Je suis quand même ravi que le sieur Maclean juge le film "Forces occultes" ignoble, ce qui est à son honneur. Comme quoi il ne faut jamais désespérer de la nature humaine. Toujours l'ombre et la lumière...
Palorel tu te surpasses. ^^
T'es aussi un Guengant, Virgile? Sinon accès interdit.
Ca dépend, il est relativiste? ;o)
Guenguant ? Ne serait-ce pas (aussi) la Baronne ? Celle d'Hitch Girl... Cela expliquerait bien des choses.
Voila qu'on poste (c'est pas très fertile mais bon... ^^) en même temps maintenant Mich, c'est t'y pas mignon? ;o)
Voila qu'on poste (c'est pas très fertile mais bon... ^^) en même temps maintenant Mich, c'est t'y pas mignon? ;o)
C'est normal. Guengant l'infâme a préparé son complot anti-Maclean depuis des lustres et il a acheté plusieurs ordis pour poster plusieurs messages en même temps.
Mieux, il nous à tous payé grassement pour prendre sa défense de manière crédible... Dingue ce qu'on est près à faire pour réunir le pactole nécessaire pour payer toutes les boissons de la prochaine réunion CL (je dis ça mais je ne suis jamais venu à une seule, je me fie aux échos ;op).
^^
^^
Moi je trouve ce Guengant vachement doué pour faire la promo de son bouquin. Non seulement il s'est créé un flopée de pseudos entre 2001 et 2010 en prévision de la critique du livre, mais en plus il est parvenu à cloner certaines personnes en se rendant compte qu'il n'y a plus de pseudo disponible.
Et surtout, il est passé maître en terme de communication car pour entretenir ce fuseau, rien de tel que créer un pseudo soi-disant adverse pour entretenir la polémique. Maclean, je t'ai démasqué, tu es Guengant toi aussi. Et c'est ton clone qui te le dit !
Et surtout, il est passé maître en terme de communication car pour entretenir ce fuseau, rien de tel que créer un pseudo soi-disant adverse pour entretenir la polémique. Maclean, je t'ai démasqué, tu es Guengant toi aussi. Et c'est ton clone qui te le dit !
Et si on tentait un exorcisme?
"Guengant, sors de ce corps, au nom de Jésus"!!!
"Guengant, sors de ce corps, au nom de Jésus"!!!
Coiffé d'un large chapeau et tout de noir vêtu, l'homme avançait d'un pas décidé dans l'obscurité, percée de loin en loin par la lueur glauque d'un bec de gaz. Insensible au smog et aux pestilences des rats crevés, légèrement essoufflé par la montée d'un escalier, il frappa énergiquement à la porte, qui s'ouvrit instantanément. Dans le lointain, la cloche de Big Ben sonnait les dix heures. La femme qui lui faisait face semblait terrorisée et il était visible qu'elle n'avait pas dormi depuis bien longtemps.
"Oh, mon Père, s'exclama-t-elle, merci de tout cœur d'avoir accepté de venir m'aider!"
- Mais je ne fais que mon devoir, ma chère Madame. Pouvez-vous m'expliquer la raison de votre appel?
En larmes, la pauvre femme qui semblait prématurément vieillie lui expliqua:
"Mon Père, c'est affreux, mon fils est possédé par le diable! Tous les psychiatres, apothicaires carabins et médicastres divers que j'ai consultés se déclarent incompétents, et ils m'ont conseillé, en dernier recours, de m'adresser à vous.
- Bien ma fille. Conduisez-moi devant la malheureuse épave, pardon, devant votre fils et avec l'aide de Notre Seigneur Jésus-Christ je ne doute point de pouvoir le délivrer.
Pendant que le prêtre se ceignait de son étole et enfilait sa chasuble dans un profond recueillement, les yeux de l'enfant se révulsaient et il hurlait des cris abominables:
" Tu penses que ton dieu me chassera de ce corps, cureton? Hahahaha !!! Tu ne sais pas à qui tu as affaire, la puissance démoniaque qui est en lui est bien plus puissante que tous tes paters et tes avés.
