La nuit des temps de René Barjavel
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Prodigieux !
Je ne serai pas la seule à affirmer que « La nuit des temps » fait partie des meilleurs romans de science-fiction du XXe siècle. Mais c'est aussi une fascinante histoire d'amour qui nous fait découvrir un monde à la fois mystique et fabuleux.
L’histoire : une mission scientifique en Antarctique détecte un étrange signal provenant des profondeurs de la Terre. Pas d’autre choix que creuser. Pour trouver une sphère dorée contenant deux êtres humains congelés au zéro absolu mais encore en vie, enfouis là depuis la nuit des temps…
Qui est ce couple de jeunes gens ? La jeune femme est d’une beauté qui fascine, particulièrement le Dr Simon qui en tombe éperdument amoureux avant même que soit décidé de les réanimer. Le jeune homme est, quant à lui, grièvement brûlé.
« Elle » s’appelle Eléa. Grâce à une Traductrice où le langage de la jeune femme et ses semblables a été encodé et des moyens de communications propres à sa civilisation, Simon va être l’explorateur de son monde et de sa vie…
Un roman fabuleux qui nous captive du début à la fin.
Une civilisation puisée dans un passé de plusieurs centaines de milliers d’années mais qui dépasse la nôtre par un respect de la nature et une grande maîtrise de la technologie qui la mettra pourtant en péril.
J'ai lu ce roman pour la première fois à 16 ans, j’en ai été sincèrement émue et fascinée. Une fois entrée dans ce livre, difficile de le quitter. Vraiment bien écrit, il nous entraîne de plus en plus profondément dans un univers qui ensorcelle. Je n’ai pas trop envie d’en dire plus, les pages de ce livre parlent d’elles-mêmes. Mythique et merveilleux, il y a là de quoi en enchanter plus d’un.
Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, laissez-vous tenter, c'est vraiment un récit magique.
Les éditions
-
La Nuit des temps de René Barjavel
de Barjavel, René
Pocket
ISBN : 9782266023030 ; 1,77 € ; 01/01/1988 ; 275 p. ; Poche -
La nuit des temps [Texte imprimé], roman René Barjavel
de Barjavel, René
Presses de la Cité
ISBN : 9782258092327 ; 20,00 € ; 03/11/2011 ; 302 p. ; Broché -
La nuit des temps
de Barjavel, René
Pocket / Pocket
ISBN : 9782266230919 ; EUR 7,20 ; 19/11/2012 ; 409 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (86)
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Un des meilleurs de Barjavel
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 13 octobre 2022
« La nuit des temps » est un des meilleurs romans de science-fiction de René Barjavel. En se référant aux histoires légendaires de l’Atlantide, du continent de Mu et autres, il nous entraine à la découverte de Gondawa, une brillante civilisation qui aurait fini par disparaître dans les profondeurs de la terre sans laisser de traces suite à un conflit titanesque avec leurs ennemis. Bien évidemment, cette intrigue fort bien menée, relève de la parabole ou du conte philosophique. L’auteur veut nous faire partager son horreur de la guerre et les risques de fin de notre propre civilisation en cas de conflit nucléaire généralisé. Ce ne serait pas la première fois que l’humanité aurait accumulé tant d’armes qu’elle aurait été en mesure d’éradiquer toute vie sur terre. Mais nos prédécesseurs en folie destructrice auraient placé dans un œuf d’or deux « germes » cryogénés capables de faire refleurir la vie une fois la tourmente apaisée. Mais ils n’avaient pas anticipé le basculement de l’axe terrestre et la congélation du pôle sud. Publié en 1968, cet ouvrage majeur de la SF, est malheureusement encore d’actualité aujourd’hui. Le lecteur ne peut qu’approuver tout ce que Barjavel avance sur la nécessité du pacifisme, avec un petit bémol quand même sur l’espoir que le salut ne puisse venir que de la jeunesse…
Formidable !
Critique de Cédelor (Paris, Inscrit le 5 février 2010, 53 ans) - 13 septembre 2020
L’histoire : un signal émis depuis les profondeurs glacées de l’Antarctique est capté par une équipe scientifique. Une organisation internationale se met en place pour aller creuser et voir qui ou quoi émet ce signal. Ils découvrent une sphère d’or dans lequel se trouvent un homme et une femme congelés depuis 900 000 ans. Voilà pour le début. A vous de découvrir la suite et vous le ne regretterez pas !
Le début est une formidable aventure scientifique racontée avec passion et humour par l’auteur. Ensuite c’est à une véritable plongée dans une société du passé disparue qui a des allures de société futuriste. Cette seconde partie est trépidante, qui mêle action échevelée et histoire d’amour. La fin est digne de Roméo et Juliette.
Le message final que l’auteur a voulu faire passer pourrait se résumer à ça : faites l’amour pas la guerre ! C’est une mise en garde sur les dangers du nucléaire à des fins militaires et reflète la peur de voir le monde réduit à néant par les armes atomiques. Cela correspond bien aux préoccupations de l’époque où ce livre fut écrit.
Bien sûr, pour véritablement apprécier ce livre, il faut accepter toute l’histoire telle qu’elle nous est présentée et ne pas s’arrêter à certains faits invraisemblables (et il y en a !). Ce n’est pas une histoire vraisemblable, c’est une œuvre de fiction, une sorte d’énorme BD détonnante. Si on accepte cela, alors on peut prendre son pied à la lecture de ce roman qui n’est que plaisirs et délices (et pas seulement pour les scènes de cul !).
Dans son genre, c’est une œuvre intemporelle, écrite dans le but d’amuser et avertir, et ces deux buts sont parfaitement atteints. Je ne mets pas souvent 5 étoiles à un livre, mais là, je les lui mets malgré ses défauts car il m’a véritablement transporté.
Aventures et philosophie
Critique de Poet75 (Paris, Inscrit le 13 janvier 2006, 68 ans) - 20 décembre 2018
J’ai lu ce roman avec d’autant plus d’enthousiaste que j’ai compris, dès les premières pages, que j’avais affaire non seulement à un ouvrage formidablement bien écrit mais à une œuvre qui, soixante ans après sa rédaction, reste brûlante d’actualité. Les meilleurs romans de science-fiction sont ceux qui, par le biais d’une histoire totalement fictive se déroulant dans un autre temps que le nôtre, nous parlent d’aujourd’hui.
Quand Barjavel écrivit « La Nuit des Temps », certes, la géopolitique était différente de celle que nous connaissons en 2018. Mais on peut se demander si, fondamentalement, le monde a beaucoup changé. Les menaces qui pèsent sur l’humanité sont d’ailleurs probablement encore plus grandes de nos jours qu’elles ne l’étaient en 1968, ce qui renforce encore la pertinence du roman, lui donnant un caractère quasi prophétique.
