Running man de Richard Bachman, Stephen King
(The Running Man)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Starsky contre Goliath…
C'est sous le peudonyme de Richard Bachman (et pour la quatrième fois) que Stephen King publie en 1982 ce roman de SF assez étonnant. Il récidivera deux fois encore &en 1984 et en 1996 - malgré la découverte du pot aux roses en 1985. Stephen King se confie à ce sujet: " J'ai fait ça spontanément. Sans raison particulière. Je crois qu'en chaque romancier se cache un grand joueur et j'ai trouvé marrant d'être quelqu'un d'autre pendant un moment, en l'occurrence Richard Bachman. Je lui ai même inventé une histoire pour aller avec la fausse photo que l'on voyait au dos de la couverture de la "La peau sur les os". Je lui ai inventé une femme, Claudia Inez Bachman, à qui je dédicace le livre. Je l'ai installé dans une ferme du New Hampshire où il cultive ses champs le jour et écrit la nuit. Les Bachman avaient un fils que j'ai fait mourir par noyade. J'ai même poussé le vice jusqu'à raconter que Bachman avait été opéré d'une tumeur au cerveau. Il est mort un beau jour de février 85 quand le Bangor Daily News a révélé la supercherie " Il ira même plus loin dans son phantasme puisque au début du livre "The Regulators"("Les régulateurs"), on peut lire une note de l'éditeur indiquant que Richard Bachman est mort en 1985 mais que sa veuve a retrouvé ce manuscrit dans le grenier.
2025. Etats-Unis. Ben Richards est chômeur et ne trouve pas d'emploi. Son épouse, Sheila, est dans l'obligation de "faire une passe" de temps en temps, pour acheter des médicaments à leur fille, Cathy. Cathy n'a que 18 mois et elle est malade. Rien de grave, une grippe mais qui risque de touner en pneumonie si un "vrai" médecin ne la soigne pas. Or, pour qu'un médecin vienne l'examiner, il faut de l'argent et de l'argent, ils n'en ont pas. Dans cette société, les médias ont pris le dessus. Le "Réseau" a imposé, notamment, le Libertel (la télévision) dans tous les foyers. Excédé par une vie de privations, sans issue et sans dignité, Richards se porte volontaire pour les jeux et il est sélectionné pour le plus regardé d'entre eux: La Grande Traque.
Le principe est très simple: rester en vie le plus longtemps possible. Ses adversaires: des chasseurs surentraînés, aidés par la population. L'aire de jeu: la Terre entière. Si Ben échappe aux "Traqueurs" un mois durant, il aura gagné un milliard de "nouveaux dollars". Sinon…
Ce livre est vraiment intéressant. Il est assez court et se lit très vite, tellement on a envie de savoir ce qui va arriver à ce pauvre homme qui ne veut finalement qu'une chose, le bonheur de sa famille. Le suspense y est très bien entretenu. La critique de la société, car il s'agit bien de cela, est réaliste à souhait. Ce qu'on lit entre les ligne, c'est que pour l'auteur, si la société continue à évoluer de la même manière (et je rappelle que le livre a été écrit en 1982!), on risque d'arriver à quelque chose d'aussi horrible que ce qu'il décrit au fil des pages. Croyez-vous qu'il a vu juste? Moi oui. Allumez simplement votre téléviseur.
Bien sûr, comme pour la plupart des romans de SK, il a été adapté au cinéma (en 1987), ce qui n'est évidemment pas pour me déplaire. Dans ce cas-ci, vous pouvez regarder le film "Running Man" sans aucune crainte d'une éventuelle perte de suspense lors de la lecture (et vice versa). En effet, les seuls points communs entre le livre et le film sont : le titre et le nom du héros!!! Stephen King en parle de la manière suivante: "Ce film m'a totalement échappé. Je n'ai absolument rien à voir avec lui. Ses producteurs y ont vu un bon prétexte à une histoire façon Terminator et Rambo, où Arnold Schwarzenegger pourrait débiter les petites formules dont il a le secret comme "I'll be back". Donc, dans le rôle du gentil-qui-va-casser-la-gueule-à-tous-les-méchants-et-ce-sera-bien-fait-pour-eux: Arnold Schwarzenegger. Le film n'est pas mauvais pour autant mais ce n'est pas du tout l'adaptation du livre que je viens de lire. Dans le rôle du réalisateur qui, paraît-il, n'a même pas lu le livre du Maître de l'épouvante (savait-il seulement que SK l'avait écrit?): Paul Michaël Glaser… Mais si, mais si, vous connaissez! C'est Starsky de "Starsky et Hutch", la série policière à succès des années 70-80…
Donc, si vous voulez un bon bouquin de SF, lisez Running Man. Si vous voulez revoir Schwarzie dans un rôle qui lui va comme un gant, voyez le film du même nom. A vous de choisir.
