Mouais, bof, je ne sais pas, m'enfin non en fait!

Synopsis :
Un début de guerre nucléaire libère dans l'atmosphère d'immenses volumes de méthane enfoui sous les fonds marins polaires. Or le méthane est un gaz à effet de serre. Il va faire chaud, partout sur la planète déjà torride, l'été prochain, en 2028. Des ouragans gigantesques vont parcourir les océans, se transformer en tornades au-dessus des continents, faire naître des vents supersoniques et soulever des marées de tempête de cent mètres de haut. Et autant de passions humaines, de l'amour à la panique.

Critique :
Ma première impression n'est à vrai dire pas très bonne. Certes, le thème est intéressant et pourrait bien être d'actualité un des ces quatre. Scientifiquement, c'est assez bien étayé et l'ensemble se lit sans trop de problèmes. Par contre, la forme m'a plutôt rebuté. On est noyé dans une foultitude de personnages, certains omniprésents, d'autres bâclés, bref, trop de monde tue l'individu. En outre, l'auteur se perd un peu entre les genres (parti sur un roman-catastrophe, on finit sur de la science-fiction limite space opera par moment, l'ensemble versant dans le bas de gamme), ce qui n'est à priori pas pour me déplaire, mais dans ce bouquin ça ne passe pas bien. A un moment donné, on se fiche royalement de la "mère des tempêtes" tellement l'auteur semble parti à autre chose, d'où l'impression de s'être fait floué par le titre du bouquin.
A l'arrivée, je ne conseillerai pas forcément ces 672 pages, surtout qu'il y a bien mieux dans le genre "catastrophe", sans même parler du genre science-fiction.

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  La mère des tempêtes [Texte imprimé] John Barnes trad. de l'américain par Jean-Daniel Brèque préf. de Gérard Klein

  de Barnes, John Klein, Gérard (Préfacier) Brèque, Jean-Daniel (Traducteur)
  le Livre de poche / Le Livre de poche.
  ISBN : 9782253072355 ; 8,90 € ; 24/10/2001 ; 672 p. ; Poche

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