Sauf si l’on est de mauvaise foi, on est bien obligé d’admettre, en effet, à présent, que la survie de l’espèce humaine est en jeu. D’ici un laps de temps assez court, la planète Terre pourrait devenir inhabitable. Or, le roman de Barjavel nous fait voyager sur notre planète il y a 900 000 ans, à la rencontre d’une civilisation dont les restes sont enfouis sous les glaces de l’Antarctique. Une civilisation dont on découvre que, précisément, elle a été détruite à cause d’un cataclysme planétaire qu’elle a elle-même déclenché.
Avant d’en arriver là, avant de faire découvrir au lecteur le sort qu’a connu ce monde maintenant enfoui sous la glace, Barjavel raconte comment une mission de scientifiques français est alertée par un son émis dans les profondeurs. Rejointe par des savants du monde entier qui viennent prêter main forte, c’est ainsi qu’est mise à jour la cité disparue sous les glaces dont on finit par apprendre qu’elle se nomme Gondawa. Or, non seulement il en reste des vestiges figés dans le froid de l’Antarctique, mais on finit par découvrir, en son centre, deux rescapés, si l’on peut dire, un homme et une femme cryogénisés depuis 900 000 ans dans l’attente d’un éventuel réveil.
Les scientifiques se mettent à l’œuvre et c’est la femme qui est choisie pour être, la première, éveillée de son sommeil de glace. Non sans difficultés, on parvient, en effet, non seulement à la faire revenir à la vie consciente mais à décrypter sa langue très complexe et à établir un dialogue avec elle. Elle se nomme Eléa et c’est par elle que, petit à petit, se dévoile le sort funeste de Gondawa. Elle raconte l’histoire de sa civilisation condamnée et elle raconte sa propre histoire ainsi que celle de deux de ses compagnons : Païkan, l’homme qu’elle a aimé et qu’elle aime toujours à la manière des gens de son espèce, et Coban, celui qui a imaginé le procédé de cryogénisation devant sauver deux des individus de leur peuple, c’est-à-dire lui-même en vertu de son incomparable science et Eléa en vertu de son incomparable beauté.
Je n’en dis pas davantage pour ne pas dévoiler toutes les péripéties d’un roman qui se présente comme un récit d’aventures à la manière de Jules Verne. Mais ce n’est là qu’un des aspects d’un ouvrage qui, si on le lit attentivement, s’offre au lecteur avec plusieurs niveaux de lecture. On peut, certes, se laisser séduire par les rebondissements d’une histoire très captivante, voire rocambolesque, mais on peut également être attentif à ce que le roman suggère d’un point de vue, disons, philosophique. Car, manifestement, Barjavel a introduit dans ce récit beaucoup de lui-même, beaucoup de ses propres convictions. Je voudrais, pour finir, relever trois d’entre elles.
D’abord ce qui concerne la sexualité ou la jouissance des corps. Barjavel se sert de son style le plus affiné pour raconter, avec un talent sidérant, l’union des corps et, en particulier, de celle d’Eléa et de son aimé Païkan. Ce qu’on comprend, en lisant attentivement ces pages magnifiques, c’est que l’auteur prône une sorte d’innocence des corps et de leur jouissance lorsqu’ils s’unissent l’un à l’autre. Autrement dit, il récuse le regard suspicieux porté sur l’acte sexuel par une grande partie des catholiques depuis saint Paul. Une phrase, qui a retenu mon attention, le dit d’ailleurs assez explicitement (page 323) : « La merveilleuse, la totale innocence d’Eléa leur montrait (aux scientifiques qui découvrent son histoire passionnelle avec Païkan) à quel point la civilisation chrétienne avait – depuis saint Paul et non depuis le Christ – perverti en les condamnant les joies les plus belles que Dieu ait données à l’homme. » C’est donc, selon Barjavel, saint Paul qui est le grand fautif ayant biaisé les regards en les orientant vers une fâcheuse méfiance quant à l’acte sexuel. Je ne peux commenter longuement ce sujet car, pour ce faire, il faudrait rédiger des pages et des pages. Mais j’invite à y réfléchir et à s’interroger quant au rôle joué par saint Paul dans l’élaboration du christianisme naissant.
Une autre conviction qui s’affirme dans le roman de Barjavel peut se résumer plus simplement en écrivant que l’auteur est un pacifiste pessimiste. Autrement dit, il prône la paix, mais sans croire que l’homme soit capable de la préserver. Cette conviction s’exprime à la page 347 lorsqu’un savant anglais propose l’élaboration d’une Déclaration de Loi Universelle qui se résumerait en une phrase : « Je refuse la guerre, quelles qu’en soient les raisons. » Belle déclaration mais dont on comprend rapidement que, l’humanité étant ce qu’elle est, elle ne restera qu’un vœu pieux.
Enfin, la troisième conviction qui m’a sauté aux yeux en lisant ce roman, c’est que, pour l’auteur, la prétendue évolution de l’espèce humaine progressant nécessairement vers le mieux n’est que fantaisie. Ce n’est pas par hasard si Barjavel raconte l’histoire d’un monde disparu il y a 900 000 ans et qui, par bien des aspects, était supérieur au nôtre (ce qui ne l’a d’ailleurs pas empêché d’être anéanti dans un cataclysme). « … il serait peut-être bon, écrit Barjavel à la page 358, il serait peut-être temps de se demander si la perfection n’est pas dans l’enfance, si l’adulte n’est pas qu’un enfant qui a déjà commencé à pourrir… ». Plus crûment et en faisant preuve d’un pessimisme total, l’auteur s’interroge sur l’humanité qui a fini par repeupler le monde longtemps après la catastrophe ayant anéanti le Gondawa : « Ils ont repeuplé le monde et ils sont aussi cons qu’avant, et prêts à faire de nouveau sauter la baraque. C’est pas beau, ça ? C’est l’homme ! ».
Superbe
Critique de Bimm's (, Inscrite le 15 juillet 2018, 23 ans) - 16 août 2018
un classique du fantastique
Critique de Andre_garon (, Inscrit le 17 février 2017, 53 ans) - 17 février 2017
Dans "Ravage" déjà on retrouve cette idée mais je trouve que "La nuit des temps" est le plus abouti.
Finalement, l'amour est la colonne vertébrale de ce roman. C'est à la fois subtil, fort et puissant. J'ai adoré, L'immersion est totale. Le récit est magnifique et tous les personnages sont attachants.
L'histoire est si réaliste, bien que traitée sur le thème de la science fiction : Lors d'une expédition polaire, une équipe trouve, enfermés dans la glace éternelle, deux corps congelés, un couple.
Ils arrivent à réveiller la jeune femme du nom d'Eléa. Elle raconte alors, à sa façon, sa vie et son destin, la fin du monde dans lequel elle a vécu, la mort de son amour éternel... elle explique ce qui l'a amenée ici, congelée depuis des siècles.
ce livre est sublime, de par ce qu'il raconte entre ces deux êtres que l'éternité a séparés.
Un livre splendide sur l'amour, avec un grand A.