Les éditions
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Running man de Richard Bachman, Stephen King
de King, Stephen Bachman, Richard
J'ai lu / J'ai Lu Polar
ISBN : 9782290306710 ; 2,69 € ; 29/06/2000 ; 249 p. ; Poche -
Running man [Texte imprimé], roman Stephen King (Richard Bachman) trad. de l'anglais par Frank Straschitz
de King, Stephen Straschitz, Frank (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253151517 ; 7,70 € ; 05/01/2005 ; 315 p. ; Broché -
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Les critiques éclairs (25)
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Compte à rebours !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 4 septembre 2021
Premier quart du XXI ième siècle. Une féroce dictature a pris le contrôle de la population américaine.
2 classes sociales que tout oppose s'évitent et se craignent. Les plus riches côtoient la pauvreté la plus sordide. Les gouvernants utilisent la force et les jeux télé pour asservir encore davantage une population désireuse de sortir de sa condition.
Ben Richards est au bout du rouleau. Il a perdu son emploi et ne parvient pas à se procurer les médicaments nécessaire à la guérison de sa fille mourante.
Il décide alors de s'engager dans un célébrissime jeu de survie, "La Grande Traque ", une chasse à l'homme aux règles du jeu les plus viles et les plus violentes. Une course à la mort....
Un roman construit sur un "compte à rebours " ( Chapitre 100 -> Chapitre 0 ), où l'Action et les sensations fortes parsèment les pages.
Un scénario de film d'action .
Un roman qui dénonce une télé décérébrante, les instincts primaires d'une population manipulée.
Une lecture rapide, addictive, mais pas un Grand roman.
Un "petit King" qu'il a bien fait d'écrire sous pseudo car ce n'est pas - loin de là - son meilleur ouvrage.
Running Man
Critique de Killeur.extreme (Genève, Inscrit le 17 février 2003, 42 ans) - 12 novembre 2018
Il serait impossible en parlant de ce livre de ne pas parler du "Prix du danger" d'Yves Boisset qui adapte la nouvelle qui "aurait inspiré le roman de King" - pour situer à ce jour j'ai vu le film de Boisset, mais pas lu la nouvelle, mais le résumé de celle-ci sur Wikipédia (avec toutes les réserves que cela comporte) est fidèle au film, et si pour "Running man" Stephen King (sous le pseudonyme de Richard Bachmann) reprend le principe d'un homme qui participe à une chasse à l'homme télévisuel et doit semer ses poursuivants ne pouvant se fier à personne car le public peut soit l'aider ou aider ses poursuivants, il le traite d'une autre manière.
Dans le roman de King, Ben Richards ne participe au jeu que pour avoir assez d'argent pour que sa fille puisse guérir et on est avec le personnage et on voit le monde à travers ses yeux et c'est lui qui en se filmant donne le matériel à l’émission télévisée et il doit tenir 30 jours pour gagner le jeu et une forte somme d'argent.
Le livre se lit d'une traite, l'auteur se tenant toujours avec son héros on angoisse avec lui, on est soulagé quand il met de la distance avec ses poursuivants, tout en pointant du doigt certains travers de notre société qui sont encore malheureusement d'actualité comme la pollution et les maladies qui y sont liées.
Traqué 24/24...
Critique de Antihuman (Paris, Inscrit le 5 octobre 2011, 41 ans) - 28 avril 2016
Un seul homme va se dresser contre ce système, un nommé Ben Richards, en participant à un jeu télé débile et cruel nommé "La Grande Traque" afin de gagner un peu d'argent pour sauver sa fille. Et Richards est un malin, il comprend vite que ses adversaires ont une mentalité pour le moins vulgaire et passent le plus souvent à coté d'occasions où ils auraient pu se saisir de lui. D'autant plus que celui-ci gagne en popularité et voit de plus en plus clair dans le jeu des ennemis et usurpateurs !
