La face cachée de Greenpeace de Olivier Vermont

La face cachée de Greenpeace de Olivier Vermont

Catégorie(s) : Sciences humaines et exactes => Economie, politique, sociologie et actualités

Critiqué par Enzo, le 12 décembre 2005 (Inscrit le 21 novembre 2005, 55 ans)
La note : 10 étoiles
Moyenne des notes : 3 étoiles (basée sur 4 avis)
Cote pondérée : 2 étoiles (59 804ème position).
Visites : 8 336  (depuis Novembre 2007)

Greenpeace ? noop, Redwar !

Olivier Vermont est un journaliste d'investigation qui a réussi à infiltrer Greenpeace pendant 10 mois. Il dresse un tableau noire de ce lobby d el'environnement : ses liens avec l'URSS et la Chine mais également ses accords passer avec de gros industriels pollueurs, sa proportion à l'espionage industruel (ils voulurent voler une voiture non-polluante à Renault), le fait qu'ils allèrent jusqu'à torturer des animaux pour leurs films de propagande. Pour qui roule Greenpeace ? On est en droit de se poser des questions. Pourquoi Greenpeace a des commandos de chocs formés par la sinistre Stasi ? Pourquoi dispose-t-elle du nom et de l'adresse personnelle des 252 gardes de l'Elysée ? Pourquoi fiche-t-elle ses cadres et enquete-t-elle sur leur vie privée ?

Un livre-choc par un vrai journaliste d'investigation.

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Les éditions

  • La face cachée de Greenpeace [Texte imprimé], infiltration au sein de l'Internationale écologiste Olivier Vermont
    de Vermont, Olivier
    Albin Michel / Essais Doc.
    ISBN : 9782226087751 ; 20,15 € ; 02/01/1997 ; 337 p. ; Broché
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Très mauvais

1 étoiles

Critique de Keseru (, Inscrit le 1 avril 2008, 45 ans) - 1 avril 2008

Comme lecteur, je trouvais le livre très mauvais, tant d'une point de vue de l'écriture, que de la manière dont l'auteur se met en scène. Et la rigueur de l'enquête me paraissait extrêmement fragile.
Or, ces dernières années, j'ai beaucoup travaillé sur Greenpeace dans le cadre d'un doctorat de science politique. J'ai réalisé de nombreux entretiens, travaillé sur les archives de l'organisation etc. Et l'ouvrage de Vermont apparait réellement comme une vaste supercherie. C'est d'autant plus décevant (et consternant) qu'il part parfois d'un élément véridique (un fait, une statistique) mais s'envole dans l'explication... et se fait plaisir en oubliant ensuite tout ce qui pourrait la discréditer. Vraiment une enquête calamiteuse !

Quelles méthodes !!!!!!

1 étoiles

Critique de Le rat des champs (, Inscrit le 12 juillet 2005, 74 ans) - 15 décembre 2005

Le Colonel Hervé de Weck de l'armée suisse, peu suspect de gauchisme, dénonce ce livre et son auteur comme profondément malhonnêtes.
Je copie un extrait de son texte, que voici : "sur la base de quelques papiers volés, il accuse Greenpeace d'avoir détourné des dons versés dans le cadre de la lutte contre le tunnel du Somport, alors qu'une vérification, normale pour un journaliste, lui aurait fait abandonner de tels soupçons. De telles méthodes doivent être condamnées. Ce journalisme d'infiltration, reposant sur le vol de documents et de confidences, ne peut que susciter l'indignation. Une telle stratégie ne correspond en rien à la déontologie du journaliste, d'autant qu'on sent Vermont bien plus obsédé par son personnage de David" s'attaquant au Goliath vert " que par la recherche de la vérité."

http://www.military.ch/RMS/rms9706.htm

Condamné par la justice

1 étoiles

Critique de Arundhati (, Inscrit le 9 octobre 2005, 63 ans) - 14 décembre 2005

Olivier Vermont a produit cette pseudo enquête (sous-titrée "Infiltration au sein de l'Internationale Ecologiste", c'est tout dire !) entièrement à charge, avec pour seul but de décridibiliser l'organisation Greenpeace qui dérange, par l'efficacité de son action, quelques grandes multinationales.
Il a été d'ailleurs condamné pour diffamation par le Tribunal de Rennes pour y avoir traité l'Union Démocratique Bretonne d'organisation terroriste.
Il n'a pas hésité pour les besoins de son enquête à voler de nombreux documents, tout cela pour dénoncer mollement certains travers de Greenpeace, qui se résument à monter des coups médiatiques pour dénoncer des abus biens réels, que ce soit de la part des grands baleiniers ou des compagnies pétrolières.
Tout sauf objectif.

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