NOTHINGMAN: Pas mal pour un premier essai. Quelques cassures de rythme entre les rimes, dues aux longueurs différentes des phrases.
J'aime beaucoup "Cette déesse élancée comme une frite", c'est... appétissant :)
J'aime beaucoup "Cette déesse élancée comme une frite", c'est... appétissant :)
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La belle donne tout, je la sens pâquerette
Qui s’effeuille souvent, à la moindre amourette.
Marguerite est la joie, la chance, le gri-gri,
Dans le plat de la vie, elle est un campanile
Qui se dresse et vous dresse et vous rend l’âge aigri.
Pfiouuuuuu, elle a du chien, ta Marguerite, Bolcho!
Ben tu vas fort toi Yali !
"Puis toi ta lune et moi mon campanile" ;-))
"Puis toi ta lune et moi mon campanile" ;-))
Mes préférés:
Contentons-nous d'une pâquerette
Passons d’amour à amourette
Faisons sonner le campanile
Comme campanule juvénile
Ah ! que ce régime m’aigrit !
Elle est partie ? Ben elle est forte !
Me v’là traité comme un cloporte
Dans ces yeux noirs : regard-fusil
Faudrait pas trop que je lambine
Que l’fusil passe à carabine
Kilis, très forte en rythme, parce que même si on donne le même nombre de syllabes, on n'a pas forcément du rythme, ici, il y'en a beaucoup, j'aime les jeux de mots, et ce ton qui est le tien.
L'histoire de fusil à carabine, très bien trouvé !!
:0)
Contentons-nous d'une pâquerette
Passons d’amour à amourette
Faisons sonner le campanile
Comme campanule juvénile
Ah ! que ce régime m’aigrit !
Elle est partie ? Ben elle est forte !
Me v’là traité comme un cloporte
Dans ces yeux noirs : regard-fusil
Faudrait pas trop que je lambine
Que l’fusil passe à carabine
Kilis, très forte en rythme, parce que même si on donne le même nombre de syllabes, on n'a pas forcément du rythme, ici, il y'en a beaucoup, j'aime les jeux de mots, et ce ton qui est le tien.
L'histoire de fusil à carabine, très bien trouvé !!
:0)
Yali : j'aime beaucoup ton texte ! Tu nous as fait mariner, mais ça valait le coup, en effet ! Ce n'est pas partit sur un délire à la troisième strophe, ce qui est agréable !! :-))
Très bien balancée, ton ode, Percute
SIBYLLINE: Ta première partie me plaît beaucoup. Et aussi "des plus antiques carabines"
J'ai juste été heurtée par "l'amour était forte".
J'ai juste été heurtée par "l'amour était forte".
Ben dites donc, on a bien travaillé! Mais comment ça se fait que nos poèmes se ressemblent plus que d'habitude?
les rimes étaient logiques
oui, mais pourquoi + que d'hab?
Parce que certaines rimes étaient réductrices, Sib, que veux-tu faire d'autre avec une "marguerite" ou une "paquerette". Puis le passé simple de "cambra" et "détruisit", ben c'est pas simple à placer.
Il effeuillait la marguerite
En vidant son cornet de frites
La blonde qui était dans ses bras
Aussi mortelle qu'une belladone
Et qui voulait qu'on lui pardonne
conclut "je t'aime" et se cambra.
ça par contre, ça ne m'ai jamais arrivé
Il effeuillait la marguerite
En vidant son cornet de frites
La blonde qui était dans ses bras
Aussi mortelle qu'une belladone
Et qui voulait qu'on lui pardonne
conclut "je t'aime" et se cambra.
ça par contre, ça ne m'ai jamais arrivé
m'ai.. .rde
KILIS: une belle tournure dynamique et chantante, ça sonne bien.
J'aime bien la dernière partie, très vive, et puis "Faisons sonner le campanile", tout un programme!
J'aime bien la dernière partie, très vive, et puis "Faisons sonner le campanile", tout un programme!
NOTHINGMAN: Pas mal pour un premier essai. Quelques cassures de rythme entre les rimes, dues aux longueurs différentes des phrases.
J'aime beaucoup "Cette déesse élancée comme une frite", c'est... appétissant :)
Oui, la longueur des vers accroche un peu... mais le déesse élancée comme une frite... Oui, y a pas d'autre mot: appétissant en diable :-)!
SIBYLLINE: Ta première partie me plaît beaucoup. Et aussi "des plus antiques carabines"
J'ai juste été heurtée par "l'amour était forte".
je crois avoir trouvé amour au féminin dans des textes. Il me semble que ça peut se dire
Je vais pas les commenter tous ce soir, moi, mais j'ai trouvé l'ode de SJB formidable. Je suis sidérée par sa facilité.
KILLGRIEG: ce soir, ça revient le "poison qui jamais ne pardonne", ça en a inspiré plusieurs.
Joli ce "ton corps, quand il se cambra
m’envoya dans les pâquerettes"!
La rime clos portent... limite hein :) mais bien trouvé!
Joli ce "ton corps, quand il se cambra
m’envoya dans les pâquerettes"!
La rime clos portent... limite hein :) mais bien trouvé!
Il effeuillait la marguerite
En vidant son cornet de frites
La blonde qui était dans ses bras
Aussi mortelle qu'une belladone
Et qui voulait qu'on lui pardonne
conclut "je t'aime" et se cambra.
ça par contre, ça ne m'ai jamais arrivé
Un truc à faire pourtant (si on n'est pas au régime) Je t'aime - miam- un peu -miam- beaucoup ...
Eh Nothingham, bonne première fois, dommage que le rythme ne suive pas tout le temps, mais pour le premier coup, j'aurai fait nettement moins bien :0)
Comme une frite ? appétissant ?
:0))))
Comme une frite ? appétissant ?
:0))))
Bon, bah je suis désolée
mais je dois quitter l'assemblée
Le devoir du sommeil m'appelle
(Ma mère aussi d'ailleur !)
bonsoir à tous et merci pour ce samedi soir !!
/:-))
mais je dois quitter l'assemblée
Le devoir du sommeil m'appelle
(Ma mère aussi d'ailleur !)
bonsoir à tous et merci pour ce samedi soir !!
/:-))
LYRA: c'est poétique et très lyrique. Un petit bémol pour la dernière phrase qui sonne faux par rapport au reste. Sinon j'aime bien cette ode végétale mi-cruelle mi-désabusée.
J'avoue que tous vous m'épatez, d'humour, d'orginalité et d'agilité.
Un commentaire plus détaillé viendra demain, promis, juré, mais pas craché, ce ne serait quand même pas très frais. ;o)
Un commentaire plus détaillé viendra demain, promis, juré, mais pas craché, ce ne serait quand même pas très frais. ;o)
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