Où comment le monde à l'envers nous apprend à oublier le passé au lieu de l'écouter

Par l'auteur des "veines ouvertes de l’Amérique latine", un essai confondant sur la société de consommation.
Une citation: "La douleur de ne plus être, que le tango chantait autrefois, a cédé le pas à la honte de ne pas avoir.
Un homme pauvre est un pauvre homme.
Quand tu n'as rien, tu penses que tu ne vaux rien" dit un jeune homme dans le quartier villa fiorito, de buenos aires."
Deux citations:
"Invisible violence du marché: la diversité est ennemie de la rentabilité, et l'uniformité commande.
Cette dictature de l'uniformisation impose dans le monde entier un mode de vie qui reproduit les êtres humains comme des photocopies du consommateur exemplaire"
trois citations:
"La société de consommation est un attrape-nigaud.
Ceux qui tiennent les manettes font semblant de l'ignorer, mais quiconque a des yeux peut voir que la grande majorité des gens doit nécessairement consommer très peu et même rien du tout pour préserver le peu de nature qu'il nous reste.
L'injustice sociale n'est pas une erreur à corriger, ni un défaut à surmonter: c'est une nécessité essentielle.
Il n'y a pas de nature capable d'alimenter un shopping center de la taille de la planète.
E.Galeano. l'école du monde à l'envers.

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  Sens dessus dessous [Texte imprimé], l'école du monde à l'envers Eduardo Galeano ill. de José Guadalupe Posada trad. de l'espagnol (Urugay) par Lydia Ben Ytzhak

  de Galeano, Eduardo Posada, José Guadalupe (Illustrateur) Ben Ytzhak, Lydia (Traducteur)
  Homnisphères / Collection Imaginaires politiques
  ISBN : 9782915129069 ; 15,42 € ; 01/09/2004 ; 355 p. ; Broché

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