Une science-fiction très accessible
Critique de Gwen21 (, Inscrite le 21 mai 2014, 44 ans) - 30 novembre 2015
Je viens d'achever la lecture de ce merveilleux roman et mon petit coeur est aussi glacé que la banquise sous laquelle ont reposé pendant 900 000 ans deux amants maudits aussi émouvants que Roméo et sa Juliette.
Je suis encore novice dans le domaine de la science-fiction cependant, il y a une chose que j'ai cru comprendre, c'est que lorsqu'on parle de science-fiction, soit on parle de dystopie, de conquête de l'espace, de vaisseaux spatiaux, de planètes inconnues, etc, soit on parle de fantasy avec des dragons, des trolls, des nains, des mages, des fées, etc. En gros, soit on se projette dans un futur lointain à l'image de nos aspirations, soit on imagine un passé ancien inspiré peu ou prou de notre Moyen-Âge. C'est ce que je croyais comprendre lorsqu'on me parlait de science-fiction. Désormais, avec "La nuit des temps" de Barjavel, je découvre qu'on peut faire de la science-fiction avec notre propre civilisation, en la mêlant intimement à une autre, fictive.
Je ne suis pas habituée à penser qu'une civilisation plus évoluée que la nôtre (- Ah, parce que tu crois que notre civilisation est évoluée, Gwen ? Vraiment, tu le penses ? - Heu... joker. ) se situe derrière nous et non pas devant nous. Bien sûr, il y a eu les Égyptiens, les Grecs, les Romains, les Mayas, les Chinois pour n'en citer que quelques uns mais le progrès est le progrès, n'est-ce pas ? L'ordinateur et la médecine sont bien des signes extérieurs de progrès, à ce qu'il paraît ?
Ici, avec ce roman magnifiquement écrit et dont le rythme m'a comme éblouie, Barjavel propose à son lecteur un voyage dans le passé, celui de sa propre civilisation, et lui propose de découvrir, comme une Atlantide éblouissante et bien terrestre, Gondawa qui a maîtrisé l'universelle énergie pour en faire un monde d'harmonie.
Barjavel a écrit "La nuit des temps" en 1966 quand les ordinateurs commençaient lentement mais sûrement à peupler quelques labos et quand personne ne songeait encore à une technologie, hors les armes massives, beaucoup plus évoluée que la TV et pourtant, l'auteur nous projette dans une civilisation plus brillante, plus puissante, plus sage... enfin, pas si sage puisque la violence et la guerre vont finalement l'anéantir dans une Apocalypse aussi définitive que celle qui nous pend toujours au nez en 2013. Pas une seule seconde au cours de ma lecture je n'ai trouvé que le texte avait vieilli comme ce fut mon sentiment avec "1984" d'Orwell.
Le roman en lui-même est vraiment une pépite. Aventure, passion, action... tout y est réuni avec beaucoup d'équilibre et de justesse. Des rebondissements en cascade et une intrigue (oui je dis bien une "intrigue") digne d'un polar avec un dénouement qui vous laisse sur le flanc ! Une narration tellement aisée et plaisante à lire que vous oubliez le temps qui passe, vous devenez partie prenante de l'histoire, vous ressentez toutes les émotions des savants qui essaient de percer les mystères que représentent Eléa et Païkan, seuls survivants d'une race décimée.
Eléa et Païkan... Deux êtres unis par un amour sublime, fondus en une telle osmose que leur histoire vous "prend aux tripes", il n'y a pas d'autres termes à employer.
Je viens d'achever la lecture de "La nuit des temps" de Barjavel et je sais déjà que ce roman m'a profondément marquée et que je ne suis pas prête de l'oublier. J'ai aimé sa force, sa réalité, sa vérité et son audace.
Pas mal ouais
Critique de Benson01 (, Inscrit le 26 mai 2012, 28 ans) - 4 juillet 2014
Déjà les bons points : c'est le premier Barjavel qui me tient vraiment en haleine jusqu'à la fin même si... même si on verra dans les mauvais points.
L'écriture est belle, simple et efficace. Que demander de plus de ce côté-là ?
L'histoire est intéressante. C'est Hibernatus à plus grande échelle en fait. Deux personnages datant de 900 000 ans avant notre ère sont retrouvés comme ça, gelés dans l'Antarctique. Alors bien évidemment, ils sont issus d'une civilisation extrêmement avancée sur la nôtre.
La chute est inattendue et bien choisie.
Hélas (les mauvais points), j'aurais préféré que le livre reste sur les rails de la science-fiction/anticipation plutôt que de dériver vers la romance idyllique bidon. C'est vrai quoi, au final la partie la plus importante (et la moins convaincante aussi - pour moi) du roman traite d'un amour impossible et d'un amour fantastique et d'un amour brisé et d'un amour... Au bout d'un moment ça va bien ! L'idée de l'Ordinateur qui désigne la conjointe ou le conjoint parfait pour vous est quand même encore plus extravagante que n'importe quelle autre idée. Vous me direz, là au moins, on se sent vraiment dans de la science-fiction, dans le sens le plus ridicule du terme. Même les extra-terrestres j'y crois plus que ça.
Du coup ça reste sympa, mais l'intérêt plonge dans le vide quand même...
Les points inclassables : on apprend que les Noirs viennent de Mars. Mais qu'est-ce qui a bien pu traverser son esprit dites-moi ?...
(- Alors, t'es de quelle origine toi ?
- Moi je viens de Mars. Je sais pas exactement de quelle région mais bon...)
Pas mal mais bon, 'faut pas abuser non plus...
Pas mal
Critique de Chrysostome (, Inscrit le 31 décembre 2012, 44 ans) - 15 juin 2014
Le style est assez banal et on a peine à s'attacher à la myriade de scientifiques du monde contemporain. Cependant, Barjavel dissémine parfaitement les révélations, graduellement plus incroyables, tout au long de son roman, ce qui m'a permis d'être accroché jusqu'au bout. Et le message exposé en filigrane est intéressant : irrémédiablement, l'Homme, capable de prouesses scientifiques, semble incapable de les utiliser à bon escient, les rivalités passant systématiquement avant l'intérêt collectif.
BOULEVERSANT!!!
Critique de Manu2793 (Voiron, Inscrit le 15 novembre 2010, 37 ans) - 12 mai 2014
Déboussolant
Critique de Un-autre-monde (, Inscrite le 9 décembre 2013, 27 ans) - 9 décembre 2013
Eléa et Païkan
Critique de Jaafar Romanista (Rabat, Inscrit le 3 février 2013, 36 ans) - 21 juillet 2013
Un voyage au bout des rêves avec des personnages attachants, ce roman est aussi un livre pacifiste contre la guerre et la stupidité humaine.
Bref, un très beau roman à lire absolument.
Belle émotion
Critique de Korl (, Inscrite le 24 mars 2013, 42 ans) - 25 mars 2013
Je recommande
Une histoire intemporelle
Critique de Ellane92 (Boulogne-Billancourt, Inscrite le 26 avril 2012, 49 ans) - 20 février 2013
A l'époque, tout mon entourage a été fermement invité à lire à son tour "La nuit des temps", avec un certain plaisir, il faut le dire. Quant à moi, je me suis plongée dans les œuvres de Barjavel avec délectation (avec une préférence pour "L'Enchanteur").
