Être la fille de sa mère et ne plus en souffrir... de Patricia Delahaie
Catégorie(s) : Sciences humaines et exactes => Psychologie
Visites : 3 278
la fusion, ça réchauffe ou ça brûle?
Certaines femmes vivent une relation avec leur mère qui est une souffrance. Elles ne se sont jamais vraiment senties reconnues, ni entendues... Certaines le formulent mais d'autres n'osent pas se plaindre. Elles ne veulent pas accabler cette mère, cette héroïne que souvent, elles idéalisent et protègent. Pourquoi?
D'abord parce que nous éprouvons tous un besoin vital d'aimer nos parents et cela, quoi qu'ils nous fassent. Mais ensuite parce que la mère, dans nos sociétés, est sacrée, intouchable. Dès lors, se plaindre de sa mère devient sacrilège. Cette souffrance est aussitôt jugée suspecte. Elle passe plus pour un signe de déséquilibre que pour une preuve de lucidité.
Ce livre veut donner raison aux filles et valider leur intuition, leurs sentiments. Si elles ont l'impression que leur mère les aime peu, mal ou pas du tout, elles ont raison, en dépit de ce que leur entourage et leur mère elle-même en disent.
Les mères, de leur côté, peuvent reconnaître le mal qu'elles ont fait, leurs manques, leurs défaillances et s'en excuser. A partir de là, une autre relation peut commencer, sur de nouvelles bases. Certes, elle ne ressemblera jamais à celle, si tendre, si libre, si complice et confiante que d'autres mères et filles établissent entre elles, quand aucun contentieux ne vient vriller leur lien. Mais ce sera une relation sans colère, sans rejet, sans malheur. Une relation désormais sans reproche et sans haine. Une relation apaisée, enfin...
Les éditions
-
Être la fille de sa mère, et ne plus en souffrir [Texte imprimé] Patricia Delahaie
de Delahaie, Patricia
Marabout
ISBN : 9782501037846 ; 8,63 € ; 30/11/2002 ; 249 p. ; Broché
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Forums: Être la fille de sa mère et ne plus en souffrir...
Il n'y a pas encore de discussion autour de "Être la fille de sa mère et ne plus en souffrir...".