Spiderman n'est pas un nouvel inscrit, que je sache !
SJB, attention tu vires à la parano ! ;))
J'étais un peu comme SJB cependant la présence de Spiderman parmi les critiqueurs m'a totalement rassuré mais il y a tout de même des similitudes troublantes.
Moi aussi.
Un peu surpris (et flatté !) que mon avis vienne cautionner les critiques sur ce bouquin. Puisque cela n'est pas dit dans mon papier, autant vous dire que j'ai eu une forme très similaire de la maladie qui est ici décrite avec un talent qui m'a emballé.
Et je suis sûr que cette lecture apportera à tout lecteur beaucoup plus que celui qui se dit "je connais, c'est exactement ça". Il y a tellement plus d'humanité, de style, de classe que dans un simple récit d'expérience vécue.
Un grand livre, c'est tout : et que personne n'aille soupçonner des promos cachées, il n'aura pas besoin de cela pour faire son chemin, honnêtement et avec classe. C'est tout à fait le genre de lecture qui fait penser à celui qui n'a jamais songé à "partager" sur un site : "je ne peux pas garder ça pour moi !"
C'est donc bien, comme je le pensais, un livre qui "donne la parole". C'est un créneau éditorial porteur (d'où mes réserves), mais bien sûr ça n'empêche pas le livre d'être bon.
Créneau éditorial porteur ?
Voilà le genre de classification que je ne vais pas manquer de ressortir à mes amis (que j'ai peur de lasser avec ma "croisière aux îles Séquelles")
J'ai eu un "créneau éditorial porteur" qui touche, dans une forme aussi virulente une personne sur un million et me laisse invalide à 80%. Consolation : les places bleues (quand elles ne sont pas squattées par d'inciviques bipèdes) sont plus larges, ce qui facilite le créneau (éditorial porteur ?).
Et cela ne suffit pas (pour moi en tous cas) à rendre un livre intéressant : dans les bibliothèques des hôpitaux et autres centres de rééducation traînent des tas de "trucs" édités à compte d'auteur n'ayant souvent pas d'autre valeur que thérapeutique pour celui qui a survécu à une maladie ou un accident?.
Le Syndrome du bocal est d'une autre trempe et comme l'a écrit Le Chambon " Ce Pinault est un grand écrivain, vous verrez, on en reparlera. ". Et je pense qu'il risque de m'embarquer aussi bien, aussi loin qu'il l'a fait avec une simple identification à son narrateur.
Merci Feint de ta remarque, de tes remarques et crois en mon amicale complicité bibliophile à fleur de peau et sincère !!
Voilà le genre de classification que je ne vais pas manquer de ressortir à mes amis (que j'ai peur de lasser avec ma "croisière aux îles Séquelles")
J'ai eu un "créneau éditorial porteur" qui touche, dans une forme aussi virulente une personne sur un million et me laisse invalide à 80%. Consolation : les places bleues (quand elles ne sont pas squattées par d'inciviques bipèdes) sont plus larges, ce qui facilite le créneau (éditorial porteur ?).
Et cela ne suffit pas (pour moi en tous cas) à rendre un livre intéressant : dans les bibliothèques des hôpitaux et autres centres de rééducation traînent des tas de "trucs" édités à compte d'auteur n'ayant souvent pas d'autre valeur que thérapeutique pour celui qui a survécu à une maladie ou un accident?.
Le Syndrome du bocal est d'une autre trempe et comme l'a écrit Le Chambon " Ce Pinault est un grand écrivain, vous verrez, on en reparlera. ". Et je pense qu'il risque de m'embarquer aussi bien, aussi loin qu'il l'a fait avec une simple identification à son narrateur.
Merci Feint de ta remarque, de tes remarques et crois en mon amicale complicité bibliophile à fleur de peau et sincère !!
Tu as bien compris que je ne prends pas à mon compte le cynisme de l'expression. Mais la stratégie éditoriale est souvent sans rapport avec l'écriture, et aussi avec l'histoire personnelle ; ça n'enlève donc rien au livre. S'il pouvait en outre participer à la rééducation civique de quelques bipèdes incivils, ce serait merveilleux - encore faudrait-il que ceux-là sachent lire.
Nous sommes tout à fait sur la même longueur d'ondes ... j'ai failli écrire "dans le même créneau".
Cordialement !!!
Cordialement !!!
Un thriller étonnant sur une histoire vraie ? Sans hésiter, je vote pour "Comme un vol d'aigle" de K.Follet
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