Ceci est donc une excellente dystopie et je pense qu'il est inutile de relever les détails troublants qui évoquent également notre société. Pour ne pas flouer le suspense de THE RUNNING MAN, je me tairais sur la suite du récit mais sachez surtout qu'il y a à la clé un drame terrible, joint à une idée de rébellion envers tout pouvoir qui égale Aldous Huxley ou Georges Orwell.
La seule réserve étant le fait que Richard Bachman (Stephen King) s'est sûrement inspiré à l'époque de la rédaction de son livre de la nouvelle SF de Robert Scheckley, "Le Prix du Danger"...
Quelques citations
"Passez une bonne soirée, mon chou. Allez dans un restaurant chic avec votre petit copain de la semaine. Entre les langoustines et le steak, vous pourrez penser à ma fille de dix-huit mois qui est en train de crever de la grippe dans un deux-pièces miteux."
"« Ils nous ont donné le Libertel pour que le peuple crève tranquillement, sans faire d’histoires. […] Le Libertel nous tue. Pendant qu’on regarde leurs tours de passe-passe, on est aveugle au reste. »
Jeu mortel
Critique de Lison (, Inscrite le 6 février 2014, 74 ans) - 23 juillet 2014
Dans Running man, il est question de télévision et plus précisément de téléréalité. Qu’en était-il de ce concept quand l’auteur a écrit son bouquin ? Au mieux, à ses balbutiements, je suppose. Or, même si, à ma connaissance, une chasse à l’homme avec mise à mort n’est pas à l’ordre du jour, les jeux cruels du Libertel, la télé du régime totalitaire décrit par King, ne sont pas sans similitude avec certains programmes actuels d’une télévision dévoyée. En tout cas, l’esprit est le même.
Je ne suis certes pas la première à le dire mais je pense qu’il faut vraiment souligner l’incroyable créativité de Stephen King, auteur qu’il serait injuste de balayer d’un revers méprisant.
Voilà donc un roman en quelque sorte visionnaire qui nous raconte comment, par désespoir, Ben Richards s’engage dans un jeu télévisé, "La grande traque". Les spectateurs suivent avec avidité ce jeu mortel tout en étant invités à la délation et on se doute bien que Ben va donner du fil à retordre aux chasseurs lancés à sa poursuite... Évidemment, quelques passages à la limite du supportable nous rappellent que même si c’est signé Bachman, nous sommes bien chez King : attention à la fin du bouquin aux projections de dents ou à ne pas vous prendre les pieds dans les intestins répandus au sol…
Mais globalement, un roman simple et efficace avec en prime une scène finale elle aussi prémonitoire, clôturant l’histoire de façon apocalyptique.
Idée sympathique, peu de suspense
Critique de Elya (Savoie, Inscrite le 22 février 2009, 34 ans) - 10 janvier 2012
Se lit très rapidement !
Critique de SinOp (, Inscrit le 8 août 2011, 30 ans) - 24 août 2011
Livre avec beaucoup d'actions, on ne s’ennuie pas en lisant ce bouquin, on n'arrête pas de se demander comment il va réussir à s'en sortir, si il y parviendra évidemment. Seul bémol, c'est vrai qu'on ne s'attache pas spécialement aux personnages.
Un bon livre pour ma part.
Speed
Critique de Kalie (Sarthe, Inscrit le 4 juillet 2010, 54 ans) - 28 novembre 2010
Action, action, action
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 19 septembre 2010
Je suis un peu déçue parce que Stephen King est un des auteurs de mon adolescence, mais je vais retenter ma chance avec un autre roman parce que je suis convaincue que Running Man n’est pas représentatif de ce qu’il a écrit par la suite…
trés bon
Critique de Adrien34 (, Inscrit le 18 janvier 2009, 34 ans) - 18 août 2010
2) Deuxieme critique, celle de la société américaine,. Société à deux vitesses, opposition entre riche et pauvres, haine vis a vis des gens de couleurs, d'homo, n'acceptant pas l'echec social.
Conclu: Trés bonne surprise, trés bonne écriture, il ya beaucoup de style. Sa se lit trés vite car vraiment prenant.
