Dans la discussion "C'est ici qu'on se présente!" (http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…), on parlait du questionnaire de Proust qui demande quel est votre héros de fiction, d'ailleurs on a eu une discussion sur le questionnaire aussi (http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…).
Alors, je me disais qu'on pourrait faire une discussion sur les personnages de la littérature qui nous ont marqué, qu'on a aimé, détesté, qu'on a aimé détester, qu'on a trouvé lâche, ceux qui vous ont fait le plus peur, rendu triste... C'est comme ça vous tente, ça peut être un personnage, une dizaine ou plus, il n'y a pas de limite (de toute façon, il y a toujours des membres qui ne respectent pas les règles!) et vous pouvez expliquer pourquoi ou non.
Je vais vous soumettre quelques idées dans le prochain message, mais vous pouvez mettre les vôtres et choisir de ne pas les répondre toutes. Je vais moi-même y répondre après.
Alors, je me disais qu'on pourrait faire une discussion sur les personnages de la littérature qui nous ont marqué, qu'on a aimé, détesté, qu'on a aimé détester, qu'on a trouvé lâche, ceux qui vous ont fait le plus peur, rendu triste... C'est comme ça vous tente, ça peut être un personnage, une dizaine ou plus, il n'y a pas de limite (de toute façon, il y a toujours des membres qui ne respectent pas les règles!) et vous pouvez expliquer pourquoi ou non.
Je vais vous soumettre quelques idées dans le prochain message, mais vous pouvez mettre les vôtres et choisir de ne pas les répondre toutes. Je vais moi-même y répondre après.
Vos héros de la littérature:
Les personnages que vous avez aimé:
Les personnages que vous avez détesté:
Les personnages que vous avez aimé détester:
Les personnages que vous avez trouvé lâche:
Les personnages qui vous ont fait frissonner de peur:
Les personnages qui vous ont fait sourire:
Les personnages qui vous ont rendu triste:
Les personnages que vous avez aimé:
Les personnages que vous avez détesté:
Les personnages que vous avez aimé détester:
Les personnages que vous avez trouvé lâche:
Les personnages qui vous ont fait frissonner de peur:
Les personnages qui vous ont fait sourire:
Les personnages qui vous ont rendu triste:
Bon, c'est très probable que j'en ai oublié et que dans quelques années ça pourrait être très différent, mais voici ce que ça donne... ET SURTOUT ne répondez pas tous en même temps! :P
Les personnages que j'ai aimé:
Alice: d'Alice aux Pays des Merveilles... (Carroll), pour sa curiosité
Atticus Finch: de Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (Lee), pour son coeur d'or, son humanité
Panoramix: de la série Astérix (Goscinny, Uderzo), le druide du village, pour sa sagesse, son humour, un peu de tout
Cyrus Smith: de L'île mystérieuse (Verne), génial - au point d'en être surréaliste - , mélange de Chuck Norris et MacGyver
F. de l'O: de Le Fantôme de l'Opéra (Leroux), le méchant de l'histoire, mais disons qu'on est plus de son côté
La narratrice: de Le mur invisible (Haushofer), pour sa force, qui fait tout pour survivre et ne pas tomber dans la folie
Christabel LaMotte: de Possession (Byatt), un personnage féminin fort
La fée Viviane: de la mythologie arthurienne, la dame du lac, je la préfère de loin à Merlin dans ce que j'ai lu et vu, pour Merlin ce n'est que la quête du graal, la quête du graal, la quête du graal, blabla...
Carmen: de l'histoire du même nom (Mérimée), pour sa liberté, "si je t'aime, prends garde à toi!"
Le petit prince: du livre du même nom (Saint-Exupéry), pour nous dire des petites vérités
Les personnages que j'ai détesté:
Le garçon: du conte Le rossignol et la rose (Wilde), une tonne de haine pour ce petit merdeux!
Colonel Chabert: du livre du même nom (Balzac), pour être si génial au début et puis ne rien faire à la fin face à cette !?%!
L'homme invisible: de L'homme invisible (Wells), pour se faire démasquer aussi facilement, sa dépendance aux autres, je veux dire, il est supposé être un génie, il n'aurait pas pu trouver quelque chose
Tous les personnages: de la série Fascination (Meyer), soit ils sont lâches et partent au premier pépin, soit ils n'ont pas d'amour-propre, soit ils en ont trop, soit ils sont hyper-moralisateurs ou presque pédophile...
Les chrétiens: de Quo vadis (Sienkiewicz), si ils font des bonnes actions c'est uniquement à cause de leur foi chrétienne et encore... (voir personnages lâches), aussi ils libèrent leurs esclaves pour en faire des serviteurs, soumis et obéissants, qu'ils traitent encore en esclaves, fait que finalement...
Tous les personnages: de la série Narnia (Lewis), enfin sauf le lion, c'est de trop dieuserie... trop blancs ou noirs, les méchants sont nés méchants, etc.
