Sibylline 12/03/2005 @ 22:45:21
Nous devons donc rédiger en 30mn une ode qui se présentera avec ces rimes:
marguerite
frite
bras
belladone
pardonne
cambra

paquerette
amourette
grigri
campanile
juvénile
aigri

forte
cloporte
fusil
lambine
carabine
détruisit

Saint Jean-Baptiste 12/03/2005 @ 22:45:48
qui sonne comme zizi

Un zizi qui sonne ??

Bluewitch
avatar 12/03/2005 @ 22:46:03
Juste pour le chichi, Kilis, je ne suis pas une profiteuse

Sibylline 12/03/2005 @ 22:46:14
Aucune contrainte de nombre de pieds. Rendez-vous ici à 23h16

Killgrieg 12/03/2005 @ 22:46:47
ma piiiiizzzzzaaa, elle est juste chaude

Sahkti
avatar 12/03/2005 @ 22:47:12
c'est parti!

Killgrieg 12/03/2005 @ 22:47:40
Aucune contrainte de nombre de pieds. Rendez-vous ici à 23h16

quoi 23h16???!!! j'ai dix minutes pour manger alors

Yali 12/03/2005 @ 22:47:53
Ben m'en vais faire dans curieux moi

Percute 12/03/2005 @ 22:49:13
droit de mettre au pluriel?

Lyra will 12/03/2005 @ 22:49:33
On doit oder quelque chose, un hymne un truc comme ça, ou ce n'est pas grave si on ne suit pas la règle ?

Sahkti
avatar 12/03/2005 @ 22:51:37
juste 3 x 6 vers, pas d'autres règles je crois

Bolcho
avatar 12/03/2005 @ 23:06:17
Ce joyeux samedi, j’ai sorti Marguerite
Qu’était belle à crever – d’ailleurs j’avais la frite -.
Cette fille est une drogue, et j’me la pique au bras,
Par-dessus, par-dessous, c’est une Belladone
Dont la toxicité jamais ne te pardonne
(C’est elle, je le sais, qu’avant-hier tu cambras).
La belle donne tout, je la sens pâquerette
Qui s’effeuille souvent, à la moindre amourette.
Marguerite est la joie, la chance, le gri-gri,
Dans le plat de la vie, elle est un campanile
Qui se dresse et vous dresse et vous rend l’âge aigri.
Que faire direz-vous avec la juvénile
Enfant, qui vous colle comme une colle forte,
Et vous transforme en terre, en caillou, en cloporte ?
C’est tout simple, il le faut, prenez votre fusil
Et sans y penser plus, sans que rien ne lambine,
Tirez-vous donc dedans avec la carabine
Et tuez le veinard que l’amour détruisit !


Pas prendre au sérieux le conseil, hein !

Nothingman

avatar 12/03/2005 @ 23:09:34
Que je vous parle de Marguerite
Cette déesse élancée comme une frite
Et qui un jour me tendis les bras
Mais cette femme, dangereuse belladone,
Dont le poison jamais ne pardonne
Jusqu'à l'échine me cambra.

Avec elle, oubliez les paquerettes,
Fleurs que l'on égrenne au gré des amourettes
Avec elle, fini aussi les gri-gri
Se murer dans une campanile
Est un comportement certes bien juvénile
Qui pourtant semble convenir aux caractères aigris.

Décidémment, elle est bien trop forte
Celle qui toujours écrase les vulgaires cloportes
Et assassine dans un grand coup de fusil.
Jamais, cette "Calamity Jane" ne lambine
Quand il s'agit de dégainer sa carabine.
Quant à mon cœur, à jamais elle le détruisit.

Sibylline 12/03/2005 @ 23:10:03
Il effeuillait la marguerite
En vidant son cornet de frites
La blonde qui était dans ses bras
Aussi mortelle qu'une belladone
Et qui voulait qu'on lui pardonne
conclut "je t'aime" et se cambra.

Oh, ce n'était qu'une paquerette
Un p'tit cornet, une amourette
Y'avait pas besoin de grigri
Ni de prière au campanile
pour savoir, ardeur juvénile,
qu'ils se quitteraient, même pas aigris.

Pour l'instant, l'amour était forte
rien d'une larve, rien d'un cloporte.
Son feu, comme celui du fusil,
prendrait bientôt l'allure lambine
des plus antiques carabines,
retour au gris qu'il détruisit.

Kilis 12/03/2005 @ 23:10:20
Ah ! effeuiller la marguerite
Si près d’une baraque à frites
Que m’en tombe les bras
J’préfère croquer la belladone
L’horizon me pardonne
Que l’orage cambra

Contentons-nous d'une pâquerette
Passons d’amour à amourette
Sans amulette, sans grigri
Faisons sonner le campanile
Comme campanule juvénile
Ah ! que ce régime m’aigrit !


Elle est partie ? Ben elle est forte !
Me v’là traité comme un cloporte
Dans ces yeux noirs : regard-fusil
Faudrait pas trop que je lambine
Que l’fusil passe à carabine
Cor' un amour que frite détruisit !

Sahkti
avatar 12/03/2005 @ 23:10:23
Jean culbutait souvent Marguerite
Qui tenait la baraque à frites
Et l'étouffait de ses grands bras
Il fourrageait sa belladone
Espérant que Dieu lui pardonne
Un soir d'ivresse elle se cambra…

Il devint fou de sa pâquerette
Mais il n'était pour elle qu'amourette
Ses attributs lui servaient de gri-gri
La faisaient grimper au campanile
Elle lui préférait les juvéniles
Et finit par rendre Jean aigri

Las il la traita de femme forte
Et la chassa comme un cloporte
De rage elle empoigna son fusil
Il ne fallait pas qu'elle lambine!
Vite elle pointa la carabine
Et la grande verge détruisit.

Toundra 12/03/2005 @ 23:12:18
Dans la France lointaine, près de la mer Margueritte,
Petit port qui sentait la morue jusque dans les frites
Un grand et beau marin ballait des bras
Et à la ronde de ses connaissances, des belladones
Offraient à foison, pour que sa femme lui pardonne
De tant cambrer les roses de la Cambra

Mais celle-ci préférait les pâquerettes
Qui lui rappelaient sa jeunesse et ses amourettes
Ou même un pauvre petit grigri
Aussi, une nuit elle craqua, quand, sous le campanile
Le pauvre lui offrit une fleur de jasmin trop juvénile
Un œil au beurre noir il se prit, et encore, aigri !

C’est que la bonne femme était forte
Et qu’elle avait l’habitude de chasser les cloportes
Et les huissiers à coups de fusil
Et que s’aidant de sa carabine
Il n’y eu aucun amant qu’elle ne détruisit.

Toundra 12/03/2005 @ 23:13:29
Oups, j'ai oublié lambine....

Killgrieg 12/03/2005 @ 23:14:19
Comme la douce Marguerite
empêcha que son âme soit frite
et tendit à Faust ses bras,
Aussi puissant que belladone
poison qui jamais ne pardonne,
ton corps, quand il se cambra
m’envoya dans les pâquerettes.
Notre histoire, plus qu’une amourette
n’eut pas besoin d’autre grigri
que la lueur d’un campanile
pour donner un air juvénile
à mon vieux cœur pourtant aigri.
ma rage, ma passion, si fortes;
l’enseigne que les lieux clos portent
soufflèrent d’un coup de fusil
et mon corps s’il, parfois, lambine
Là, à grands coups de carabine
le bordel pour toi détruisit.

Nothingman

avatar 12/03/2005 @ 23:14:26
Sur ce , j'ai bien mérité ma gueuze

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