A conseiller
Captivant de A à Z
Critique de Klodovik (, Inscrit le 6 juin 2010, 35 ans) - 10 juin 2010
Il bénéficie d'un rythme soutenu qui ne laisse aucune place à l'ennui et d'une histoire captivante (agrémentée d'une fin surprenante!) produisant chez le lecteur l'envie d'en savoir toujours davantage. C'est donc un livre difficile à lâcher avant la fin de la dernière page... L'écriture est simple, efficace, idéale pour les jeunes lecteurs.
Tout comme "Stalker", je m'attendais à quelque chose d'assez différent avant de commencer "Running Man". En effet, ayant vu le film avec Arnold Schwarzenneger avant de lire l'ouvrage de King, je pensais retrouver dans ce dernier un plus grand nombre d'affrontements directs entre Ben Richards et les chasseurs, tout comme je m'attendais à revivre les conflits entre groupes de stalkers intégrés dans les jeux vidéo en lisant l'oeuvre des frères Strougatski.
Bien entendu, ceci n'est pas à considérer comme un point négatif, il s'agissait simplement d'exposer mes attentes personnelles, forgées à partir d'une oeuvre ultérieure au roman dont il est question ici, et de les mettre en parallèle avec un autre ouvrage. De plus, je préfère nettement lire un livre qui me surprend plutôt qu'un livre dans lequel tout est prévisible.
La présence de quelques passages horribles, presque grotesques et pas franchement nécessaires à la progression de l'histoire est à mentionner. Mais pas de quoi amenuiser tout le bien qu'il y a à penser de "Running Man", tant il s'avère passionnant et intéressant. Voilà donc un excellent livre, que je conseille à tout le monde!
Prenant
Critique de Vero911 (, Inscrite le 23 janvier 2010, 37 ans) - 30 janvier 2010
On suit Ben en ayant peur pour lui, en souhaitant qu'il s'en sorte, traqué, trahi, il est le manipulé d'un jeu tv !
Arrivera-t-il à s'en sortir ?
Ce livre est très prenant et l'on souhaite vraiment savoir si Ben aura la vie sauve. Un King haletant, prenant qui n'est pas sans nous rappeler les dérives de certains jeux issus de la tv réalité !
Grandiose
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 2 décembre 2009
Sinon, erreur dans la chronique : le roman est effectivement sorti en 1982, mais il a été écrit bien avant, dans les années 70. Comme quasiment tous les Bachman sauf "La Peau sur les os" et "Les Régulateurs", il a été écrit dans la jeunesse de King, avant même qu'il ne paraisse son premier roman ("Carrie"). Mais il a été publié en 1982 pour la première fois, ça c'est effectivement le cas !
Niveau adaptation, c'est tout simplement calamiteux, mais le film ne l'adapte pas, alors pas de surprise, ah ah ah !
bon livre!
Critique de Math_h (Cahors, Inscrit le 11 août 2008, 38 ans) - 16 octobre 2009
Excellent
Critique de Kou (, Inscrit le 5 septembre 2009, 37 ans) - 5 septembre 2009
Très bon SK.
Un très bon livre de King
Critique de Minichouny (, Inscrit le 11 juillet 2009, 30 ans) - 11 juillet 2009
La grande traque
Critique de Manhattan (Marseille, Inscrit le 24 août 2008, 45 ans) - 2 septembre 2008
La règle est cruelle : rester en vie le plus longtemps possible, et un milliard de nouveaux dollars pour récompense.
Ben se lance à fond dans l'aventure, avec son instinct de survie.
Derrière cette chasse à l'homme, on se prend d'affection pour cet antihéros, et on veut qu'il s'en sorte.
Stephen King, visionnaire de génie montre une société tournée vers son autodestruction, avec des médias omniprésents.
Le roman date de 1982, et il est toujours d'actualité !
TRES BON!
Critique de Septularisen (, Inscrit le 7 août 2004, - ans) - 16 avril 2008
J’ai été stupéfié par la différence entre le livre et le film qui en a été tiré, car franchement j’ai eu l’impression d’avoir affaire à deux choses complètement différentes. Donc franchement ceux qui ont déjà vu le film peuvent tranquillement lire le livre ils ne risquent pas une redite!