- Au nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je t'adjure, démon de me dire ton nom ! Es-tu Satan?
- Non.
- Es-tu Lucifer?
- Eh non, curé, tu ne devineras jamais. Je suis un démon redoutable dont le nom n'est pas repris dans tes livres.
- Es-tu Asmodée, Astharoth, Belzébuth, Iblis, Chaïtan, Bélial, Shamaël?
- Ha, ha, ha, curé, tu es trop drôle reprit l'horrible voix. Tu n'as aucun pouvoir sur moi et j'en suis tellement certain que je vais te donner mon nom, pour te prouver que tes prières, tes cierges, tes rituels et ton eau bénite te seront parfaitement inutiles. Je suis Guengant.
- Rââââh, gémit l'exorciste, c'est bien pire que tout ce que j'imaginais.
Il se tourna vers la mère de l'enfant et lui dit:
"Madame, je suis profondément désolé, mais ce cas dépasse ma compétence. Puis-je utiliser votre téléphone pour appeler l'évêque?
"Oh, mon Père, s'exclama-t-elle, merci de tout cœur d'avoir accepté de venir m'aider!"
- Mais je ne fais que mon devoir, ma chère Madame. Pouvez-vous m'expliquer la raison de votre appel?
En larmes, la pauvre femme qui semblait prématurément vieillie lui expliqua:
"Mon Père, c'est affreux, mon fils est possédé par le diable! Tous les psychiatres, apothicaires carabins et médicastres divers que j'ai consultés se déclarent incompétents, et ils m'ont conseillé, en dernier recours, de m'adresser à vous.
- Bien ma fille. Conduisez-moi devant la malheureuse épave, pardon, devant votre fils et avec l'aide de Notre Seigneur Jésus-Christ je ne doute point de pouvoir le délivrer.
Pendant que le prêtre se ceignait de son étole et enfilait sa chasuble dans un profond recueillement, les yeux de l'enfant se révulsaient et il hurlait des cris abominables:
" Tu penses que ton dieu me chassera de ce corps, cureton? Hahahaha !!! Tu ne sais pas à qui tu as affaire, la puissance démoniaque qui est en lui est bien plus puissante que tous tes paters et tes avés.
- Au nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je t'adjure, démon de me dire ton nom ! Es-tu Satan?
- Non.
- Es-tu Lucifer?
- Eh non, curé, tu ne devineras jamais. Je suis un démon redoutable dont le nom n'est pas repris dans tes livres.
- Es-tu Asmodée, Astharoth, Belzébuth, Iblis, Chaïtan, Bélial, Shamaël?
- Ha, ha, ha, curé, tu es trop drôle reprit l'horrible voix. Tu n'as aucun pouvoir sur moi et j'en suis tellement certain que je vais te donner mon nom, pour te prouver que tes prières, tes cierges, tes rituels et ton eau bénite te seront parfaitement inutiles. Je suis Guengant.
- Rââââh, gémit l'exorciste, c'est bien pire que tout ce que j'imaginais.
Il se tourna vers la mère de l'enfant et lui dit:
"Madame, je suis profondément désolé, mais ce cas dépasse ma compétence. Puis-je utiliser votre téléphone pour appeler l'évêque?
L'exorciste forma donc le numéro de l'évêché, et dès qu'il eut son patron en ligne, il s'exclama:
" Monseigneur, c'est affreux !!!! Malgré mes trente années d'expérience, je suis complètement effrayé par l'abominable démon qui est en cet enfant.
- Calmez-vous mon fils, avez-vous pu apprendre son nom?
- Oh oui, Monseigneur, il s'agit de Guengant.
- Alors, soupira l'évêque, il faut bien reconnaître que la situation est très difficile. Je vais vous envoyer le SAMU, la Sainte Ambulance contre les Mécréants Unifiés, remplie de plusieurs de vos collègues.
" Monseigneur, c'est affreux !!!! Malgré mes trente années d'expérience, je suis complètement effrayé par l'abominable démon qui est en cet enfant.
- Calmez-vous mon fils, avez-vous pu apprendre son nom?
- Oh oui, Monseigneur, il s'agit de Guengant.
