Shannon, je trouvais ton texte très intéressant, tu aurais dû en faire une critique-éclair pour qu'il reste en lien avec le livre. Tu l'as fait paraître sur un fuseau qui a disparu à cause de qui vous savez... ;-))
De toutes façons, il y a beaucoup de CLiens qui ne viennent jamais sur les forums, certains les trouvent élitistes, d'autres, claniques...
Je suis vraiment curieux de savoir ce que dira l'auteur, tu as bien fait de lui écrire.
Je me demande encore ce qui te donne cette certitude que l'action se passe en France. Je pense que l'auteur n'a donné aucun indice géographique pour que l'on puisse l'imaginer où on veut, à condition que ce soit dans de grands espaces, et, par endroits, assez désertifiés.
Je vois que ta conception du livre est différente de la mienne. Ça prouve la qualité du livre ; quand un romancier vous prend par la main pour vous mener exactement où il veut, il ne laisse plus de part à l'imagination ; autant aller voir le film, alors...
Je ne regrette pas mon titre : l'amour à tout prix.
J'ai voulu dire que le narrateur veut sauver son amour en vers et contre tout.
Tu disais dans ton post : si je me trouvais avec un homme aussi flippé que l'est Betty, je me barre...
Ben oui, justement, lui, il ne se barre pas, parce qu'il est amoureux !
Je trouve que ce livre est une formidable histoire d'amour : il est charnel, bien sûr, mais aussi, il est fait de patience, de respect et d'admiration. Je pense à la patience parce que le bonhomme ne se barre pas, au respect pour sa femme malgré tous ses caprices un peu fous, et à l'admiration de la femme pour le "génie" de son amoureux. Je pense à cette phrase tout à la fin : "elle voulait être fière de moi" ! Si ça, ce n'est pas de l'amour...
Je n'ai pas trouvé que le fait de ne pas avoir d'enfant était le fil conducteur de tout le récit. Cet épisode arrive au milieu du livre, mais bon, ça peut être ça...
Alors, moi j'ai trouvé que certaines histoires étaient cocasses : quand la Betty met le feu à la baraque du patron, quand elle peint en rouge la porte d'un éditeur... et j'ai trouvé que d'autres étaient carrément rocambolesques : quand on retrouve la femme dans un grand magasin de jouets en train de jouer aux indiens avec un bambin, la fuite par les toits, la poursuite des mères en furie jusqu'au canardage de la voiture à coup de boites de bière, et quand une boite de bière se retrouve dans la voiture et que le chauffeur déclare : pourvu qu'elle soit remplie...
Et puis les épisodes avec Joséphine sont d'une drôlerie incroyable...
Bien entendu, tout ça cache un drame énorme, mais c'est raconté de manière rocambolesque...
C'est du moins, ce que j'ai ressenti.
Où je me sens un peu balourd, c'est d'avoir parlé d'un comportement typiquement américain, alors que l'auteur est Français ! ;-((
Comme tu le remarques avec beaucoup d'à propos, il y a des Américains qui se suicident ! Mais cette espèce de dynamisme qui fait que le narrateur se redresse quand il est tombé au plus bas, et même à la fin du livre, quand c'est l'horreur (ne racontons pas l'histoire), c'est incontestablement une qualité typiquement américaine, même si l'auteur ne l'est pas.
Mais, mais, mais... que d'autres lecteurs viennent trancher le débat, vite, vite, Messieurs, Mesdames, à vos critiques-éclairs, s'il vous plait...
;-))
De toutes façons, il y a beaucoup de CLiens qui ne viennent jamais sur les forums, certains les trouvent élitistes, d'autres, claniques...
Je suis vraiment curieux de savoir ce que dira l'auteur, tu as bien fait de lui écrire.
Je me demande encore ce qui te donne cette certitude que l'action se passe en France. Je pense que l'auteur n'a donné aucun indice géographique pour que l'on puisse l'imaginer où on veut, à condition que ce soit dans de grands espaces, et, par endroits, assez désertifiés.