Sherlock Holmes: de ses aventures (Doyle), d'accord, il est intelligent, mais niveau personnel, il est nul, quasi-méprisant, je préfère de loin John Watson
Presque tous les personnages: des romans de Werber, on dirait presque qu'il a le touché de Midas des personnages irritants
Damon Salvatore: de la série Vampires (Smith), un frère de moins en moins maléfique, câlinours à la fin, comment l'auteur a pu raté un personnage qui s'annoncait aussi génial
Edmond Wells: des livres Bernard Werber, je l'adorais dans Les fourmis, avant que l'auteur le pompe dans ses autres livres et en fait n'importe quoi
Les personnages que j'ai aimé détester:
Iago: d'Othello (Shakespeare), le vrai personnage principal de la pièce, Shakespeare est bon pour créer ce genre de personnage
La marquise de Merteuil: de Les liaisons dangereuses (Choderlos de Laclos), machiavélique et récolte ce qu'elle a semé à la fin
Baron Vladimir Harkonnen: de la série Dune (Herbert), mon personnage préféré de la série, suivi d'Alia, les vilains sont tellement plus géniaux
HAL 9000: de 2001: L'odyssée de espace (Clarke), ce n'est pas peut-être pas une bonne idée de créer un ordinateur qui sait qu'il est supérieur intellectuellement et plus puissant que les humains pour qui il travail
Severus Snape: de la série Harry Potter (Rowling), un agent double double double double, il y a aussi Dolores Ombrage, beaucoup plus effrayante que Voldemort
Abigail: de Les sorcières de Salem (Miller) qui est vraiment prête à tous les coups bas pour son homme et sauver sa peau
Vellini: de Une vieille maîtresse (Barbey d'Aurevilly), parce qu'il faut dire que Hermangarde (quel nom!) est vraiment trop comme il faut
Clytemnestre: de la mythologie grecque, il faut dire que je suis plus de son côté, pour moi elle ne venge que sa fille Iphigénie tuée par son mari Agamemnon pour avoir des vents favorables, une des raisons pour laquelle je n'ai jamais aimé la déesse Artémis
Adrian Veidt: dans Les gardiens (Moore), il faut quand même lui donné que sa façon de sauver le monde a quand même quelque chose d'extravagant et unique
Jean-Baptiste Grenouille: de Le parfum (Süskind), où l'on suit le tueur en série qui veut créer le parfum des parfum
Les personnages que j'ai trouvé lâche:
Jason: de la mythologie grecque, pour avoir abandonner Médée, qui a trahit sa famille et tuer pour lui, qu'il laisse tomber pour pouvoir épouser une princesse comme il faut, on connaît les conséquences...
Albus Dumbledore: de la série Harry Potter (Rowling), pour ne pas avoir eu un meilleur "plan"
Othello: oui d'Othello (Shakespeare), pour vous savez quoi de la finale de la pièce
Holden Caulfield: de L'Attrape-coeurs (Salinger), disons que c'est un ado qui se croit vraiment
Törless: de Les désarrois de l'élève Törless (Musil), face à son amant, aux petites brutes et de tout le monde en général, et sa lâcheté passe pour de la bravoure à un moment je crois, mais bon, il était en plein désarroi, alors on le pardonne? non!
Dr. Manhattan: de Les Gardiens (Moore), à quoi ça sert d'avoir des pouvoirs infinis si c'est pour faire des conneries du genre, pourquoi il n'essait pas de faire quelque chose d'utile (nettoyer la pollution terrestre, non! tuer des vietnamiens et fuir sur une autre planète quand ça merde vraiment)
Le premier choix: dans les romans de Jane Austen, il y a toujours un personnage principal/une amie qui tombe amoureux d'un gars qui se révèle un parfait connard, mais bon, tout est bien qui finit bien, pas de stress
Edward Cullen: de la série Fascination (Meyer), plusieurs personnages de la série sont lâches, mais il remporte la palme, félicitation, il part quand ça va mal, même si des vampires sont aux trousses de sa copine, puis tente de suicider avant d'être certifié qu'elle soit morte, ce que qui va mettre sa vie en danger qu'elle va tenter de lui sauver de la vie et la liste continue, continue...
Marcus Vinicius: de Quo vadis (Sienkiewicz), il demande à un type de kidnapper une femme et quand il devient chrétien, il le traite de tous les noms, non mais il s'est regardé oui?
Les autres: dans la nouvelle Boule de Suif (Maupassant), ceux qui demandent à Boule de Suif d'agir contre son gré, puis la regarde de haut après
Les personnages qui m'ont fait frissonner de peur:
La plupart des personnages: des contes des frères Grimm... même Cendrillon!
Montresor: de La barrique d'amontillado (Poe), quelqu'un qui ne se laisse pas insulter impunément...
L'officier: dans La colonie pénitentiaire (Kafka), avec sa machine infernal qui inscrit dans la chair le motif de la punition, jusqu'à la mort
M.A.: de Je n'ai pas de bouche et il faut que je crie (Ellison), qui tue toute l'humanité et torture indéfiniment cinq humains qu'il a rendu immortels virtuellement
Le docteur Hoeniker: de Le berceau du chat (Vonnegut), créateur de la glace-9, qui donne froid dans le dos
Claude Frollo: de Notre-Dame de Paris (Hugo), on peut vraiment dire qu'il n'est pas ordinaire
M. Hyde: de Le cas étrange du Dr Jekyll et de M. Hyde (Stevenson), classique, même si c'est plus laissé à l'imagination du lecteur
Ignaz Denner: du conte Ignaz Denner (Hoffmann, ainsi que d'autres personnages de l'auteur), quoi de mieux qu'un être maléfique qui se promène avec une fiole de... oups! je veux dire une fiole médicinale
Les villageois: de La loterie (Jackson), il a quelque chose qui cloche en effet
Les oiseaux: de la nouvelle du même nom (Du Maurier), même quand c'est des petits oiseaux, quand ils sont une infinité à vouloir vous tuer, l'Homme ne peux pas faire grand chose, j'ai ressenti la même chose avec la nouvelle Le vautour de Kafka
Les personnages qui m'ont fait sourire:
Wowbagger: de la série Le guide galactique (Adams), un immortel qui insulte chaque personne individuellement qui a existé dans l'Univers, en ordre alphabétique, la plupart des personnages de Douglas Adams m'ont fait sourire, Arthur Dent, Agrajag, Dirk Gently détective "holistique"...
