors que bon, soyons sérieux, les vraies théories actuelles sont allées un rien plus loin, et il n’est plus question de chainon manquant depuis perpète…) A côté des théories habituelles, on nous permet aussi de rêver un peu en se ralliant pour quoi pas à la « théorie de la super-sexualité », « la théorie de la Terre Mère » ou la plus exotique de toutes : « celle où Dieu créa l’homme et vit que c’était bon ».
2. Du policier - vaguement. On a le duo improbable : Lucrèce, femme miniature de 46 kilos dont la moitié de « chevelure rousse micro-ondulée », pratiquant l’ « orphelinat-kwando » lorsque c’est nécessaire, et Isidore, plus de 100 kilos, pas un poil sur le caillou, pacifiste actif, un peu bourru mais hyper-intelligent. Face au danger, ils s’en sortent toujours, grâce à leur incroyable complémentarité (et c’est ici qu’on lance le générique, dans les séries policières)
3. De l’aventure et de l’exotisme. Que de rebondissements ! D’intrigues ! De méchants à qui Lucrèce et Isidore doivent échapper ! Sans parler de l’histoire de notre ancêtre, quelques millions d’années plus tôt.
4. Du suspense. Moi, de voir toutes ces pistes de théories étalées les unes après les autres, ça m’a intriguée… LAQUELLE, ou quelle AUTRE théorie farfelue le Professeur Adjemian avait-il découverte (et prouvée !) pour qu’on le fasse taire si soudainement ? Une fois arrivé au bout, on se dit immanquablement qu’il fallait oser… Sacré Werber, après les fourmis, les… non, je ne dirai rien !
5. De l’humour. C’en est rempli. Le Père Werber a tout fait pour qu’on prenne son livre au 8e degré (au moins). Ça commence doucement avec des petits indices tellement fins qu’on peut passer à côté. Lire à chaque description de Lucrèce qu’elle a « une crinière rousse ondulée », des « yeux émeraude », des épaules et un cou « fins et graciles », qu’elle ressemble à « une petite souris », c’est déjà un signal lumineux gros comme un OVNI qui atterrit: « Attention, vous allez croulez sous les codes littéraires, mais pour en faire ce que je veux, accrochez vos ceintures ». Si on passe à côté du signal, on trouve que c’est mal écrit et plein de clichés. Mais plus loin, il fait encore plus fort ! Isidore-le-pacifiste qui se fait un thé quand micro-orphelinat-kwando-Lucrèce se bat seule contre deux ennemis sans pitié, ou mieux : Lucrèce, déshabillée par ses kidnappeurs et pieds et mains attachés, qui se cache les parties intimes par pudeur. Ma main à couper que ce n’est pas une erreur de Werber mais un gros clin d’œil !
Si on ne voit pas tous ces indices comme de l’humour mais comme des clichés, des incohérences et de l’absurde con-con, j’imagine qu’on doit trouver le temps long. Mais si on le lit à travers ce spectre-là, on passe un bon moment à lire un ovni littéraire inclassable du père Werber.
Tiré par les cheveux
Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 5 mai 2010
Trop, c'est comme pas assez
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 10 avril 2010
C’est un roman entraînant, avec des aventures (trop?) rocambolesques et une écriture fluide qui se laisse lire facilement, mais j’ai trouvé la finale ridicule et je n’ai pas aimé le duo. Bernard Werber a le don de créer des personnages irritants (je pense à Nos amis les humains, Le papillon des étoiles). Pas le pire roman d’aventure que j’ai lu, mais certainement pas dans les meilleurs.
Avis mitigé ...
Critique de Chris (Bruxelles, Inscrite le 30 décembre 2003, 51 ans) - 20 juin 2009
Je ne sais pas trop quoi penser du livre, la saga des fourmis était bien plus captivante!
Pas convaincue
Critique de Lxlie (, Inscrite le 25 mai 2008, 46 ans) - 25 mai 2008
1/2 étoile pour le pauvre arbre qui a donné sa vie pour une telle m...
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 25 février 2008
Et je ne vous parle même pas de tous ces déguisements de singes, il y en a tellement qu’ils ont dû se les procurer en gros, de tous ces champions de la voltige (dans la famille cirque, je demande le clown, ah non, je l’ai déjà c’est Werber lui-même), de toutes ces caricatures moins réelles les unes que les autres, de toutes ces… ah mais j’allais oublier les dauphins dans le château d’eau ! Fantastique aussi ça ! Ah là là…
Bref, inepties sur inepties, fautes majeures et j’en passe… parce que croyez-moi sur paroles, c’est truffé !!!
Et alors, là où le summum précité que je croyais avoir atteint à sa lecture s’est retrouvé n’être qu’une petite colline c’est quand je suis arrivé à la dernière partie, la conclusion, l’explication, la découverte du vrai chaînon manquant !!! Bon sang, mais comment peut-on commettre un ratage pareil !?
Bref, mal écrit, mal pensé, mal conçu, à ne même pas utiliser pour allumer un feu car l’encre est mauvaise pour l’environnement…
Truiesque!
Critique de Tiffauges (, Inscrite le 4 août 2006, 41 ans) - 4 août 2006
Bernard Werber laisse vagabonder son imagination vraiment très loin....il ya des millions d'années. Et il ressort de tout ça une histoire farfelue, drôle.... Bon, il y a quelques éléments que je n'ai pas beaucoup aimé mais ça c'est subjectif. Bernard Werber a le sens de la démesure , l'obèse journaliste à la recherche de notre (de son) chainon manquant: le porc, ou plutôt la truie bien grasse et rose, comme lui. L'ancêtre que l'on dévore, tout comme j'ai fait avec son livre. C'est sûr, sur le coup on rigole, et puis beurk! Eh bien quoi! il nous fait sortir des sentiers battus et rabattus! et cela nous laisse certainement pas indifférent! je vais maintenant m'atteler à la lecture de tous ses romans que je n'ai pas lu! Une chose est sûre je regarde les porcs avec des yeux bien différents....