Je vois que ta conception du livre est différente de la mienne. Ça prouve la qualité du livre ; quand un romancier vous prend par la main pour vous mener exactement où il veut, il ne laisse plus de part à l'imagination ; autant aller voir le film, alors...
Je ne regrette pas mon titre : l'amour à tout prix.
J'ai voulu dire que le narrateur veut sauver son amour en vers et contre tout.
Tu disais dans ton post : si je me trouvais avec un homme aussi flippé que l'est Betty, je me barre...
Ben oui, justement, lui, il ne se barre pas, parce qu'il est amoureux !
Je trouve que ce livre est une formidable histoire d'amour : il est charnel, bien sûr, mais aussi, il est fait de patience, de respect et d'admiration. Je pense à la patience parce que le bonhomme ne se barre pas, au respect pour sa femme malgré tous ses caprices un peu fous, et à l'admiration de la femme pour le "génie" de son amoureux. Je pense à cette phrase tout à la fin : "elle voulait être fière de moi" ! Si ça, ce n'est pas de l'amour...
Je n'ai pas trouvé que le fait de ne pas avoir d'enfant était le fil conducteur de tout le récit. Cet épisode arrive au milieu du livre, mais bon, ça peut être ça...
Alors, moi j'ai trouvé que certaines histoires étaient cocasses : quand la Betty met le feu à la baraque du patron, quand elle peint en rouge la porte d'un éditeur... et j'ai trouvé que d'autres étaient carrément rocambolesques : quand on retrouve la femme dans un grand magasin de jouets en train de jouer aux indiens avec un bambin, la fuite par les toits, la poursuite des mères en furie jusqu'au canardage de la voiture à coup de boites de bière, et quand une boite de bière se retrouve dans la voiture et que le chauffeur déclare : pourvu qu'elle soit remplie...
Et puis les épisodes avec Joséphine sont d'une drôlerie incroyable...
Bien entendu, tout ça cache un drame énorme, mais c'est raconté de manière rocambolesque...
C'est du moins, ce que j'ai ressenti.
Où je me sens un peu balourd, c'est d'avoir parlé d'un comportement typiquement américain, alors que l'auteur est Français ! ;-((
Comme tu le remarques avec beaucoup d'à propos, il y a des Américains qui se suicident ! Mais cette espèce de dynamisme qui fait que le narrateur se redresse quand il est tombé au plus bas, et même à la fin du livre, quand c'est l'horreur (ne racontons pas l'histoire), c'est incontestablement une qualité typiquement américaine, même si l'auteur ne l'est pas.
Mais, mais, mais... que d'autres lecteurs viennent trancher le débat, vite, vite, Messieurs, Mesdames, à vos critiques-éclairs, s'il vous plait...
;-))
J'ai enfin le livre en main. Je le lirai tout de suite après ma présente lecture et je vais tenter de découvrir des indices permettant de situer l'action. ;-)
Et si quelqu'un a quelque chose à dire qu'il parle maintenant !
Et quand Dirlandaise aura parlé, qu'il se taise à jamais !
;-))
En attendant, moi j'attends ton avis, tes commentaires et ta critique avec impatience, Dirlandaise. ;-))
Et quand Dirlandaise aura parlé, qu'il se taise à jamais !
;-))
En attendant, moi j'attends ton avis, tes commentaires et ta critique avec impatience, Dirlandaise. ;-))
Shannon, je trouvais ton texte très intéressant, tu aurais dû en faire une critique-éclair pour qu'il reste en lien avec le livre.Tu es bien gentil parfois, SJB..
D'ailleurs, dans ce monument de la littérature prosaïque qui fut jeté dans les fosses abyssales de Cl, et que tu regrettes de n'avoir pas pu lire, je disais en substance, à la cantonnade et à Dubrac en particulier, que ton honnêteté intellectuelle n’est pas à mettre en doute mais que pour autant elle ne te protége pas contre les déclarations approximatives et les jugements expéditifs...
Que celui qui n’a jamais prêché de travers te jette la première pierre.. :o)
C'est Shannon elle-même qui a suicidé son fuseau, SJB..