- Alors, soupira l'évêque, il faut bien reconnaître que la situation est très difficile. Je vais vous envoyer le SAMU, la Sainte Ambulance contre les Mécréants Unifiés, remplie de plusieurs de vos collègues.
Une heure plus tard, ce fut dans le modeste appartement de ces pauvres gens une véritable armada ecclésiastique qui débarqua, avec un matériel impressionnant: des cierges, des seaux d'eau bénite, des bibles, des missels, des chapelets, des bréviaires, et même à toutes fins utiles, un moulin à prières emprunté au monastère tibétain voisin.
L'ignoble diable continuait à vociférer dans le corps du malheureux enfant:
" J'y suis, j'y reste, bande de curetons, allez-vous faire f..."
Au bout d''une heure de soins intensifs, de prières, d'incantations, de chapelet et d'aspersions d'eau bénite, le diable hurla, plein de rage:
" Bon, vous avez gagné, je m'en vais. Mais il reste encore un de mes confrères dans le corps de cet enfant, et celui-là, vous aurez beaucoup plus de mal à l'extraire!"
- Quel est son nom, gémit l'exorciste?
- Kévélla répondit une voix torve.
L'ignoble diable continuait à vociférer dans le corps du malheureux enfant:
" J'y suis, j'y reste, bande de curetons, allez-vous faire f..."
Au bout d''une heure de soins intensifs, de prières, d'incantations, de chapelet et d'aspersions d'eau bénite, le diable hurla, plein de rage:
" Bon, vous avez gagné, je m'en vais. Mais il reste encore un de mes confrères dans le corps de cet enfant, et celui-là, vous aurez beaucoup plus de mal à l'extraire!"
- Quel est son nom, gémit l'exorciste?
- Kévélla répondit une voix torve.
Mais aujourd'hui, je me dois de mettre un terme à cette pitoyable mascarade. Je voulais être Jean-Pierre Guengant ou rien et je ne suis plus Jean-Pierre Guengant.
Mais si, mais si, Palorel tu es Guengant, voyons ! Tu es et tu seras toujours le grand, l’irrésistible Jean-Pierre Guengant…
Et si t’as encore un problème, n’hésite pas, hein, nous sommes là…
;-))
Pristi ! Je sais maintenant pourquoi mon coucou sonne 22 fois à minuit : il est possédé par le diable Guenguant ! Horreur ! Malheur ! Je m'en vais convoquer la sainte Inquisition afin de procéder à un autodafé radical, rigoureux et définitif. Et pour être tout-à-fait tranquille, je vais demander à Provis de venir prononcer l'oraison jaculatoire : "Vade retro, Guengante !"
A moins que Provis lui-même...
C'est effroyable !...
A moins que Provis lui-même...
C'est effroyable !...
Mais aujourd'hui, je me dois de mettre un terme à cette pitoyable mascarade. Je voulais être Jean-Pierre Guengant ou rien et je ne suis plus Jean-Pierre Guengant.
Mais si, mais si, Palorel tu es Guengant, voyons ! Tu es et tu seras toujours le grand, l’irrésistible Jean-Pierre Guengant…
Et si t’as encore un problème, n’hésite pas, hein, nous sommes là…
;-))
Jean-Yves ! Jean-Yves ! Si tu prononces le mauvais nom, l'exorcisme ne fonctionne pas...
Spirit existe, je l'ai rencontré et je lui parle parfois au téléphone !
Yvon
Yvon
Spirit existe, je l'ai rencontré et je lui parle parfois au téléphone !
Yvon
He! he!......merci Yvon de passer, c'est promis je ne post plus de critiques qui prêtent à critiques (heu en fait j'ai les doigts croisés)...
Tiens un Guengant de plus. Serait-ce contagieux?