La Castafiore: de la série Tintin (Hergé), "Ah! je ris de me voir si belle en ce miroir, ah! je ris de..."
Le narrateur: de Démolir Nisard (Chevillard), ayant moi-même lu du Nisard, je ne peux qu'être de son côté
Plusieurs personnages: d'Eugène Ionesco, la boniche-détective de La cantatrice chauve, la reine Marguerite...
Obélix: des aventures d'Asterix (Goscinny, Uderzo), un side-kick certes, mais sans lui je ne crois pas que la série eu autant de succès
La Reine de Coeur: d'Alice aux Pays des Merveilles (Carroll), "Qu'on lui coupe la tête!"
Willy Wonka: de la série Charlie (Dahl) et avec une grande imagination
Bridget Jones: de la série du même nom (Fielding), mon côté fille-fille
Denis Diderot: de la délicieuse pièce Le Libertin (Schmitt), dommage que le personnage joué par Josiane Balasko dans le film n'apparaît pas ici
Charlie: de la série Où est Charlie ? (Handford), bon c'est sûrement juste moi et mon imagination débridée de voir Charlie en pervert sexuel à lunettes... pour ma défense il possède quand même des jumelles et un appareil photo, et la bande dessinée à déjà été bannie!!
Les personnages qui m'ont ému de tristesse:
La plupart des personnages: des contes d'Andersen, c'est très déprimant en général, La fille aux allumettes, Le sapin, Le bonhomme de neige, La petite sirène, attendez-vous pas à du Disney
Les personnages principaux: en général dans les oeuvres de Franz Kafka, comme Un artiste du jeûne, La métamorphose, Le jugement, Un croisement...
La narratrice: de Le mur invisible (Haushofer), la dernière survivante de l'humanité, qui s'attache à des animaux qui meurent aussi...
Le lapin de velour: du conte du même nom (Bianco), c'est un peu comme Histoire de jouet en vraiment plus triste et sans humour
Severus Snape: de la série Harry Potter (Rowling), encore lui, il faut dire que c'est le personnage qui m'a fait vivre le plus d'émotion dans cette série
L'aveugle: dans La collection invisible (Zweig), j'ai pleuré comme une Madeleine à la fin
Les chevaux: dans Germinal (Zola), qui ne voient jamais la lumière du jour dans les mines et ont une vie de dure labeur, et aussi le cheval dans La ferme des animaux (Orwell) qui a aussi une vie dure et injuste
Le père: de Là où vont les pères (Tan), très touchant, un immigrant qui essaie de se débrouiller comme il peut
Danny Boodman T.D. Lemon Novecento: de Novecento (Baricco), qui est né sur un bâteau et passe sa vie dessus, on doit donner des points à l'auteur pour le nom, on ne lit pas ça à chaque jour
Marvin: de la série Le guide galactique (Adams), surtout dans La Vie, l'Univers et le Reste, où on apprend qu'il a véçu pendant des millions d'années brisé
Les personnages que j'ai aimé:
Alice: d'Alice aux Pays des Merveilles... (Carroll), pour sa curiosité
Atticus Finch: de Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (Lee), pour son coeur d'or, son humanité
Panoramix: de la série Astérix (Goscinny, Uderzo), le druide du village, pour sa sagesse, son humour, un peu de tout
Cyrus Smith: de L'île mystérieuse (Verne), génial - au point d'en être surréaliste - , mélange de Chuck Norris et MacGyver
F. de l'O: de Le Fantôme de l'Opéra (Leroux), le méchant de l'histoire, mais disons qu'on est plus de son côté
La narratrice: de Le mur invisible (Haushofer), pour sa force, qui fait tout pour survivre et ne pas tomber dans la folie
Christabel LaMotte: de Possession (Byatt), un personnage féminin fort
La fée Viviane: de la mythologie arthurienne, la dame du lac, je la préfère de loin à Merlin dans ce que j'ai lu et vu, pour Merlin ce n'est que la quête du graal, la quête du graal, la quête du graal, blabla...
Carmen: de l'histoire du même nom (Mérimée), pour sa liberté, "si je t'aime, prends garde à toi!"
Le petit prince: du livre du même nom (Saint-Exupéry), pour nous dire des petites vérités
Les personnages que j'ai détesté:
Le garçon: du conte Le rossignol et la rose (Wilde), une tonne de haine pour ce petit merdeux!
Colonel Chabert: du livre du même nom (Balzac), pour être si génial au début et puis ne rien faire à la fin face à cette !?%!
L'homme invisible: de L'homme invisible (Wells), pour se faire démasquer aussi facilement, sa dépendance aux autres, je veux dire, il est supposé être un génie, il n'aurait pas pu trouver quelque chose
Tous les personnages: de la série Fascination (Meyer), soit ils sont lâches et partent au premier pépin, soit ils n'ont pas d'amour-propre, soit ils en ont trop, soit ils sont hyper-moralisateurs ou presque pédophile...
Les chrétiens: de Quo vadis (Sienkiewicz), si ils font des bonnes actions c'est uniquement à cause de leur foi chrétienne et encore... (voir personnages lâches), aussi ils libèrent leurs esclaves pour en faire des serviteurs, soumis et obéissants, qu'ils traitent encore en esclaves, fait que finalement...
Tous les personnages: de la série Narnia (Lewis), enfin sauf le lion, c'est de trop dieuserie... trop blancs ou noirs, les méchants sont nés méchants, etc.