Vingt ans après, je suis toujours aussi enthousiasmée par la lecture de ce livre, mais je me rend compte combien l’on change, avec le temps. L'histoire d'amour qui me touche est celle du Pr Simon, cet amour sans fond et sans espoir qui ne m'avait pas vraiment effleuré plus tôt. Le monde réel, ses contingences, l'opposition raison/passion ont gagné en importance dans mon système de valeur, et il m'est arrivé de trouver l'histoire d'Eléa et de Paikan refermée sur elle-même, reflétant cet égoïsme qu’ont les amoureux de vivre leur bonheur au détriment des contingences du monde qui les entoure. Enfin, j'ai trouvé Barjavel pessimiste dans sa vision du monde : 900 000 ans après, les "hommes" sont les mêmes, se faisant la guerre pour des raisons suspectes, avec des civilisations plus ou moins évoluées qui ne prennent pas en charge les plus faibles, ou simplement ceux qui ne veulent pas entrer dans le moule, une détermination de plus en plus importante de la vie de chacun par le système de société dans lequel il vit, jusqu'à la destruction finale.
Quoi qu'il en soit, "La nuit des temps" est un ouvrage sublime, mené de main magistrale, tant dans le contenu que dans l'écriture, par un Barjavel au meilleur de sa forme.
génial Bajavel
Critique de Gégé78 (, Inscrit le 16 novembre 2012, 66 ans) - 16 novembre 2012
Au secours!!!
Critique de Apor8613 (, Inscrit le 16 novembre 2012, 35 ans) - 16 novembre 2012
Je ne le conseille à personne.
Le poids des ans
Critique de Polgara (, Inscrite le 20 novembre 2011, 41 ans) - 18 août 2012
J'aime
Critique de Rorschach (, Inscrit le 27 février 2012, 33 ans) - 29 juillet 2012
Fini hier je reste encore touché par ce livre.
Il y a un peu trop d'utopie et certains passages restent assez longs et pas forcément intéressants.
Cependant j'aime simplement toute l'histoire les personnages, les sentiments non partagés de Simon, cette fin tragique que j'avais malheureusement devinée.
J'aime cette idée de jeunesse de l’espèce humaine, tout l'univers créé.
Tout n'est pas expliqué mais m'en fiche!
Et puis j'ai envie de dire que c'est un roman de science fiction, depuis quand la science fiction est absolument logique et tient la route!
Amour éternel...
Critique de Nb (Avion, Inscrit le 27 août 2009, 40 ans) - 30 avril 2012
C'est dommage, je suis certainement passé à côté de ce que d'autres voient comme un chef d’œuvre. J'avais pourtant bien apprécié "L'Enchanteur" de ce grand auteur, mais là, je me suis ennuyé.
Etonnant et merveilleux
Critique de Antihuman (Paris, Inscrit le 5 octobre 2011, 41 ans) - 4 novembre 2011
Cette société dans laquelle un ordinateur décide de tout D'AVANCE charme, séduit et si on se laisse porter par l'histoire jusqu'à la toute fin le tout trouble certainement nos certitudes car la portée scientifique de cette oeuvre reste bien concrète: Lisez-le !..
Et comme le dit si bien Opalescente il y a d'un coté le roman d'anticipation de qualité, du niveau du chef d'oeuvre, mais il faut bien dire aussi de l'autre; le pulp moyen dans lequel on retrouve au final singulièrement et dans l'avenir de ces vérités absolues. Et ce n'est pas ces précieux bourgeois gentilhommes ou l'inverse qui vont nous contredire.
Trés beau roman de science-fiction, mais pas seulement...
Critique de Nina2010 (Bordeaux, Inscrite le 12 septembre 2010, 47 ans) - 19 août 2011
Barjavel écrivait de manière très fluide ce qui rend le récit très abordable. Le seul bémol: quelques longueurs, mais le livre mérite de s’accrocher un tout petit peu.
L'auteur était un vrai visionnaire, je suis restée tout à fait abasourdie par toute cette imagination. Je pense que c'est un écrivain à découvrir sur l'ensemble de son oeuvre mais si l'on n'est pas adepte de science-fiction.
La S-F ingénue
Critique de Opalescente (, Inscrite le 8 novembre 2005, 42 ans) - 26 juillet 2011
L'histoire est prenante et inventive, d'un romantisme héroïque vraiment enivrant.
Bien entendu l'auteur a vraiment une vision très personnelle de la perfection et il ne fait pas vraiment passer ses opinions en douceur... Mais qu'importe la politique, on se laisse ballotter dans son doux monde utopique et mystique, du rêve plein la tête jusqu'à la dernière page, qui soit dit en passant réserve un excellent dénouement.
Un livre qui se dévore!
Pour public ado
Critique de Lazercat (Haine-Saint-Pierre, Inscrit le 28 décembre 2008, 45 ans) - 3 avril 2011
Mais on est de plain pied dans la SF un peu nunuche. A la fin il est temps que le récit s'achève, sans compter les incohérences. (Il est par exemple impossible qu'un homme n'ayant pas reçu le sérum universel traverse le froid absolu, c'est écrit dans le bouquin, mais Barjavel n'hésite pas à outre-passer cela à la fin du livre).
Je conseille ce livre aux adolescents attendris, car ça donne envie de lire quelque chose et que cela est déjà cela de pris. Et encore, vu le nombre de scènes typées SAS, les professeurs de lettres pourraient encore hésiter à le mettre dans leur programme.
Pour les autres, passez vite votre chemin... Relisez un de vos Kundera, par exemple, c'est nettement mieux (ou même un bouquin professionnel)
Désolé mais je suis déçu...
Critique de Rock30 (Nimes, Inscrit le 6 juillet 2008, 61 ans) - 7 septembre 2010
Non au snobisme!
Critique de Nexttime (, Inscrite le 2 septembre 2010, 47 ans) - 3 septembre 2010
Mon livre favori
Critique de Annso87 (, Inscrite le 2 août 2010, 37 ans) - 2 août 2010
J'en ai lu des livres et des romans, mais celui-ci est de loin mon favori. Le seul que j'ai pu lire plusieurs fois, sans m'en lasser.
Un classique
Critique de Frankgth (, Inscrit le 18 juin 2010, 54 ans) - 18 juin 2010
superbe, émouvant
Critique de Lasconi (pessac, Inscrit le 4 octobre 2009, 48 ans) - 2 mars 2010
Amour sans je t'aime
Critique de Adrien34 (, Inscrit le 18 janvier 2009, 34 ans) - 21 mai 2009
Poussiéreux
Critique de Badzu (versailles, Inscrite le 6 novembre 2005, 49 ans) - 18 mars 2009
Il y a peu je me suis rendue compte que je n'avais jamais lu la Nuit des temps. Mon Dieu, quelle déception.