Tu l'as fait paraître sur un fuseau qui a disparu à cause de qui vous savez... ;-))
Shannon non seulement réclamait sa désinscription, mais elle demandait également que soient supprimés les fils où elle était intervenue (hormis ses critiques de livre). Elle a précisé que par ailleurs, en plus de sa demande sur le fil en question, elle envoyait un mail à l’administrateur.
On peut se croire autorisé à conclure que l'administrateur a tout simplement accédé à sa demande, non ? Il suffit qu’un quidam passe sur un fil pour qu’on accède à sa demande de supprimer le fil où il est intervenu !
Et la liberté d’expression des autres, de ceux qui s'efforcent de s'exprimer posément et poliment ? L’ensemble des Céliens bien élevés n’ont pas autant de droits à garder ce même fil qu’une seule quidam mal embouchée n'en aurait à le faire supprimer ?
Alors pourquoi ne pas supprimer d'emblée les fils remplis d’ordures pas les trolls ?? Afin de respecter la liberté d’expression des trolls, il faudrait leur autorisation préalable ?
Peut-être Shannon viendra-t-elle te répondre sous un autre pseudo, en même temps qu'elle nous donnera la réponse de Djian ??.. :o))
De toutes façons, il y a beaucoup de CLiens qui ne viennent jamais sur les forums, certains les trouvent élitistes, d'autres, claniques...
Je suis vraiment curieux de savoir ce que dira l'auteur, tu as bien fait de lui écrire.
Je me demande encore ce qui te donne cette certitude que l'action se passe en France. Je pense que l'auteur n'a donné aucun indice géographique pour que l'on puisse l'imaginer où on veut, à condition que ce soit dans de grands espaces, et, par endroits, assez désertifiés.
Je vois que ta conception du livre est différente de la mienne. Ça prouve la qualité du livre ; quand un romancier vous prend par la main pour vous mener exactement où il veut, il ne laisse plus de part à l'imagination ; autant aller voir le film, alors...
Je ne regrette pas mon titre : l'amour à tout prix.
J'ai voulu dire que le narrateur veut sauver son amour en vers et contre tout.
Tu disais dans ton post : si je me trouvais avec un homme aussi flippé que l'est Betty, je me barre...
Ben oui, justement, lui, il ne se barre pas, parce qu'il est amoureux !
Je trouve que ce livre est une formidable histoire d'amour : il est charnel, bien sûr, mais aussi, il est fait de patience, de respect et d'admiration. Je pense à la patience parce que le bonhomme ne se barre pas, au respect pour sa femme malgré tous ses caprices un peu fous, et à l'admiration de la femme pour le "génie" de son amoureux. Je pense à cette phrase tout à la fin : "elle voulait être fière de moi" ! Si ça, ce n'est pas de l'amour...
Je n'ai pas trouvé que le fait de ne pas avoir d'enfant était le fil conducteur de tout le récit. Cet épisode arrive au milieu du livre, mais bon, ça peut être ça...
Alors, moi j'ai trouvé que certaines histoires étaient cocasses : quand la Betty met le feu à la baraque du patron, quand elle peint en rouge la porte d'un éditeur... et j'ai trouvé que d'autres étaient carrément rocambolesques : quand on retrouve la femme dans un grand magasin de jouets en train de jouer aux indiens avec un bambin, la fuite par les toits, la poursuite des mères en furie jusqu'au canardage de la voiture à coup de boites de bière, et quand une boite de bière se retrouve dans la voiture et que le chauffeur déclare : pourvu qu'elle soit remplie...
Et puis les épisodes avec Joséphine sont d'une drôlerie incroyable...
Bien entendu, tout ça cache un drame énorme, mais c'est raconté de manière rocambolesque...
C'est du moins, ce que j'ai ressenti.