Sherlock Holmes: de ses aventures (Doyle), d'accord, il est intelligent, mais niveau personnel, il est nul, quasi-méprisant, je préfère de loin John Watson
Presque tous les personnages: des romans de Werber, on dirait presque qu'il a le touché de Midas des personnages irritants
Damon Salvatore: de la série Vampires (Smith), un frère de moins en moins maléfique, câlinours à la fin, comment l'auteur a pu raté un personnage qui s'annoncait aussi génial
Edmond Wells: des livres Bernard Werber, je l'adorais dans Les fourmis, avant que l'auteur le pompe dans ses autres livres et en fait n'importe quoi
Les personnages que j'ai aimé détester:
Iago: d'Othello (Shakespeare), le vrai personnage principal de la pièce, Shakespeare est bon pour créer ce genre de personnage
La marquise de Merteuil: de Les liaisons dangereuses (Choderlos de Laclos), machiavélique et récolte ce qu'elle a semé à la fin
Baron Vladimir Harkonnen: de la série Dune (Herbert), mon personnage préféré de la série, suivi d'Alia, les vilains sont tellement plus géniaux
HAL 9000: de 2001: L'odyssée de espace (Clarke), ce n'est pas peut-être pas une bonne idée de créer un ordinateur qui sait qu'il est supérieur intellectuellement et plus puissant que les humains pour qui il travail
Severus Snape: de la série Harry Potter (Rowling), un agent double double double double, il y a aussi Dolores Ombrage, beaucoup plus effrayante que Voldemort
Abigail: de Les sorcières de Salem (Miller) qui est vraiment prête à tous les coups bas pour son homme et sauver sa peau
Vellini: de Une vieille maîtresse (Barbey d'Aurevilly), parce qu'il faut dire que Hermangarde (quel nom!) est vraiment trop comme il faut
Clytemnestre: de la mythologie grecque, il faut dire que je suis plus de son côté, pour moi elle ne venge que sa fille Iphigénie tuée par son mari Agamemnon pour avoir des vents favorables, une des raisons pour laquelle je n'ai jamais aimé la déesse Artémis
Adrian Veidt: dans Les gardiens (Moore), il faut quand même lui donné que sa façon de sauver le monde a quand même quelque chose d'extravagant et unique
Jean-Baptiste Grenouille: de Le parfum (Süskind), où l'on suit le tueur en série qui veut créer le parfum des parfum
Les personnages que j'ai trouvé lâche:
Jason: de la mythologie grecque, pour avoir abandonner Médée, qui a trahit sa famille et tuer pour lui, qu'il laisse tomber pour pouvoir épouser une princesse comme il faut, on connaît les conséquences...
Albus Dumbledore: de la série Harry Potter (Rowling), pour ne pas avoir eu un meilleur "plan"
Othello: oui d'Othello (Shakespeare), pour vous savez quoi de la finale de la pièce
Holden Caulfield: de L'Attrape-coeurs (Salinger), disons que c'est un ado qui se croit vraiment
Törless: de Les désarrois de l'élève Törless (Musil), face à son amant, aux petites brutes et de tout le monde en général, et sa lâcheté passe pour de la bravoure à un moment je crois, mais bon, il était en plein désarroi, alors on le pardonne? non!
Dr. Manhattan: de Les Gardiens (Moore), à quoi ça sert d'avoir des pouvoirs infinis si c'est pour faire des conneries du genre, pourquoi il n'essait pas de faire quelque chose d'utile (nettoyer la pollution terrestre, non! tuer des vietnamiens et fuir sur une autre planète quand ça merde vraiment)
Le premier choix: dans les romans de Jane Austen, il y a toujours un personnage principal/une amie qui tombe amoureux d'un gars qui se révèle un parfait connard, mais bon, tout est bien qui finit bien, pas de stress
Edward Cullen: de la série Fascination (Meyer), plusieurs personnages de la série sont lâches, mais il remporte la palme, félicitation, il part quand ça va mal, même si des vampires sont aux trousses de sa copine, puis tente de suicider avant d'être certifié qu'elle soit morte, ce que qui va mettre sa vie en danger qu'elle va tenter de lui sauver de la vie et la liste continue, continue...
Marcus Vinicius: de Quo vadis (Sienkiewicz), il demande à un type de kidnapper une femme et quand il devient chrétien, il le traite de tous les noms, non mais il s'est regardé oui?
Les autres: dans la nouvelle Boule de Suif (Maupassant), ceux qui demandent à Boule de Suif d'agir contre son gré, puis la regarde de haut après
Les personnages qui m'ont fait frissonner de peur:
La plupart des personnages: des contes des frères Grimm... même Cendrillon!
Montresor: de La barrique d'amontillado (Poe), quelqu'un qui ne se laisse pas insulter impunément...
L'officier: dans La colonie pénitentiaire (Kafka), avec sa machine infernal qui inscrit dans la chair le motif de la punition, jusqu'à la mort
M.A.: de Je n'ai pas de bouche et il faut que je crie (Ellison), qui tue toute l'humanité et torture indéfiniment cinq humains qu'il a rendu immortels virtuellement
Le docteur Hoeniker: de Le berceau du chat (Vonnegut), créateur de la glace-9, qui donne froid dans le dos
Claude Frollo: de Notre-Dame de Paris (Hugo), on peut vraiment dire qu'il n'est pas ordinaire
M. Hyde: de Le cas étrange du Dr Jekyll et de M. Hyde (Stevenson), classique, même si c'est plus laissé à l'imagination du lecteur
Ignaz Denner: du conte Ignaz Denner (Hoffmann, ainsi que d'autres personnages de l'auteur), quoi de mieux qu'un être maléfique qui se promène avec une fiole de... oups! je veux dire une fiole médicinale
Les villageois: de La loterie (Jackson), il a quelque chose qui cloche en effet
Les oiseaux: de la nouvelle du même nom (Du Maurier), même quand c'est des petits oiseaux, quand ils sont une infinité à vouloir vous tuer, l'Homme ne peux pas faire grand chose, j'ai ressenti la même chose avec la nouvelle Le vautour de Kafka
Les personnages qui m'ont fait sourire:
Wowbagger: de la série Le guide galactique (Adams), un immortel qui insulte chaque personne individuellement qui a existé dans l'Univers, en ordre alphabétique, la plupart des personnages de Douglas Adams m'ont fait sourire, Arthur Dent, Agrajag, Dirk Gently détective "holistique"...