Si j'ai bien retrouvé le talent de conteur de Barjavel, j'ai trouvé que l'histoire avait sacrément pris la poussière. Et ça a réellement gêné ma lecture.
Passons sur l'histoire d'amour. Il est vrai que je ne supporte pas les histoires où l'homme tombe amoureux d'une femme inconnue simplement parce qu'elle est parfaite physiquement, c'est bon (non je suis pas aigrie!). Mais là, le vrai problème est que cette façon d'écrire de la science-fiction est vraiment dépassée, tant dans les détails que dans l'ambiance générale.
Du coup je me demande si en relisant Ravages je penserai la même chose...
Pour les amateurs de ce genre, Je conseille plutôt de lire la trilogie de Pierre Bordage (en commençant par l'Évangile du serpent). C'est la même veine, mais en beaucoup plus frais, plus visionnaire, plus enlevé, plus trépidant, surtout plus moderne, ce qui en bien mieux quand on fait de l'anticipation. Et surtout avec une égale (si ce n'est meilleure) qualité d'écriture...
élite
Critique de KyraLove (Liège, Inscrite le 14 mars 2009, 34 ans) - 14 mars 2009
Un excellent livre utopiste
Critique de Elisou92 (, Inscrite le 27 décembre 2008, 32 ans) - 28 décembre 2008
Très bon livre
Une vraie machine à remonter le temps
Critique de Clemsi28 (, Inscrite le 13 octobre 2008, 35 ans) - 28 novembre 2008
Commence alors une véritable conquête de la glace pour découvrir ce fameux émetteur. Ils découvrent des humains gelés -un homme et une femme- qu'ils finiront par réanimer.
Leur histoire -une vraie histoire d'amour- se passe il y a 300 000 ans et on se retrouve dans l'histoire de ce monde qui peuplait l'Antarctique.
Ce livre est excellent mais il y a beaucoup de vocabulaire technique c'est pour cela qu'il ne mérite pas 5 étoiles. Sinon l'histoire est magnifique mais la fin est triste. J'aurai aimé que la fin soit plus heureuse mais on comprend facilement ce que Barjavel a voulu dire: un monde a été détruit à cause d'une guerre cela ne doit pas se reproduire même si c'est une histoire inventée. On ne peut pas revenir dans le passé (même si c'est le rêve de certains chercheurs) et je pense que c'est pour cela que les humains revenus de l'univers gelé meurent à la fin.
Un chef-d'oeuvre...
Critique de Paquerette01 (Chambly, Inscrite le 11 juillet 2008, 53 ans) - 28 octobre 2008
La liberté, la connaissance, est un thème largement abordé :
La liberté favorise-t-elle la paix ou engendre-t-elle la violence?
La nature humaine est-elle fondamentalement bonne ou mauvaise?
Le progrès est-il un garant de la liberté?
Faut-il accorder un crédit à l'amour par décret?
L'évolution signifie-t-il le progrès?
J'ai beaucoup étudié la question des libertés individuelles dans les sociétés lorsque j'étais étudiante en Sciences po et ce livre est à ce titre très riche! Cela me rappelle étrangement « 1984 » et « La ferme des animaux » d'Orwell, « Le meilleur des mondes » d'Huxley, « Farenheit 451»de Bradbury; Autant d'ouvrage de Sciences-fiction, qui traîtent ces thèmes dans les années soixante ou se développe la guerre froide entre le bloc de l'est et le bloc de l'ouest.
Loin de vouloir vous faire peur avec ces considérations un peu élitiste, je vous conseille vivement ce livre car, contrairement à ceux sus-mentionnés et à l'idée que je me fais de la science-fiction, celui-ci est plein de sensibilité, de suspens et nous entraîne dans une histoire d'amour bouleversante digne d' un « Roméo et Juliette » des temps moderne.
Je ne suis vraiment pas fan de sciences-fiction, vous l'avez compris mais là, je suis vraiment soufflée de la performance...
Un livre qui traversera les décénies...
Banale admiration
Critique de Vilaine cafteuse (Angers, Inscrite le 11 décembre 2007, 34 ans) - 1 mars 2008
Je me contenterai juste de dire que Barjavel a réellement tissé une intrigue superbement poétique, admirablement originale, tendrement utopique. Un mélange détonant de science fiction et de romantisme à la Roméo et Juliette. Un hymne à l'amour, à la joie. Une satire juste de nos sociétés, bref un classique à lire et à relire !
Génial
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 3 juillet 2007
Bref, un roman de référence de Barjavel qui est, en plus, très bien écrit.
très moyen
Critique de Chrisair (Yvelines, Inscrite le 13 septembre 2005, 47 ans) - 10 février 2007
L'histoire est belle mais trop longue, trop de descriptions, j'ai vraiment eu du mal à me concentrer pour le finir.
Guimauve !
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 28 décembre 2006
magnifique
Critique de Hermion (villeurbanne, Inscrite le 3 août 2005, 36 ans) - 15 novembre 2006
j'ai adoré l'histoire. l'amour oh amour que tu adores ce livres qui parle de toi avec merveille
Magique!!!...
Critique de Elea06 (, Inscrite le 7 novembre 2006, 51 ans) - 7 novembre 2006
Indémodable
Critique de POOKIES (MONTPELLIER, Inscrit le 16 août 2006, 47 ans) - 24 septembre 2006
Barjavel nous tient en haleine durant toute cette épopée anticipative et parsemée d'amour.
La nuit des temps a été mon 1er livre choisi par moi même et non décidé par mes professeurs de l'époque. Et c'est grâce à lui, que je me suis mis à lire, à lire et encore à lire, tellement j'ai adoré.
Ce livre est indémodable, énormément jouissif, il restera dans les annales (enfin... au moins dans les miennes!)
le plus beau des Barjavel
Critique de Elyria (, Inscrite le 25 mars 2006, 33 ans) - 25 juin 2006
presque tout a déjà été dit sur lui mais il m'a vraiment touché alors voilà!
Mon premier amour..
Critique de DannyCPX (, Inscrit le 9 mai 2006, 48 ans) - 10 mai 2006
Avant de tirer sur ce roman, regardez sa date de première parution, admettez que Barjavel est un formidable visionnaire de la science-fiction, non pas aussi précis et complexe qu'un K-Dick, mais toujours brillant.
La nuit des temps, est un livre à découvrir à l'adolescence, pour donner envie de dévorer les titres de Barjavel et ensuite partir sur d'autres horizons littéraires inspirés du même esprit.
Nuit des temps et tant d'ennui!