Le seul reproche que j'aurais à faire à ce livre c'est d'avoir (un peu) mal vieilli p. ex. quand l'auteur nous parle de la caméra miniaturisée d'un poids de seulement... 3 Kg!!
Je remercie en tous cas Stephen KING de nous avoir épargné le happy end mielleux à la fin du livre et surtout je lui décerne un très grand bravo pour avoir «vu» le 11 septembre 2001 et surtout décrit et raconté la téléréalité (presque) comme on la voit aujourd’hui en allumant nos petits écrans… le tout en 1982!
Chapeau bas!
En tous cas je ne laisserait plus jamais personne dire que Stephen KING n'est pas un bon auteur d'anticipation et de science-fiction...
La phrase que moi je retiens du livre : «Dites votre nom deux cent fois de suite, vous vous apercevrez que vous n’êtes personne...».
Un des meilleurs textes de SK!
Critique de Milagrita (, Inscrite le 8 novembre 2005, 37 ans) - 25 septembre 2006
Attention spoiler
Au départ on espère qu'il va survivre et puis le roman avance plus on sait que ça n'aurait aucun intérêt et que malheureusement il va devoir mourir!Mais cette mort est justifiée et on sait que ça va permettre la naissance d'une nouvelle ère.C'est le genre de personnage qui est un anti-héros mais qu'on ne peut s'empêcher d'admirer!
C'est une belle leçon de courage.
Une critique pour le moins virulente!
Critique de Poupi (Montpellier, Inscrit le 11 août 2005, 34 ans) - 26 novembre 2005
Et je m'étonne que nos confreres de brulonslesjuifsdanslallegresse.com, tel cette ordure d'Enzo, lisent autre chose que les livres de Megret et Le Pen, en passant par "Mein Kampf"...
Amis humains, je vous salue...
Les autres, ben tant pis!
Livre et films
Critique de Enzo (, Inscrit le 21 novembre 2005, 55 ans) - 23 novembre 2005
Le roman est très différent du film, à se demander la têyte qu'à du faire King quand il a vu le résultat sur la pellicule. On comprend ses réticences, mis à part le nom "Ben Richard", il ne reste plus grand'chose de son oeuvre.
De mémoire, un passage qui m'a toujours fait sourire : "Moi, je participe à "nager avec les crocos", je ne sais pas pourquoi, je ne le sens pas ce jeu"...
Bouhhh le film
Critique de Chip (Nancy, Inscrit le 12 septembre 2005, 38 ans) - 23 septembre 2005
Dans le film, Ben Schwarzy Richards est fade, sans grande personnalité et c'est vrai que les règles du jeu sont propices à un scénar un peu light avec une succession d'affrontements où la psychologie des personnages d'habitude ultra-présente chez King est là complètement absente...
Il sait écrire ce type !
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 2 janvier 2005
L’écriture de King est à nouveau une pure merveille de lecture et sa psychologie tout simplement parfaite… jusqu’à la fin !
Roman court et direct qui se lit en quelques heures, à lire !
Court mais tellement excellent!
Critique de Vince (, Inscrit le 17 août 2004, 34 ans) - 18 août 2004
Jamais ennuyeux sauf au début ce SK est un peu court mais on ne ferme jamais le livre car on veut absolument savoir la suite!
Le meilleur SK!
A lire!!
Critique de Tich (Pietrebais, Inscrit le 26 mars 2004, 50 ans) - 26 mars 2004
Il nous plonge directement dans l'histoire de Ben Richards qui pour sauver sa petite fille malade se porte volontaire pour le jeu le plus sanguinaire: la grande traque.
On se prend d'amitié pour ce personnage au parler franc et à l'humour noir, on comprend ses motivations et on a vraiment envie qu'il y arrive.
SK fait par la même occasion une belle critique de ce que notre monde pourrait devenir et ça fait froid dans le dos
C'est un livre haletant ou l'on ne s'ennuie pas une seconde avec une fin assez surprenante.
Un SK qui change de ce qu'il écrit d'habitude
Un bon roman de SF
Critique de Tophiv (Reignier (Fr), Inscrit le 13 juillet 2001, 49 ans) - 12 août 2002
Le roman se lit rapidement avec une histoire sans temps mort et assez intéressante.
pas mal!
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Stephen King et Amélie Nothomb | 1 | Le rat des champs | 2 décembre 2009 @ 15:42 |