Où je me sens un peu balourd, c'est d'avoir parlé d'un comportement typiquement américain, alors que l'auteur est Français ! ;-((
Comme tu le remarques avec beaucoup d'à propos, il y a des Américains qui se suicident ! Mais cette espèce de dynamisme qui fait que le narrateur se redresse quand il est tombé au plus bas, et même à la fin du livre, quand c'est l'horreur (ne racontons pas l'histoire), c'est incontestablement une qualité typiquement américaine, même si l'auteur ne l'est pas.
Mais, mais, mais... que d'autres lecteurs viennent trancher le débat, vite, vite, Messieurs, Mesdames, à vos critiques-éclairs, s'il vous plait...
;-))
Et trancher, SJB... peut-on trancher sur une chose pareille ? En mathématique, on sait si la solution est bonne, quand elle a le bon goût d'exister et d'être unique, mais en littérature ??
J'ai quelques pages de lues et à date, j'aime beaucoup. ;-)
Provis dixit :
Tu es bien gentil parfois, SJB..
"parfois" !! ?? ;-)) ,-))
A part ça, Provis, je partage vraiment ton avis : un fuseau appartient à l'ensemble des Cliens de bonne composition, pas seulement ceux qui ont posté mais tous les honorés lecteurs qui sont venus voir ce qui se racontait.
Mais enfin, n'accablons pas nos GA (gentils administrateurs), pour une fois qu'ils s'occupent de nous ! ;-)) ...
Tu es bien gentil parfois, SJB..
"parfois" !! ?? ;-)) ,-))
A part ça, Provis, je partage vraiment ton avis : un fuseau appartient à l'ensemble des Cliens de bonne composition, pas seulement ceux qui ont posté mais tous les honorés lecteurs qui sont venus voir ce qui se racontait.
Mais enfin, n'accablons pas nos GA (gentils administrateurs), pour une fois qu'ils s'occupent de nous ! ;-)) ...
J'en suis à la page 170 de ma lecture et pas une seule indication sur le lieu ou se déroule l'action et d'après moi, il n'y en aura pas. On dirait que l'auteur se plaît à ne pas donner ce genre de détails.
Je continue à lire... ;-)
Je continue à lire... ;-)
Rendue à la page 270 et encore pas d'indices révélateurs...
Voilà une enquête menée avec sérieux et conscience professionnelle... Bravo Dirlandaise !!!
Peut-on croire Dirlandaise ? :D
Elle peut très bien être partiale et omettre certain détails pour aller dans le sens de SJB.
Humour bien sûr :).
Elle peut très bien être partiale et omettre certain détails pour aller dans le sens de SJB.
Humour bien sûr :).
J'en suis à la page 350 donc presque à la fin. Il me reste une vingtaine de pages à lire.
Voici les maigres indices que j'ai réussi à dénicher :
1. le héros du livre se promène en Mercedes. Pas fameux vous allez me dire mais mieux que rien. C'est pas un marque américaine en tout cas... mais on en trouve en Amérique.
2. Après son cambriolage, le héros retrouve sa voiture dans un stationnement (c'est écrit parking dans le livre) et décrit une femme qui charge ses achats dans une Fiat. Encore là, c'est plutôt européen comme voiture.
3. Pour l'électricité, le héros parle du 220V. Je crois que le standard américain est le 120V. C'est mon meilleur indice !
4. Le héros achète un vêtement d'enfant qu'il appelle "Babygros". Je crois que c'est européen ça.
5. Pour la bière, on parle de "Carlberg".... mais on en trouve presque partout de cette bière.
Alors, qu'en pensez-vous ? Moi, je penche du côté européen.
;-)
Voici les maigres indices que j'ai réussi à dénicher :
1. le héros du livre se promène en Mercedes. Pas fameux vous allez me dire mais mieux que rien. C'est pas un marque américaine en tout cas... mais on en trouve en Amérique.
2. Après son cambriolage, le héros retrouve sa voiture dans un stationnement (c'est écrit parking dans le livre) et décrit une femme qui charge ses achats dans une Fiat. Encore là, c'est plutôt européen comme voiture.
3. Pour l'électricité, le héros parle du 220V. Je crois que le standard américain est le 120V. C'est mon meilleur indice !