La Castafiore: de la série Tintin (Hergé), "Ah! je ris de me voir si belle en ce miroir, ah! je ris de..."
Le narrateur: de Démolir Nisard (Chevillard), ayant moi-même lu du Nisard, je ne peux qu'être de son côté
Plusieurs personnages: d'Eugène Ionesco, la boniche-détective de La cantatrice chauve, la reine Marguerite...
Obélix: des aventures d'Asterix (Goscinny, Uderzo), un side-kick certes, mais sans lui je ne crois pas que la série eu autant de succès
La Reine de Coeur: d'Alice aux Pays des Merveilles (Carroll), "Qu'on lui coupe la tête!"
Willy Wonka: de la série Charlie (Dahl) et avec une grande imagination
Bridget Jones: de la série du même nom (Fielding), mon côté fille-fille
Denis Diderot: de la délicieuse pièce Le Libertin (Schmitt), dommage que le personnage joué par Josiane Balasko dans le film n'apparaît pas ici
Charlie: de la série Où est Charlie ? (Handford), bon c'est sûrement juste moi et mon imagination débridée de voir Charlie en pervert sexuel à lunettes... pour ma défense il possède quand même des jumelles et un appareil photo, et la bande dessinée à déjà été bannie!!
Les personnages qui m'ont ému de tristesse:
La plupart des personnages: des contes d'Andersen, c'est très déprimant en général, La fille aux allumettes, Le sapin, Le bonhomme de neige, La petite sirène, attendez-vous pas à du Disney
Les personnages principaux: en général dans les oeuvres de Franz Kafka, comme Un artiste du jeûne, La métamorphose, Le jugement, Un croisement...
La narratrice: de Le mur invisible (Haushofer), la dernière survivante de l'humanité, qui s'attache à des animaux qui meurent aussi...
Le lapin de velour: du conte du même nom (Bianco), c'est un peu comme Histoire de jouet en vraiment plus triste et sans humour
Severus Snape: de la série Harry Potter (Rowling), encore lui, il faut dire que c'est le personnage qui m'a fait vivre le plus d'émotion dans cette série
L'aveugle: dans La collection invisible (Zweig), j'ai pleuré comme une Madeleine à la fin
Les chevaux: dans Germinal (Zola), qui ne voient jamais la lumière du jour dans les mines et ont une vie de dure labeur, et aussi le cheval dans La ferme des animaux (Orwell) qui a aussi une vie dure et injuste
Le père: de Là où vont les pères (Tan), très touchant, un immigrant qui essaie de se débrouiller comme il peut
Danny Boodman T.D. Lemon Novecento: de Novecento (Baricco), qui est né sur un bâteau et passe sa vie dessus, on doit donner des points à l'auteur pour le nom, on ne lit pas ça à chaque jour
Marvin: de la série Le guide galactique (Adams), surtout dans La Vie, l'Univers et le Reste, où on apprend qu'il a véçu pendant des millions d'années brisé
C'est ardu, comme questionnaire! :-)
Il faudrait y réfléchir longuement etc....alors je décide de répondre à brûle pourpoint, ce qui me passe par la tête, et de ne mettre qu'un seul nom, sachant qu'à un autre moment je n'aurais pas forcément mis le même.
Le personnage que vous avez aimé:
Cosimo, le héro du "baron perché" (italo Calvino), pour sa détermination, son originalité et sa fantaisie.
Le personnages que vous avez détesté:
Le père (je ne sais plus son nom), dans "Via Mala" (Knittel), un véritable monstre qui terrorise toute sa famille de manière sournoise.
Le personnage que vous avez aimé détester:
Sans hésiter Georges Duroy, dit "Bel Ami" (Maupassant), il est délicieusement insupportable, arriviste comme pas deux,fourbe, menteur....mais tellement malin!
Le personnage que vous avez trouvé lâche:
Youri," Le Docteur Jivago" (Pasternak), pour ses renoncements.
Le personnage qui vous a fait frissonner de peur:
Hyde!!! ("Docteur Jekyll et Mr Hyde")
Le personnage qui vous a fait sourire:
Le Zèbre (Alexandre Jardin) pour tous les trésors d'imagination qu'il déploie pour entretenir la flamme.
Le personnage qui vous a rendue triste:
Jeanne, l'héroïne d' "Une vie" (Maupassant) dont l'existence n'est qu'une succession d'échecs et de souffrances.
Il faudrait y réfléchir longuement etc....alors je décide de répondre à brûle pourpoint, ce qui me passe par la tête, et de ne mettre qu'un seul nom, sachant qu'à un autre moment je n'aurais pas forcément mis le même.
Le personnage que vous avez aimé:
Cosimo, le héro du "baron perché" (italo Calvino), pour sa détermination, son originalité et sa fantaisie.
Le personnages que vous avez détesté:
Le père (je ne sais plus son nom), dans "Via Mala" (Knittel), un véritable monstre qui terrorise toute sa famille de manière sournoise.
Le personnage que vous avez aimé détester:
Sans hésiter Georges Duroy, dit "Bel Ami" (Maupassant), il est délicieusement insupportable, arriviste comme pas deux,fourbe, menteur....mais tellement malin!
