Destination cerveau de Isaac Asimov

Destination cerveau de Isaac Asimov
( Destination brain)

Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique

Critiqué par Asimov, le 20 février 2004 (Corroy-le-Grand, Inscrit le 18 février 2004, 41 ans)
La note : 5 étoiles
Moyenne des notes : 7 étoiles (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : 4 étoiles (50 006ème position).
Visites : 5 185  (depuis Novembre 2007)

Destination cerveau

Ce livre qui pour une fois dans la SF n’est pas tourné vers l’espace, mais est tourné vers l’intérieur de l’humain. Ce livre est un peu tiré en longueur surtout dans les descriptions des différents endroits où le vaisseau passe dans le corps humain mais mérite quand même d’être lu. C’est pour ma part loin d’être le meilleur roman d’Asimov, mais comme dans tous les romans qu’il a écrits, il y a toujours de bonnes choses à prendre. C’est donc un livre qui ne doit pas absolument être lu mais qui part son originalité mérite qu’on y jette un coup d’œil.

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Les éditions

  • Destination cerveau [Texte imprimé] Isaac Asimov [trad. par Monique Lebailly]
    de Asimov, Isaac Lebailly, Monique (Traducteur)
    Pocket / Presses pocket (Paris).
    ISBN : 9782266034722 ; 2,98 € ; 01/06/1990 ; 476 p. ; Poche
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Intérieure et énigmatique...

8 étoiles

Critique de Monde Vrai (Long Beach, Inscrit le 6 décembre 2011, - ans) - 8 décembre 2011

Avec ceux-là intéressés uniquement dans la vie par le foot ou par les filles, qui, agacé; n'a pas souhaité un beau jour refaire le monde ou au moins l'améliorer ? C'est ce qui arrive dans ce roman ou le suspense règne, et en dépit du fait qu'il s'agit de l'ancien régime communiste USSR, on est vite abasourdi par la maîtrise de Isaac Asimov à rendre crédible une histoire, tous comme d'ailleurs les similitudes de certains faits brûlants d'actualité (nombreux à avoir été, de toute façon, réalisés dans le passé, et autant à l'Ouest - avec par exemple les Lebensborn - qu'à l'Est) et la structure impressionnante de GENETICS INC., rigide et toute-puissante, qui en rappelera d'autres, certes aujourd'hui davantage américanisés. Enfin Staline a, lui aussi, déporté des millions de gens. Et puis ici la nemesis n'est pas une sorte de dictateur, mais une charmante doctoresse cultivée, très civilisée, (Natalia Boranova) à l'énorme ambition respectée ainsi qu'à l'angélique but, ce qui complique l'affaire. On a tout le long froid dans le dos pour Morrison, dans sa cellule isolée. Très bon livre, d'autant plus que le ton juste de l'auteur et ses sombres questions d'éthique n'en fait pas qu'un livre de SF. Ou prend donc fin le mensonge, et ou débute le bourrage de crâne ?


[Résumé de l'éditeur]

Le Dr Morrison est un savant maudit : personne aux États-Unis ne croit à sa théorie d'un réseau cérébral de la pensée créatrice. Comble de malchance et de hasard : Soudainement les Russes, eux, le prennent au sérieux...

[Des extraits...]

- Si c'est d'atomes miniaturisés que vous parlez, la constante de Planck, qui est un élément mathématique absolument fondamental de notre univers, l'interdit. Les atomes miniaturisés seraient trop petits pour s'intérgrer au grain de l'univers.

[...]

- Se tromper brillamment ? Quelle différence avec se tromper tout court ?

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