4. Le héros achète un vêtement d'enfant qu'il appelle "Babygros". Je crois que c'est européen ça.
5. Pour la bière, on parle de "Carlberg".... mais on en trouve presque partout de cette bière.
Alors, qu'en pensez-vous ? Moi, je penche du côté européen.
;-)
Je suis d'accord avec SJB pour ce qui est de l'amour.
Ce livre renferme une formidable histoire d'amour. Amour du héros pour sa Betty qu'il adule au point d'éponger toutes ses conneries et crises de révolte. SJB a très bien exprimé ce que moi aussi je ressens à ce propos. C'est plutôt admirable comme comportement de la part du narrateur. On sent qu'il ferait n'importe quoi pour la rendre un peu heureuse sa Betty et il va même jusqu'à faire de grosses bêtises...
Il y a aussi beaucoup d'humour comme SJB l'a aussi exprimé, en particulier les réflexions du narrateur sur la vie en général et l'épisode de "Joséphine" qui m'a bien fait rire, surtout le fait que le jeune gardien en soit tombé amoureux fou ! Hilarant ! L'épisode du téléphérique est également savoureux ! Et la façon dont le narrateur décrit son dégoût pour le jus de tomates... Très drôle !
Le livre est truffé d'humour en dépit de la situation dramatique et désespérée des personnages. C'est bien écrit et remarquablement vivant, en fait, ça déborde de vie de tous les côtés.
Bref, un livre excellent que j'ai dégusté avec bonheur ! ;-)
Ce livre renferme une formidable histoire d'amour. Amour du héros pour sa Betty qu'il adule au point d'éponger toutes ses conneries et crises de révolte. SJB a très bien exprimé ce que moi aussi je ressens à ce propos. C'est plutôt admirable comme comportement de la part du narrateur. On sent qu'il ferait n'importe quoi pour la rendre un peu heureuse sa Betty et il va même jusqu'à faire de grosses bêtises...
Il y a aussi beaucoup d'humour comme SJB l'a aussi exprimé, en particulier les réflexions du narrateur sur la vie en général et l'épisode de "Joséphine" qui m'a bien fait rire, surtout le fait que le jeune gardien en soit tombé amoureux fou ! Hilarant ! L'épisode du téléphérique est également savoureux ! Et la façon dont le narrateur décrit son dégoût pour le jus de tomates... Très drôle !
Le livre est truffé d'humour en dépit de la situation dramatique et désespérée des personnages. C'est bien écrit et remarquablement vivant, en fait, ça déborde de vie de tous les côtés.
Bref, un livre excellent que j'ai dégusté avec bonheur ! ;-)
Je veux juste ajouter que la critique de SJB, en dépit du fait qu'il situe l'action en Amérique (le contraire n'a pas encore été prouvé), est d'une justesse remarquable en ce qui concerne l'esprit et le contenu de l'ouvrage. ;-)
Ce débat sur la localisation d'un roman est passionant et montre qu'il existe des oeuvres absolument intemporelles... Du coup, un adaptateur cinématographique, théâtral, bulesque... peut se permettre des libertés et créer, ainsi, le trouble dans des esprits...
Je veux juste ajouter que la critique de SJB, en dépit du fait qu'il situe l'action en Amérique (le contraire n'a pas encore été prouvé), est d'une justesse remarquable en ce qui concerne l'esprit et le contenu de l'ouvrage. ;-)Hou-la-la ! Dirlandaise, merci, mais c'est trop ! c'est trop ! (dit-il en rosissant de plaisir... )
;-)))
Voilà j'ai terminé !
Pour conclure, l'auteur n'a pas donné suffisamment d'indices pour permettre aux lecteurs de bien situer l'action mais je crois que ça n'a pas tellement d'importance au fond.
Vers la fin, le héros prend un médicament nommé "Arnica 5 ch" qui relève de l'homéopathie mais je ne sais pas si on peut en trouver en Amérique ou si c'est seulement européen.
Bref, c'est un excellent livre et je m'en vais louer le film que je n'ai jamais vu !