Critique de Jean Meurtrier (Tilff, Inscrit le 19 janvier 2005, 49 ans) - 20 avril 2006
Au début, le style est assez commun, simple, pas spécialement efficace. L’auteur nous donne trop de détails qui n’arrivent pourtant pas à fixer l’ambiance, hachant la lecture de ce qu’on pourrait imaginer être un rapport d’expédition. Ensuite, le style s’améliore et s’envole même lors de la narration des aventures d’Eléa et de Païkan, pour retomber à l’approche de la fin du roman. J’ai l’impression que l’auteur a voulu lancer plusieurs pistes qu’il a oublié de développer. Par exemple, les passages du journal intime de Simon sont vite abandonnés, à mon grand soulagement tant je les trouve écœurants de mièvrerie, à l’image du personnage. Le reste de la troupe des savants n’est guère mieux : de vagues caricatures des nations qu’ils représentent.
Même s’il faut reconnaître quelques bonnes anticipations, les idéaux de Barjavel ont pris un sérieux coup de vieux, ce qui rend sa leçon de philosophie aussi agaçante que celles de Bernard Werber. Franchement, avez-vous envie de vivre dans le monde d’Eléa, avec son ordinateur central ? Les arguments utilisés par l’auteur pour nous rallier à son utopie sont risibles : osmose avec une nature sans prédateur, nourriture sans viande, énergie propre à profusion… Mais au fil du roman, l’imagination de l’auteur montre ses limites rendant peu à peu ce monde irrésistiblement comparable au nôtre. Par ailleurs, on perdrait son temps à relever les illogismes, les incohérences et les invraisemblances scientifiques qui nuisent à la crédibilité du récit.
Venons-en à cette fameuse histoire d’amour : une relation parfaite entre deux êtres parfaits. Je n’y ai pas trouvé de prise pour m’y accrocher tant cette idylle est lisse. Je également senti venir d’assez loin le dernier rebondissement dont notre héroïne du passé n’a même pas soupçonné l’éventualité.
Barjavel est-il raciste ? A la lecture de « La nuit des temps », je ne perçois pas de mauvaise intention de sa part. Par contre le politiquement correct actuel pourra toujours y puiser des tendances racistes. Barjavel est-il misogyne ? Voilà qui est plus discutable…
Génial!
Critique de Lélia (, Inscrite le 22 février 2006, 35 ans) - 22 février 2006
Je ne cache pas que j'ai eu du mal à accrocher au début et que les descriptions qui n'en finissent pas nous m'ont parfois tentée à décrocher mais... je ne suis pas déçue de m'être accrochée!! Ces 300 ou 400 pages sont un régal, l'histoire est incroyablement bien ficelée, les personnages attachants, et les inventions futuristes inimaginables font rêver!!
Pour conclure, je me dois de remercier ma prof de français de collège, sans qui je n'aurais jamais connu ce bijou de la littérature française ! :-)
Une belle histoire comme on en veut plus souvent
Critique de Manga (, Inscrite le 20 janvier 2006, 36 ans) - 12 février 2006
Malheureusement, je ne peux pas en dire beaucoup plus car je l’ai lu il y a X années et ma sœur - à qui je l’ai prêté - ne me l'a toujours pas rendu alors que j’aurais bien besoin de le relire !
le livre parfait!
Critique de Prouprette (Lyon, Inscrite le 5 février 2006, 40 ans) - 9 février 2006
Barjavel a su mêler amour, science-fiction, mais aussi actualité avec brio ! J’ai adoré ce livre qui m’a émue et tenue en haleine pendant près de 400 pages.
Petit clin d’œil assez étonnant concernant la révolte des étudiants…écrite par Barjavel 4 ans seulement avant mai 68…
Quand on m’a parlé de science-fiction, j’étais sur la réserve, mais finalement je n’ai qu’une chose à dire : Chapeau bas !
400 pages qui auraient été aussi bien en 200
Critique de Norman Jonhson (Solre-sur-Sambre, Inscrit le 7 décembre 2005, 34 ans) - 7 décembre 2005
Tout mon entourage disait : " c'est génial , tu verras".
C'est un livre plus qu'ennuyeux, bourré de détails inutiles et lourds.
Les inventions futuristes exagérées , le style est ennuyeux , l'action est peu présente.
Les deux seuls bons points sont l'effort qu'a fait l'auteur pour expliquer deux trois phénomènes (les cratères sur la lune).
Mais c'est un auteur manifestement raciste à la fin du 20ème siècle!!
J'ai été enragé par cette histoire de noirs qui viendraient de Mars. C'est une honte de donner de telles hypothèses absolument abominables et (excusez moi du terme) connes à souhait!!
Livre décevant et long , en somme.
Sortez les violons
Critique de Arundhati (, Inscrit le 9 octobre 2005, 63 ans) - 5 novembre 2005
Peut-être mais pas pour ceux qui en lisent, en général...
Bon d'accord, c'est une très gentille histoire à l'eau de rose, plutôt bien ficelée si on enlève tout l'aspect futuriste, justement, qui est là franchement risible.
Si on aime les histoires d'amour et la SF, mieux vaut lire "Le jeune homme, la mort et le temps" de Richard Matheson...
Une ode à l'amour
Critique de Sandra78 (Maisons-laffite, Inscrite le 4 novembre 2005, 37 ans) - 4 novembre 2005
la première, celle de ceux qui estiment que non, il est définitivement impossible que la science est un tel pouvoir, qu'une histoire d'amour soit relatée dans un tel contexte... Bref que les fondements de La nuit des temps restent ébranlables...
Et la seconde vision, celle de ceux qui sont assez souvent etonnés d'avoir aimé une oeuvre basée sur la science fiction, mais bien heureux tout de même d'avoir pu lire une telle ode à l'amour...
En ce qui me concerne ce livre est magnifique. Le temps d'une lecture on se laisse emporter dans un autre monde, pas forcément plus beau que le nôtre mais dans un monde où l'amour est victorieux... Un peu niais peut-être mais tellement agréable...
j'adore!!!!
Critique de Bibou379 (, Inscrite le 26 mai 2005, 40 ans) - 28 octobre 2005
Golden sixties...
Critique de Csame (Bruxelles, Inscrit le 27 octobre 2005, 40 ans) - 27 octobre 2005
Une société utopique sans grande créativité, une guerre pseudo-nucléaire, des survivants à notre époque.
Cela manque cruellement d'inventivité.
Je ne dirai pas pour autant que ce livre est inintéressant. Si la pensée des soixante-huitards vous intéresse, avec lutte féministe et guerre froide en prime, vous aimerez.
Trés bon
Critique de Lyra will (, Inscrite le 25 août 2004, 36 ans) - 25 juillet 2005
C'est un autre univers où l'on plonge avec plaisir, où l'on se promène de découverte en découverte en même temps que ces chercheurs passionnés.
Au delà du fond, ce qui m'a le plus épatée, c'est le style de l'auteur, je n'ai évidemment pas assez d'expérience littéraire pour comparer comme il le faudrait, mais je n'ai jamais rien lu de semblable, c'est fluide, poétique, des trouvailles à relever sans arrêt, bref, excellent.
BIEN... MAIS SANS PLUS!
