Et l'homme créa un Dieu : Prélude à Dune de Frank Herbert
(The Godmakers)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Publicité mensongère ?
Et non, Franck Herbert n'est pas l'auteur que de Dune... Même si le sous-titre du livre veut nous faire croire le contraire ( "prélude à dune" ).
Je n'ai pas exactement saisi le sens de ce sous-titre ( d'où le titre de ma critique )... en tout cas, à la lecture c'est loin d'être évident... Même si ce livre porte, comme Dune, sur le pourquoi du comment des religions.
A cet égard, Herbert est à mon avis evhémériste c-à-d partisan de l'idée que les Dieux étaient en fait des hommes exceptionnels déifiés après leur mort.
Le héros Lewis Horne est un peu un "casque bleu" du futur: il est envoyé sur des planètes afin d'éviter que celles-ci ne se militarisent et ne présentent un danger pour la paix nouvellement conquise dans l'Univers... Mais très vite, Lewis va montrer un talent assez impressionnant: serait-il un foyer psi ? Un Dieu ?
Le début du bouquin m'a bien plu... différent de Dune tout en retrouvant certains codes... Et très soutenu ! La psychologie de Lewis est bien décrite, et ce héros ne manque pas de charisme.
Par la suite, le récit s'enlise un peu... pour redevenir vraiment captivant à la fin !
Une occasion pour faire la transition entre Dune et les autres oeuvres d'Herbert ! ( le programme conscience notamment )
Les éditions
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Et l'homme créa un Dieu : Prélude à Dune de Frank Herbert
de Herbert, Frank
Pocket / Pocket
ISBN : 9782266111867 ; 4,00 € ; 18/01/2001 ; 248 p. ; Poche
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Une lecture un peu laborieuse
Critique de Martin1 (Chavagnes-en-Paillers (Vendée), Inscrit le 2 mars 2011, - ans) - 7 août 2013
Le début est bien, on se laisse emporter par les improbables aventures de Lewis. Mais par la suite, le récit s'enlise dans des réflexions périlleuses sur la nature réelle de Lewis : homme ou dieu ? C'est au milieu du livre qu'Herbert m'a vraiment largué, je ne comprenais plus rien à rien, pour moi Lewis n'était qu'un jeune agent efficace et bien sympathique, mais pas au-delà.
Alors je regrette de n'avoir pas pu saisir le sens de ce livre, mais je ne regrette pas de l'avoir enfin terminé.
La moitié du livre étant réussie, je donne la moitié des étoiles.
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Hey Pendragon! | 11 | FightingIntellectual | 4 juin 2004 @ 17:14 |
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