Le personnage que vous avez trouvé lâche:
Youri," Le Docteur Jivago" (Pasternak), pour ses renoncements.
Le personnage qui vous a fait frissonner de peur:
Hyde!!! ("Docteur Jekyll et Mr Hyde")
Le personnage qui vous a fait sourire:
Le Zèbre (Alexandre Jardin) pour tous les trésors d'imagination qu'il déploie pour entretenir la flamme.
Le personnage qui vous a rendue triste:
Jeanne, l'héroïne d' "Une vie" (Maupassant) dont l'existence n'est qu'une succession d'échecs et de souffrances.
je ferai la même remarque que Sissi : cette "sélection" de personnages s'inscrit avant tout dans l'instant ...
j'ai tellement lu, tellement aimé, tellement détesté, tellement frissonné, tellement pleuré, tellement eu peur, qu'il m'est difficile présentement de faire un choix judicieux sans avoir l'impression de trahir celles et ceux qui ne me viennent pas spontanément à l'esprit !
j'ai tellement lu, tellement aimé, tellement détesté, tellement frissonné, tellement pleuré, tellement eu peur, qu'il m'est difficile présentement de faire un choix judicieux sans avoir l'impression de trahir celles et ceux qui ne me viennent pas spontanément à l'esprit !
Chouette ton questionnaire,mais il me faudra plusieurs jours pour répondre!
Tes réponses sont en tout cas intéressantes.
A+
Tes réponses sont en tout cas intéressantes.
A+
Oui, c'est pour cela que je n'ai pas encore répondu ! Il est délicat d'avoir tous les personnages en tête. Mais ton questionnaire est vachement intéressant.
Vous pouvez prendre votre temps, aussi ce n'est pas obliger d'être aussi fleuve que moi, c'est pourquoi je n'ai pas donné de règles. Si j'ai décidé de mettre 10 de chaque, oui ça m'a pris du temps, c'est parce qu'1 ce n'était pas assez et que 10 me laissait de la marge, mais j'aurais pu en écrire plus! :P
Nance, je ne me sens pas capable de répondre à tout ton questionnaire.
Mais je me souviens de ma lecture d' "American Darling" de Russell Banks.
J'ai absolument haï l'héroïne qui préfère ses singes à ses enfants !
Mais je me souviens de ma lecture d' "American Darling" de Russell Banks.
J'ai absolument haï l'héroïne qui préfère ses singes à ses enfants !
Les personnages que vous avez aimés :
Le Prince Mychkine (L’Idiot – Dostoievski) parce que … euh … parce que c’est Dosto !
Pnine (Nabokov) – j’ai un faible pour les perdants
Thomas Buddenbrook (T Mann) – parce qu’il incarne le déclin de sa lignée, c’est un thème qui me touche
Les personnages que vous détestez :
Impossible de répondre, parce que les personnages dont je me souviens sont ambigus, bons et mauvais à la fois.
Ou alors, par ex pour Patrick Bateman (American Psycho), il est pour moi un archétype, pas un personnage.
Les personnages que vous avez aimé détester :
La marquise de Merteuil - je reprends le choix de Nance
Les personnages qui vous ont fait sourire :
Pnine (Nabokov)
Les personnages qui vous ont fait frissonner de peur / rendu triste :
C’est plutôt une situation ou un contexte, pas un personnage qui me fait peur ou me rend triste.
----
Elle est riche ta liste, Nance !
Est-ce que tu te souviens des personnages en relisant tes propres critiques ?
Je me rappelle d’une autre de tes liste : One Country / One Reading – je la trouve très pointue ! Tu avais mis le lien sur le fil « tout lire ».
Le Prince Mychkine (L’Idiot – Dostoievski) parce que … euh … parce que c’est Dosto !
Pnine (Nabokov) – j’ai un faible pour les perdants
Thomas Buddenbrook (T Mann) – parce qu’il incarne le déclin de sa lignée, c’est un thème qui me touche
Les personnages que vous détestez :
Impossible de répondre, parce que les personnages dont je me souviens sont ambigus, bons et mauvais à la fois.
Ou alors, par ex pour Patrick Bateman (American Psycho), il est pour moi un archétype, pas un personnage.
Les personnages que vous avez aimé détester :
La marquise de Merteuil - je reprends le choix de Nance
Les personnages qui vous ont fait sourire :
Pnine (Nabokov)
Les personnages qui vous ont fait frissonner de peur / rendu triste :
C’est plutôt une situation ou un contexte, pas un personnage qui me fait peur ou me rend triste.
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Elle est riche ta liste, Nance !
Est-ce que tu te souviens des personnages en relisant tes propres critiques ?
Je me rappelle d’une autre de tes liste : One Country / One Reading – je la trouve très pointue ! Tu avais mis le lien sur le fil « tout lire ».
Elle est riche ta liste, Nance !
Est-ce que tu te souviens des personnages en relisant tes propres critiques ?
Pour faire la liste, j'ai repris quelques uns que j'avais écrit dans "C'est ici qu'on se présente", d'autres noms me sont venus en tête comme ça à force d'y penser, pour les autres j'ai regarder ma liste "My 1000 favorite readings" (http://tinyurl.com/b6lopt) et mes critiques CL (en ordre décroissant d'étoiles). Moi aussi j'ai eu beaucoup d'hésitation, de difficulté à choisir.
Je me rappelle d’une autre de tes liste : One Country / One Reading – je la trouve très pointue ! Tu avais mis le lien sur le fil « tout lire ».
Bien que ce n'est pas ce qui me pousse à lire un livre, une fois de temps en temps j'aime bien essayer un livre d'un pays (http://tinyurl.com/dgeeay) ou d'un état des É-U (http://tinyurl.com/cdddvz) que je n'ai pas encore lu, plus par esprit de découverte que par défi.