Ben oui, quoi. Maclean étant absent pour cause de culture (il est plongé dans les 2 livres qu'il a achetés à la FNAC) je me dois de le remplacer. :o))
Ben oui, quoi. Maclean étant absent pour cause de culture (il est plongé dans les 2 livres qu'il a achetés à la FNAC) je me dois de le remplacer. :o))
Notre auteur ne veut pas qu’on le nomme, mais il n’est pas assez fort, ni subtil, pour éviter le mélange des pinceaux. Ainsi, voit-on que le sieur Virgile attribue à Palorel ce qui vient du Rat des Champs (23 mai 2010 @ 13:39). L’addiction aux pseudos est décidément dangereuse quand elle pousse à une telle confusion. Bientôt notre auteur va se métamorphoser en derviche tourneur. Pour lui éviter ce désastre, je lui suggère de réaliser des petites fiches où, de son écriture latine, il pourra bien tripoter ses posts. Au besoin, si ça l’aide, il pourra y coller ses petites vignettes qui dénotent toujours le même sens esthétique.
Quoi qu’il en soit, on observe toujours son incapacité à être original. Pour produire quelque chose il lui faut s’inspirer d’autrui. La paraphrase, la parodie, le pastiche sont ses réflexes spontanés. Penser par soi-même, il ne sait pas. Il a vu L’Exorciste sur l’immense écran de ses désarrois, il a peut-être lu le roman de Blatty, et voilà qu’il y trouve sa pitance pour brosser une scène qui n’a malheureusement pas la qualité de l’originale.
A une époque où les blogs n’existait pas encore, Claude Olievenstein a proposé une théorie intéressante de ce qu’il appelle les « jeux du JE ». Chez le parano « l’escalade du verbe devient un mode d’existence, une manière d’être au monde (…) Sa peur incessante transformée en agressivité permanente, il vit son existence sur le mode de la guerre civile psychique ou sociale ». D’où les références symboliques fortes : aux nazis, aux destructeurs de tous acabits, aux pouvoirs détenus par des privilégiés, aux caricatures satanistes, etc. Quand il a bien surfé sur ces vagues, il n’hésite pas à plonger dans le scatologique. C’est encore une façon de jongler avec les extrêmes : pipi caca. « Le soliloque croît, s’embellit, se transforme en hurlement devant le sort injuste » qu’il prétend subir.
Désormais, le Web est devenu une sorte d’exutoire. Tant mieux s’il permet de faire l’économie du divan. Le seigneur des avatars donne un spectacle. Il le sait, bien sûr, mais il voudrait que les autres ne s’en aperçoivent pas. D’où la multiplication des simulacres destinés à donner le change, comme chez le magicien. Il fait à la fois les questions et les réponses. Il s’habille en arlequin, varie les postures, troque les rôles. Si vous tenez à le flatter un peu, vous devez faire semblant de ne pas savoir qui il est. Mais cette trollerie n’amuse que lui. C’est ce qui l’enrage. Il piétine, fulmine, gratte la terre de ses ergots et tient son bec en alerte. Sorte d’état second qu’il regrette et désire en même temps. Comme si, à Pandora envahie par d’affreux jojos, il vivait parmi les androïdes bleus de la 3D. Dur dur dur !
Dans le même temps, l’évitement fait partie de ses compulsions. Ce qui gêne, il feint de ne l’avoir ni vi ni entendu. Ainsi, il a bien noté ma référence à Michel Baroin ; mais il s’est bien gardé de la commenter. En suggérant que la feue DST, dont il n’ignore pas la métamorphose dans une autre institution, traque les francs maçons, il pensait faire mouche. Mais, Baroin en traverse, premier dignitaire du Grand Orient de France, voici qu’il se tient coit et rebondit sur autre chose. Les internautes seraient pourtant intéressés de savoir comment Mister Spirit ose insinuer que ceux qui le critiquent sont des anti-maçons primaires et appartiennent à la DST, alors que l’un des principaux dignitaires de la maçonnerie en a dirigé les services ? Pour l’aider un peu, juste un peu, donnons-lui un autre exemple. Pierre Marion, membre de la Grande Loge nationale, n’a-t-il pas été patron de la DGSE ? Qu’il fasse tournicoter sa table, toc toc, et qu’il nous explique ses tours de passe-passe !