Merci Shelton pour tes commentaires et pour SJB, ce que j'ai dit au sujet de ta critique, je le pense sincèrement. ;-)
Pour conclure, l'auteur n'a pas donné suffisamment d'indices pour permettre aux lecteurs de bien situer l'action mais je crois que ça n'a pas tellement d'importance au fond.
Vers la fin, le héros prend un médicament nommé "Arnica 5 ch" qui relève de l'homéopathie mais je ne sais pas si on peut en trouver en Amérique ou si c'est seulement européen.
Bref, c'est un excellent livre et je m'en vais louer le film que je n'ai jamais vu !
Merci Shelton pour tes commentaires et pour SJB, ce que j'ai dit au sujet de ta critique, je le pense sincèrement. ;-)
Voilà j'ai terminé !Je pense comme toi, l'important c'est de participer !! :o)
Pour conclure, l'auteur n'a pas donné suffisamment d'indices pour permettre aux lecteurs de bien situer l'action mais je crois que ça n'a pas tellement d'importance au fond.
J'ai été assez étonné, à vrai dire, par cet acharnement à vouloir décider où s'agite le héros ? Il faut comprendre que ce n'est qu'un jeu, sinon où est l'intérêt ?
D'ailleurs, l'auteur peut attacher si peu d'importance à la chose (sinon on trouverait suffisament d'indices pour rendre inutile la question, non ?) que lui-même ne saurait pas répondre..
En tout cas, bravo pour le 220 volts ! Il me semble que l'observation est déterminante, parce que je serais étonné que cette tension soit utilisée quelque part aux USA..
Je commence la lecture de "Bleu comme l'enfer".
Philippe Djian a une manière bien à lui d'écrire et ça me plaît énormément ! ;-)
Philippe Djian a une manière bien à lui d'écrire et ça me plaît énormément ! ;-)
"From Library Journal
An X-rated novel for readers who like X-rated movies. Of course, the novel came first (the French film Betty Blue was released recently in this country). SET IN THE UNITED STATES, it is a French counterpart of Kerouac or Oates at their most complacently demoralizing. It is so authentically translated that it sounds as if written in English, and considering how derivative it is, it might as well have been. The narrator is a writer of the James Jones variety, and Betty is his victim and victimizer. Their saga of mutual abuse reaches a closure with her insanity. A best seller in France, this novel holds serious interest only for popular culture. Marilyn Gaddis Rose, SUNY at Binghamton
Copyright 1988 Reed Business Information, Inc. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. "
http://amazon.fr/Betty-Blue-Passion-Philippe-Djian…
An X-rated novel for readers who like X-rated movies. Of course, the novel came first (the French film Betty Blue was released recently in this country). SET IN THE UNITED STATES, it is a French counterpart of Kerouac or Oates at their most complacently demoralizing. It is so authentically translated that it sounds as if written in English, and considering how derivative it is, it might as well have been. The narrator is a writer of the James Jones variety, and Betty is his victim and victimizer. Their saga of mutual abuse reaches a closure with her insanity. A best seller in France, this novel holds serious interest only for popular culture. Marilyn Gaddis Rose, SUNY at Binghamton
Copyright 1988 Reed Business Information, Inc. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. "
http://amazon.fr/Betty-Blue-Passion-Philippe-Djian…
N'empêche que "Babygros" c'est français. Ou c'était, vu les délocalisations, fusions etc.
Et quid du voltage ?
Tout ça n'a aucune importance, de toutes façons.
Ce que je trouve en revanche très intéressant, c'est la remarque sur l'écriture de Djian qui fait dire aux Américains qu'on dirait un livre écrit en anglais directement. C'est sûrement ça qui a interpellé SJB.
Et quid du voltage ?
Tout ça n'a aucune importance, de toutes façons.
Ce que je trouve en revanche très intéressant, c'est la remarque sur l'écriture de Djian qui fait dire aux Américains qu'on dirait un livre écrit en anglais directement. C'est sûrement ça qui a interpellé SJB.
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