Mais je me souviens de ma lecture d' "American Darling" de Russell Banks.
J'ai absolument haï l'héroïne qui préfère ses singes à ses enfants !
Bien que ça soit un conte, dans Le fidèle Jean des frères Grimms, pour rendre la vie à son (fidèle) serviteur transformer en statue, un roi tranche la tête de deux enfants qu'il adore, ouais, j'avoue que je ne l'ai jamais vraiment compris celle-là...
"- Tout ce que je possède au monde, s'écria le roi, je le sacrifierais pour toi.
- Eh bien ! dit la statue, pour que je recouvre l'existence, il faut que tu coupes la tête à tes deux fils, et que tu me frottes tout entier avec leur sang.
Le roi pâlit en entendant cette horrible condition mais songeant au dévouement de ce fidèle serviteur qui avait donné sa vie pour lui, il tira son épée et, de sa propre main, il abattit la tête de ses enfants et frotta la pierre avec leur sang. "
http://ygora.net/nav/recits/…
Le personnage que vous avez aimé détester:
Sans hésiter Georges Duroy, dit "Bel Ami" (Maupassant), il est délicieusement insupportable, arriviste comme pas deux,fourbe, menteur....mais tellement malin!
J'ai lu ce livre cette année, il va bientôt avoir le film avec l'acteur de Twilight, j'espère que le réalisateur ne va pas trop démolir le livre.
Aimé :
1. Lily Bart, dans "Chez les heureux du monde". Elle, c'est vraiment de l'amour !
4. Les personnages dans les nouvelles de Dorothy Parker : des jeunes femmes mondaines, complètement névrosées, qui sortent en soirée et picolent sec toute sorte d'alcool style vodka, gin,.. Wharton réussi parfois aussi des personnages névrosés que j'aime détester, comme dans "Les New-Yorkaises". Ne me demandez pas pourquoi, j'ai toujours été attiré par les gens névrosés et inconstants :-))
2. Les personnages lucides, différents et étrangement solitaire de Carson McCullers, surtout dans Frankie Adam.
3. Les personnages de Graham Greene : par exemple un prêtre, un peu débauché, mais qui s'accroche à une certaine forme de foi. Ou un homme dans la quarantaine, porté sur la bouteille, désabusés, qui s'accroche à des lambeaux de croyance (dans le communisme ou dans le catholicisme). Des personnages plein d'auto-dérision aussi et étrangement lucide.
5. Les personnages typiquement russes de Dostoïevkï, complètement inconséquent et excessif, qui balancent entre le génie et le délire.
1. Lily Bart, dans "Chez les heureux du monde". Elle, c'est vraiment de l'amour !
4. Les personnages dans les nouvelles de Dorothy Parker : des jeunes femmes mondaines, complètement névrosées, qui sortent en soirée et picolent sec toute sorte d'alcool style vodka, gin,.. Wharton réussi parfois aussi des personnages névrosés que j'aime détester, comme dans "Les New-Yorkaises". Ne me demandez pas pourquoi, j'ai toujours été attiré par les gens névrosés et inconstants :-))
2. Les personnages lucides, différents et étrangement solitaire de Carson McCullers, surtout dans Frankie Adam.
3. Les personnages de Graham Greene : par exemple un prêtre, un peu débauché, mais qui s'accroche à une certaine forme de foi. Ou un homme dans la quarantaine, porté sur la bouteille, désabusés, qui s'accroche à des lambeaux de croyance (dans le communisme ou dans le catholicisme). Des personnages plein d'auto-dérision aussi et étrangement lucide.
5. Les personnages typiquement russes de Dostoïevkï, complètement inconséquent et excessif, qui balancent entre le génie et le délire.
Les personnages que j'aime:
Richard Parker, le tigre dans l'Histoire de Pi (Y.Martel) pour sa terrible présence;
Nicole et André Ferron dans l'Hiver de force (R.Ducharme) pour leurs tendres regards;
Don Quichotte (M.de Cervantes) et Charlie Brown (C.Schulz)... for ever... Tous les deux pour leur force immense de se battre encore et encore contre tout;
Bartleby, le scribe (H.Melville) pour son étrange force de caractère.
Les personnages que j'ai aimés détester:
Savourine, l'anarchiste sympathique dans Germinal (E. Zola);
Loup Larsen, le capitaine imposant dans Le loup des mers (J.London), parce qu'on a tous un ''plus fort que nous'' qui nous en fait baver.
Les personnages que j'ai trouvé lâches:
Comme Nance, la bande de cons prétentieux qui se moquent de Boule de suif (G.de Maupassant).
Le personnage qui m'a fait frissonner de peur: des Esseintes dans À rebours (Huysmans), tout simplement parce qu'il me dépasse.
Les personnages qui me font sourire:
Bleu, Noir, Blanc dans la Trilogie new-yorkaise (P.Auster) pour démontrer qu'un prénom n'a pas vraiment d'importance;
Estragon et Vladimir dans En attendant Godot (S.Beckett) pour les fois où ils accompagnaient nos soirées d'ivresse que mes amis et moi avions plus jeunes.
Le personnage qui m'a rendu triste:
Chloé, et son maudit nénuphar, dans l'Écume des jours (B.Vian).
Richard Parker, le tigre dans l'Histoire de Pi (Y.Martel) pour sa terrible présence;
Nicole et André Ferron dans l'Hiver de force (R.Ducharme) pour leurs tendres regards;
Don Quichotte (M.de Cervantes) et Charlie Brown (C.Schulz)... for ever... Tous les deux pour leur force immense de se battre encore et encore contre tout;
Bartleby, le scribe (H.Melville) pour son étrange force de caractère.