Rassurons-le quand même. Le Web présente aussi l’avantage de faire émerger une nouvelle littérature. Dans quelques années, elle aura peut-être ses lettres de noblesse, avec des prix décernés aux meilleurs virtuoses du clavier. Souhaitons-lui finalement de trouver la gloire dans ce genre de blog, à condition de rechercher enfin l’originalité, sans copier sur le cahier du voisin. Rien que pour ça, il mérite d’être encouragé. Clap clap (applaudissements…).
Quoi qu’il en soit, on observe toujours son incapacité à être original. Pour produire quelque chose il lui faut s’inspirer d’autrui. La paraphrase, la parodie, le pastiche sont ses réflexes spontanés. Penser par soi-même, il ne sait pas. Il a vu L’Exorciste sur l’immense écran de ses désarrois, il a peut-être lu le roman de Blatty, et voilà qu’il y trouve sa pitance pour brosser une scène qui n’a malheureusement pas la qualité de l’originale.
A une époque où les blogs n’existait pas encore, Claude Olievenstein a proposé une théorie intéressante de ce qu’il appelle les « jeux du JE ». Chez le parano « l’escalade du verbe devient un mode d’existence, une manière d’être au monde (…) Sa peur incessante transformée en agressivité permanente, il vit son existence sur le mode de la guerre civile psychique ou sociale ». D’où les références symboliques fortes : aux nazis, aux destructeurs de tous acabits, aux pouvoirs détenus par des privilégiés, aux caricatures satanistes, etc. Quand il a bien surfé sur ces vagues, il n’hésite pas à plonger dans le scatologique. C’est encore une façon de jongler avec les extrêmes : pipi caca. « Le soliloque croît, s’embellit, se transforme en hurlement devant le sort injuste » qu’il prétend subir.
Désormais, le Web est devenu une sorte d’exutoire. Tant mieux s’il permet de faire l’économie du divan. Le seigneur des avatars donne un spectacle. Il le sait, bien sûr, mais il voudrait que les autres ne s’en aperçoivent pas. D’où la multiplication des simulacres destinés à donner le change, comme chez le magicien. Il fait à la fois les questions et les réponses. Il s’habille en arlequin, varie les postures, troque les rôles. Si vous tenez à le flatter un peu, vous devez faire semblant de ne pas savoir qui il est. Mais cette trollerie n’amuse que lui. C’est ce qui l’enrage. Il piétine, fulmine, gratte la terre de ses ergots et tient son bec en alerte. Sorte d’état second qu’il regrette et désire en même temps. Comme si, à Pandora envahie par d’affreux jojos, il vivait parmi les androïdes bleus de la 3D. Dur dur dur !
Dans le même temps, l’évitement fait partie de ses compulsions. Ce qui gêne, il feint de ne l’avoir ni vi ni entendu. Ainsi, il a bien noté ma référence à Michel Baroin ; mais il s’est bien gardé de la commenter. En suggérant que la feue DST, dont il n’ignore pas la métamorphose dans une autre institution, traque les francs maçons, il pensait faire mouche. Mais, Baroin en traverse, premier dignitaire du Grand Orient de France, voici qu’il se tient coit et rebondit sur autre chose. Les internautes seraient pourtant intéressés de savoir comment Mister Spirit ose insinuer que ceux qui le critiquent sont des anti-maçons primaires et appartiennent à la DST, alors que l’un des principaux dignitaires de la maçonnerie en a dirigé les services ? Pour l’aider un peu, juste un peu, donnons-lui un autre exemple. Pierre Marion, membre de la Grande Loge nationale, n’a-t-il pas été patron de la DGSE ? Qu’il fasse tournicoter sa table, toc toc, et qu’il nous explique ses tours de passe-passe !
Rassurons-le quand même. Le Web présente aussi l’avantage de faire émerger une nouvelle littérature. Dans quelques années, elle aura peut-être ses lettres de noblesse, avec des prix décernés aux meilleurs virtuoses du clavier. Souhaitons-lui finalement de trouver la gloire dans ce genre de blog, à condition de rechercher enfin l’originalité, sans copier sur le cahier du voisin. Rien que pour ça, il mérite d’être encouragé. Clap clap (applaudissements…).
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