Incendies, manigances et faux coupable

L'histoire débute un chaud soir d'été, trois amis : Antonius, Marcus et Titus profitent de la faible brise nocturne sur la terrasse de leur immeuble quand soudainement le feu se déclare dans une maison voisine. Cela se passe sous le règne de l'empereur Auguste et à l'époque les incendies à Rome était ravageur car la plupart des maisons et des immeubles étaient en bois. Alors que les trois adolescents essayent d'éteindre l'incendie avec l'aide des vigiles de la ville et des habitants du quartier Titus et un vigile abattent les mansardes voisines pour circonscrire le feu. L'incendie prenant de plus en plus d'ampleur le vigile doit laisser Titus tout seul et ce dernier continue donc sa besogne mais il trouve dans une maison un homme inanimé. Le croyant simplement évanoui Titus essaye de le sortir de là mais en s'approchant il aperçoit un poignard recouvert de sang à ses cotés et se rend compte que l'homme est mort. C'est à ce moment qu'arrive Calidus un officier vigile qui en voyant Titus avec un poignard et un cadavre à ses côtés l'accuse d'avoir tué cet homme. Il faudra donc pour Titus et ses amis prouver son innocence et trouver le coupable.

C'est un petit roman sympathique et qui respecte bien le contexte historique dans lequel il s'inclut même si évidemment le fait d'être destiné à la jeunesse rend le récit relativement simple.

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  L'Incendiaire de Rome, numéro 902

  de Collectif,
  Bayard
  ISBN : 9782227747036 ; 4,50 € ; 12/02/1999 ; 144 p. ; Broché

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