Critique de Septularisen (, Inscrit le 7 août 2004, - ans) - 28 juin 2005
On sent la fin arriver de très loin, et on peut déjà dire ce qui va arriver à la moitié du livre, on comprend que l'histoire d'amour du Dr. SIMON est vouée à l'échec au moment même où elle commence... alors l'histoire perd quand même de son intérêt...
Enfin, à la fin du livre on reste quand même sur sa faim...
Un mystère demeure... Comment la sphère a-t-elle pu se retrouver là... puisqu'on décrit dans le livre une civilisation d'un niveau technologique nettement plus avancé que le nôtre et qui se serait détruite dans une sorte de guerre thermonucléaire totale, le tout il y a plusieurs millions (?) d'années... sur notre propre planète donc, et dont on n'aurait jamais retrouvé aucune trace à part justement ladite sphère... c'est un peu tiré par les cheveux non? D'autant plus qu'à cette époque-là l'humanité n'existait même pas... sauf si justement cette guerre nous avait renvoyé à l'époque des singes...
Une histoire sans queue ni tête...
Un bon roman de science-fiction... comme tant d'autres...
bon livre
Critique de Lecteur n°1 (, Inscrit le 10 juin 2005, 39 ans) - 24 juin 2005
Magique
Critique de Neithan (, Inscrit le 19 juin 2005, 37 ans) - 23 juin 2005
Aimer rime avec souffrance, et Barjavel transcende ce passage obligatoire pour qui veut aimer: souffrir, en atteste Simon et ses sentiments troubles et confus...
Barjavel dénonce aussi l'absurdité de la guerre, il y décrit une révolte mené par les jeunes, voix du peuple... Ici le monde appartient aux hommes, l'Homme capable de tout, maître de sa destinée, la science au service de la Vérité...
En clair, cette lecture m'avait vraiment marqué, et fait partie de ces livres qui resteront toujours dans ma mémoire...
très déçu par la fin
Critique de Cesium137 (Le Mans, Inscrit le 8 juin 2005, 41 ans) - 9 juin 2005
C'est bien simple j'ai déjà plusieurs fois relu ce livre mais jamais la fin je m'arrête avant les deux derniers chapitres.
Je doit être trop sensible ou trop bon public.
C'est beau....
Critique de Giny (Casablanca, Inscrite le 26 avril 2005, 36 ans) - 28 mai 2005
Un bon souvenir de lecteur
Critique de JEANLEBLEU (Orange, Inscrit le 6 mars 2005, 56 ans) - 13 avril 2005
Certes, je pense que je n'en retirerais pas le même plaisir maintenant (mon "expérience" de lecteur s'étant étoffée) mais l'idée de départ est interessante et l'histoire bien menée. Le tout avec le style limpide de Barjavel.
...un chef d'oeuvre..
Critique de Tchoupinette (, Inscrite le 18 mars 2005, 39 ans) - 18 mars 2005
les images de ce livre trônent à jamais dans mon esprit car plongé dans l'histoire on s'imagine ce monde et des images restent ancrées en nous pour toujours...
c'est un livre qui m'a vraiment bouleversée par tant de franchise, tant de beauté et de justesse..pas une seule ligne qui suscite l'ennui, pas un seul mot qui sonne faux..que du bonheur du début à la fin.. Barjavel a son univers qu'il est impossible d'oublier lorsque l'on y a goûté...et pour les gourmands je conseille aussi "Tempête" de Barjavel... certes il ne vaut pas " la nuit des temps" mais comme toujours Barjavel est...incroyable...dans son écriture..
Un des meilleurs livres de Barjavel...
Critique de NimReplica (Jumet, Inscrit le 24 février 2005, 45 ans) - 9 mars 2005
Outre l'histoire d'amour très profonde qui y est contée, je retiens la mise en garde formulée. Une civilisation trop évoluée pour encore rester humble face à la force de la nature qui rencontrera sa perte et le retour à l'age de pierre de notre humanité en raison de son humeur belliqueuse.
Un roman passionnant, riche de sens et qui restera longtemps dans la mémoire de celui qui le lira.
Déçue...
Critique de Clarisse16 (, Inscrite le 22 février 2005, 37 ans) - 22 février 2005
Mitigée
Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 57 ans) - 21 février 2005
Nul besoin de reparler de l'histoire, c'est fait et bien fait déjà.
C'est agréable à lire dans le sens où ce n'est pas trop technique, ni trop futuriste dans l'approche uchronique, il y a même quelques fulgurances pour l'époque où ça a été écrit, pour autant ça a un petit goût de mièvrerie qui ne m'a pas emballée.
Je n'ai pas adhéré à l'histoire d'amour, en somme.
Cependant ça me donne l'envie d'en lire plus de Barjavel, suite au prochain épisode, donc...
je ne comprend pas
Critique de Cami27 (, Inscrite le 13 février 2005, 34 ans) - 13 février 2005
Je l'ai fini uniquement parce que j' en était contrainte par l'école!!!
A dormir debout (d'après moi mais aussi d'après une bonne quantité de gens que je connaît ayant lu le livre)
Evitez de lire ce livre avant au moins 14-15 ans. Je l'ai lu à 12 ans et il m'a réellement choqué par certaines scènes vraiment osées.
Lisez le si vous voulez, mais je vous le déconseille!!!
Science-fiction poétique
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 19 janvier 2005
Ode à l'amour
Critique de L'étoile du soir (Nancy, Inscrite le 4 janvier 2005, 42 ans) - 5 janvier 2005
Le début m'a un peu saoulé mais une fois qu'on fait la connaissance d'Eléa et de son monde, on est transportés.
L'histoire d'un amour vrai.
J'ai adoré mais mon préféré reste "Le Voyageur imprudent"
Indétrônable.
Critique de BouquineurdeParis (Paris, Inscrit le 3 janvier 2005, 46 ans) - 4 janvier 2005
Cette double intrigue, histoire d'amours viscérales, autour d'une société "parfaite mais pas tant que ça", m'a littéralement fait rêver durant mon adolescence, lorsque j'ai eu le livre entre les mains pour la première fois, et plus tard lorsque je l'ai redécouvert ...
Les mots "Je suis à Païkan. Je suis à Eléa" n'ont pas fini de résonner ...Quant à l'équation de Zoran, j'en attends toujours la démonstration, même si intuitivement pourquoi pas ?
Pour ceux qui reprochent une vision un peu naïve, ne pas oublier que cette oeuvre est parue en 1968, faites l'amour pas la guerre !
tout simplement merveilleux
Critique de Manandra (Paris, Inscrite le 16 novembre 2004, 39 ans) - 16 novembre 2004
Amour, quand tu nous tiens.
Critique de Rat noir (, Inscrit le 14 août 2004, 40 ans) - 31 août 2004
Vision naïve d'abord de la science qui peut tout faire. Ensuite de l'homme maître du monde. Un peu avant le feu d'artifice final, on a une description de la faune peuplant la surface. Pas de prédateurs, pas d'animaux veinimeux, que de placides herbivores. Qui d'ailleurs se précipitent vers les humains pour implorer leur aide. Enfin, cette idée de "paix avant tout" et d'amour sans faille me tappe sur les nerfs.