Les personnages que j'ai aimés détester:
Savourine, l'anarchiste sympathique dans Germinal (E. Zola);
Loup Larsen, le capitaine imposant dans Le loup des mers (J.London), parce qu'on a tous un ''plus fort que nous'' qui nous en fait baver.
Les personnages que j'ai trouvé lâches:
Comme Nance, la bande de cons prétentieux qui se moquent de Boule de suif (G.de Maupassant).
Le personnage qui m'a fait frissonner de peur: des Esseintes dans À rebours (Huysmans), tout simplement parce qu'il me dépasse.
Les personnages qui me font sourire:
Bleu, Noir, Blanc dans la Trilogie new-yorkaise (P.Auster) pour démontrer qu'un prénom n'a pas vraiment d'importance;
Estragon et Vladimir dans En attendant Godot (S.Beckett) pour les fois où ils accompagnaient nos soirées d'ivresse que mes amis et moi avions plus jeunes.
Le personnage qui m'a rendu triste:
Chloé, et son maudit nénuphar, dans l'Écume des jours (B.Vian).
Je répond qu'à la première question, je n'ai pas le temps pour +
Vos héros de la littérature :
Notre célèbre marchombre (Q. d'Ewilan) Ellana
L'enfant qui à survécu Harry Potter
Anne Franck
Vos héros de la littérature :
Notre célèbre marchombre (Q. d'Ewilan) Ellana
L'enfant qui à survécu Harry Potter
Anne Franck
Mais je me souviens de ma lecture d' "American Darling" de Russell Banks.
J'ai absolument haï l'héroïne qui préfère ses singes à ses enfants !
Tout à fait d'accord ! Jamais je n'ai ressenti autant d'antipathie pour le héro/héroine d'un roman !
Rouchka, tu dois avoir une fibre maternelle déjà forte pour avoir ressenti la même chose que moi. Enfin, je ne sais pas si c'est de là qu'est parti mon dégoût pour cette femme.
J'ai été étonnée dans les critiques du nombre de personnes qui n'étaient pas du tout choquées par Hannah et même qui l'admiraient, alors que c'est le personnage le plus anti-social, le plus égoïste (elle est atroce avec ses parents aussi !) que j'aie jamais rencontré.
J'ai été étonnée dans les critiques du nombre de personnes qui n'étaient pas du tout choquées par Hannah et même qui l'admiraient, alors que c'est le personnage le plus anti-social, le plus égoïste (elle est atroce avec ses parents aussi !) que j'aie jamais rencontré.
Rouchka, tu dois avoir une fibre maternelle déjà forte pour avoir ressenti la même chose que moi. Enfin, je ne sais pas si c'est de là qu'est parti mon dégoût pour cette femme.
J'ai été étonnée dans les critiques du nombre de personnes qui n'étaient pas du tout choquées par Hannah et même qui l'admiraient, alors que c'est le personnage le plus anti-social, le plus égoïste (elle est atroce avec ses parents aussi !) que j'aie jamais rencontré.
Je ne sais pas si j'ai la fibre maternelle très développé, en tout cas mon antipathie envers cette femme est partie des lettres envoyées à ses parents: j'ai été très choquée à ce passage du livre. Comment pouvait-elle être aussi froide, aussi détachée et aussi égoïste ?
En effet je n'ai pas compris certaines critiques qui louaient le dévouement d'Hannah envers la cause des singes au détriment de ses enfants !! Une femme forte oui mais une femme ayant un sérieux handicap émotionnel envers ses semblables. Pourrie gâtée qui plus est !!
Les personnages que vous avez aimé: il y en a beaucoup... je retiendrai Harry Potter, Lénine (dans Anna Karénine), Aliocha (Les Frères Karamazov).
Les personnages que vous avez détesté: j'avais détesté le conte Vronski dans Anna Karénine mais à la relecture ce ne fut plus le cas. Il y a le personnage de Cedric Diggory dans Harry Potter aussi mais d'une manière générale c'est rare que je déteste des personnages.
Les personnages que vous avez aimé détester: Hippolyte dans L'idiot, personnage par moment cruel et aigri mais que j'ai aimé.
Les personnages que vous avez trouvé lâche: je passe
Les personnages qui vous ont fait frissonner de peur: le loup garou dans Harry Potter mais bon juste un frisson.
Les personnages qui vous ont fait sourire: Lee dans le manga Naruto, mais aussi le narrateur dans A la recherche du temps perdu.
Les personnages qui vous ont rendu triste: Chateaubriand par moment dans ses mémoires, Anna Karénine bien sûr...
Les personnages que vous avez détesté: j'avais détesté le conte Vronski dans Anna Karénine mais à la relecture ce ne fut plus le cas. Il y a le personnage de Cedric Diggory dans Harry Potter aussi mais d'une manière générale c'est rare que je déteste des personnages.
Les personnages que vous avez aimé détester: Hippolyte dans L'idiot, personnage par moment cruel et aigri mais que j'ai aimé.
Les personnages que vous avez trouvé lâche: je passe
Les personnages qui vous ont fait frissonner de peur: le loup garou dans Harry Potter mais bon juste un frisson.
Les personnages qui vous ont fait sourire: Lee dans le manga Naruto, mais aussi le narrateur dans A la recherche du temps perdu.
Les personnages qui vous ont rendu triste: Chateaubriand par moment dans ses mémoires, Anna Karénine bien sûr...
Les personnages que vous avez détesté: j'avais détesté le conte Vronski dans Anna Karénine mais à la relecture ce ne fut plus le cas.
Il s'agit bien sûr du comte Vronski.
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