L'écriture "werbérienne" pas toujours convaincante
Critique de Shayne (Sambreville, Inscrit le 2 octobre 2005, 42 ans) - 14 juillet 2006
A ajouter à cela des préjugés mal placés, que Werber emploie à foison pour décrire la Tanzanie (célébration de circoncisions, restos dégueus, bâtiments miteux, vendeurs ambulants vantant une production locale alors que celle-ci est importée, etc.), sans oublier un petit détour par la Belgique pédophile ainsi qu'une liesse populaire au Moyen-Orient à la nouvelle d'un massacre de 7 collégiennes. Bien sûr ce ne sont là que détails qui ont avant tout pour but de montrer le malaise mondial actuel, mais ces associations faciles me laissent quand même dubitatif.
Je ne citerai même pas les enchaînements invraisemblables de situations qui jalonnent le récit (bel exemple donné par Julius). A lire tout de même pour les théories et découvertes scientifiques proposées, mais surtout pas pour de la haute littérature.
récit de vie ou vivre un récit?
Critique de Estel (Briançon, Inscrite le 9 février 2006, 36 ans) - 17 mars 2006
Mais "le père de nos père" n'est pas seulement une balade à travers l'histoire de l'Histoire, c'est un véritable récit de vie. En effet, Werber nous donne dans son roman sa propre philosophie... et d'un certain côté elle est le chemin qui nous mène vers une réalité trop dure à envisager.
Un récit très prenant et d'un genre propre à Werber qui nous donne envie d'en savoir toujours plus sur ce qu'il se passe à travers l'histoire... et il est impossible de s'en détacher avant d'en être arrivé à la fin.
Une BD sans images
Critique de Le rat des champs (, Inscrit le 12 juillet 2005, 74 ans) - 30 décembre 2005
de l'action plus que de la réflexion
Critique de Rat noir (, Inscrit le 14 août 2004, 40 ans) - 30 décembre 2005
Pas très réusi
Critique de Neithan (, Inscrit le 19 juin 2005, 37 ans) - 6 juillet 2005
Le sujet de base est pourtant intéressant, avec comme thème le chainon manquant, et l'origine de l'homme...
Mais c'est à mon sens son livre le moins captivant et le moins bien écrit, l'histoire de "Il" à laquelle je n'ai pas accroché du tout, et certains passages ridicules me font penser que, en effet, werber devait être fatigué à la rédaction de l'oeuvre...
Bref j'ai lu beaucoup mieux de sa part, surtout les Fourmis, que je trouve nettement supérieur...
Papa!
Critique de Clem\'s (Allonne, Inscrit le 2 juillet 2005, 37 ans) - 3 juillet 2005
Très bon livre éducatif car il permet de voir comment vivaient nos lointains ancètres.
Très bon livre palpitant et émotif pour l'histoire...
Les personnages sont attachants: Lucrèce est comparée à une petite souris et Isidore, à un gros éléphant, car obèse.
Superbe histoire.
aie aie !
Critique de Julius (, Inscrit le 24 novembre 2004, 51 ans) - 27 juin 2005
- Non, dit Isidore tranquillement. Assez de mort, assez de destruction.
- Il a raison, mon père, approuva Lucrèce. Vous n'êtes pas raisonnable.
- Mais c'est la volonté de Dieu. Je vous en conjure, cette boite doit être brûlée. C'est la main du diable. C'est la main du diable aux doigts fourchus.
Isidore Katzenberg ramassa l'écrin transparent pour vérifier que tout était toujours en place. Ce fossile leur aurait décidément donné bien du tracas. Il allait ouvrir la boite quand, dans un crissement de pneus, une voiture surgit. Un bras sortit d'une portière et arracha l'objet contenant la si précieuse relique.
Bernard tu déconnes là ! c'est quoi ça ! t'étais fatigué ou quoi ?
Bon on est entre nous, je le garde pour moi, je le dis à personne sinon qui va lire ton livre ?
bof,bof...
Critique de Leto (seclin, Inscrit le 10 août 2004, 47 ans) - 5 juin 2005
Le chaînon manquant pour comprendre la création de l'homo-sapiens
Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 46 ans) - 4 juin 2005
Ce roman a beaucoup de bons côtés mais n'aura pas un place impérissable dans mes souvenirs de lectures.
agréable
Critique de Jam (, Inscrit le 2 novembre 2004, 48 ans) - 7 avril 2005
Apprendre est un vrai régal avec ce monsieur.
Je ne sait si ces théories sont fondées, inventées ou un peu des deux mais je suis preneur voila l'essentiel... lire et se faire plaisir
L'origine de l'homme revisité par Werber
Critique de Fane (Nancy, Inscrite le 28 mai 2003, 46 ans) - 28 mai 2003
On a vu mieux de la part de Werber
Critique de Carpe-diem (Fondettes, Inscrite le 11 mars 2001, 40 ans) - 9 mai 2002
aiguillage raté.
Critique de Drareg (Grace-Hollogne, Inscrit le 19 février 2001, 62 ans) - 17 mars 2001
Le livre reste cependant globalement bien écrit, surprenant et agréable à lire.
Il n'imprime néanmoins pas l'esprit du lecteur (au contraire de la saga des fourmis) et demande à être confirmé si pas complété par un ouvrage complémentaire. Nous attendons Mr WERBER...
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Le lecteur a toujours raison | 49 | Mallollo | 23 novembre 2010 @ 17:48 |