Mais je ne veux pas décourager les amateurs et puis, il faut lire pour se faire une idée.
Sans plus...
Critique de Zibouille (Lustin, Inscrite le 12 août 2004, 54 ans) - 12 août 2004
Découvert grâce à un prix de math !
Critique de Christof13 (, Inscrit le 28 juillet 2004, 45 ans) - 28 juillet 2004
Laissons tomber ces maths pour s'attaquer à ce livre bien plus intéressant que cette anecdote scolaire.
De la première à la dernière page, on se trouve immergé dans cette aventure fantastique. J'ai beaucoup aimé la manière dont Barjavel aborde le thème de cette civilisation perdue (Atlantide). On ne lâche pas le bouquin avant de l'avoir fini.
Cela fait maintenant plus de 10 ans que je ne l'ai plus lu mais j'ai bien envie de m'y remettre.
Pour une fois les maths ont été utiles :o)
un merveilleux souvenir!!!
Critique de Wild-poppy (, Inscrite le 25 juillet 2004, 44 ans) - 25 juillet 2004
maintenant je suis libraire et c'est entre autres grâce à des livres comme celui-là.
Renversant...
Critique de Melisende (, Inscrite le 24 juillet 2004, 37 ans) - 24 juillet 2004
C'était il y a 6 mois je crois et c'est en fouillant dans un forum à l'effigie du groupe Indochine que j'ai découvert que beaucoup de fans avaient adoré ce livre... je me suis donc dit, pourquoi pas ! En lisant le résumé sur le dos du livre, j'ai d'abord été réticente, ces histoires scientifiques, très peu pour moi... et finalement je me suis lancée. Les 1ères pages ont passé puis j'ai passé le cap de la centième page et finalement j'ai dévoré le livre en 3 jours... vraiment une histoire magnifique, grande histoire d'amour, et très bonne réflexion sur l'âge d'or comme on aimerait le retrouver en ce moment...
Je n'ai pas voulu mettre la meilleure note, d'une part car je crois qu'un livre ne peut jamais être vraiment excellent et puis surtout parce que ce n'est pas le livre de Barjavel que j'ai préféré... et voui, je reste à mes petites préférences : L'enchanteur... étant passionnée par la légende arthurienne mais aussi par les fées et les elfes, ça ne pouvait pas être autrement....
A lire absolument...
Critique de Paikanne (, Inscrite le 1 juillet 2004, 59 ans) - 1 juillet 2004
Un livre "ovni".
Critique de Gabrielle (, Inscrite le 17 mai 2004, 36 ans) - 17 mai 2004
Malgré le début un peu long, on se retrouve vite plongé dans l'histoire, incroyablement captivante.
Ce livre fait incroyablement rêver, est exceptionnellement et merveilleusement magique...
Les personnages décrits sont intéressants, le style de Barjavel assez fluide... Un livre magnifique à lire absolument.
Une merveille!
Critique de Crakinath (Onex, Genève, Inscrite le 15 mai 2004, 41 ans) - 15 mai 2004
Fabuleux!
Critique de Palmyre (, Inscrite le 15 avril 2004, 63 ans) - 24 avril 2004
J' ai d'ailleurs plusieurs fois relu le livre et toujours avec le même plaisir et surtout la même émotion, je ne peux pas m' en empêcher les larmes me montent aux yeux plus d'une fois pendant la lecture de ce que je considère comme "le" chef d'oeuvre de René Barjavel.
une belle histoire d'amour
Critique de Scarlett (, Inscrite le 6 mars 2004, 38 ans) - 21 mars 2004
Amour génétiquement parfait...utopique ou réel?
Critique de Helguerchio (Haine-saint-pierre, Inscrit le 15 mars 2004, 48 ans) - 15 mars 2004
Celà m'a entre-autre motivé à mieux respecter mes relations sentimentales, avec toujours cette question: Suis-je devant mon Eléa ?
Une bien belle utopie, mais cette histoire est d'une grande richesse d'esprit. Un bon récit est pour moi un récit où on peut tirer des enseignements, et la quête de l'âme soeur démontré par Barjavel en est un.
merveilleux
Critique de Alcofribas (, Inscrit le 6 mars 2004, 37 ans) - 6 mars 2004
Un peu déçu...
Critique de Aethus (Evreux, Inscrit le 13 janvier 2004, 38 ans) - 13 janvier 2004
Beaucoup d'attentes...
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 15 décembre 2003
Le début de ce roman est absolument captivant. L'auteur nous accroche avec des chapitres concis concernant cette découverte fantastique et ses répercussions sur le monde. Mais soudainement les chapitres s'allongent et s'embourbent dans une melasse utopique naïve. Ce monde banal qu'il nous dépeint et cette manière qu'il nous force à accepter cette vision comme la perfection pour l'humanité m'a plutôt irrité. Il m'a été très difficile de m'intéresser à cet univers, d'autant plus que j'étais déjà au courant de sa fatalité.
En somme, un demi-succès pour moi. Mais, je suis dans la minorité.
Magnifique et passionnant !
Critique de Maya (Eghezée, Inscrite le 18 octobre 2001, 49 ans) - 7 novembre 2001
Bien mais pas le meilleur Barjavel
Critique de Tophiv (Reignier (Fr), Inscrit le 13 juillet 2001, 49 ans) - 17 octobre 2001
j'avais 16 ans ....
Critique de Chat pitre (Linkebeek, Inscrite le 23 février 2001, 53 ans) - 15 octobre 2001
Barjavel est souvent un auteur qu'on lit à l'école ce qui peut être un honneur pour l'auteur mais peut parfois aussi le desservir car les livres que l'on était obligé de lire à l'école ne nous laissent pas toujours un bon souvenir. Si c'est votre cas passez outre vos rébellions d'adolescents et découvrez ce grand auteur. Qui se souvient de "Dans la peau de César"?
vraiment superbe!!
Critique de Thémis (Ligny, Inscrite le 17 avril 2001, 54 ans) - 15 octobre 2001
Rien à voir avec ces livres de science-fiction qui n'ont ni queue ni tête.....ni véritable histoire. Je suis tout à fait d'accord avec Bluewitch, c'est certainement l'un des meilleurs!
Histoire de l'amour... le vrai!
Critique de R_daniella (Grace Hollogne, Inscrite le 14 octobre 2001, 45 ans) - 14 octobre 2001
L'amour ou il n'y a pas de "Je t'aime…", sollicitant une réponse!
L'amour que l'on dit légendaire. L’amour qui s’avère pourtant vrai envers et contre tout !
Ce roman est une perle pour tout les amoureux de l'amour... Avec un petit goût de « Roméo et Juliette », à lire expressément.
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"La Nuit des temps" de Barjavel | 24 | Don_Quichotte | 26 janvier 2023 @ 22:24 | |
De l\'aide ? | 4 | Tristan | 2 décembre 2004 @ 01:39 |