Juste. C'était plus du jeu...
Ardent
héhé, bien vrai!
Lucien, donne nous un mot qui rime avec courgette, je sens que tu apprécieras l'honneur, merci.
bête
Bon!
Récapitulons: notre sonnet rimera en
matin
fenêtre
paraître
distinct
jasmin
peut-être
renaître
satin
lumière
chaumière
sang
courgette
ardent
bête
Tout le monde est d'accord?
Récapitulons: notre sonnet rimera en
matin
fenêtre
paraître
distinct
jasmin
peut-être
renaître
satin
lumière
chaumière
sang
courgette
ardent
bête
Tout le monde est d'accord?
Yes
OK
rendez-vous pour moins 10?
let's go!
Le petit matin
Ouvre ma fenêtre…
Bientôt va paraître
Un rayon distinct…
L’odeur du jasmin
Donnera peut-être
L’espoir de renaître
Aux nuits de satin…
Déjà la lumière
Dore les chaumières
D’un reflet de sang…
« Tu veux des courgettes,
Mon amour ardent ? »
Mon Dieu, qu’elle est bête…
Ouvre ma fenêtre…
Bientôt va paraître
Un rayon distinct…
L’odeur du jasmin
Donnera peut-être
L’espoir de renaître
Aux nuits de satin…
Déjà la lumière
Dore les chaumières
D’un reflet de sang…
« Tu veux des courgettes,
Mon amour ardent ? »
Mon Dieu, qu’elle est bête…
C’était un beau matin
J’étais à ma fenêtre
Soudain je vis paraître
Au loin, clair et distinct
Le livreur de jasmin
A qui je plais peut-être
Et je sentis renaître
Mon cœur en son satin.
J’éteignis la lumière
Au fond de ma chaumière
Sur une aurore sang.
La soupe à la courgette
Dessus le feu ardent
Mitonnait. Pas si bête !
J’étais à ma fenêtre
Soudain je vis paraître
Au loin, clair et distinct
Le livreur de jasmin
A qui je plais peut-être
Et je sentis renaître
Mon cœur en son satin.
J’éteignis la lumière
Au fond de ma chaumière
Sur une aurore sang.
La soupe à la courgette
Dessus le feu ardent
Mitonnait. Pas si bête !
Et Hop!!
Bravo Lucien. Tu le faisais au fur et à mesure?
En version longue :
Souvent, au petit matin
Lorsque j’ouvre ma fenêtre,
A l’instant je vois paraître
Un beau jour, un jour distinct…
Il flotte un flair de jasmin,
Une espérance, peut-être,
L'espoir frêle de renaître
Dans un voile de satin…
Déjà monte la lumière
Qui mordore les chaumières
D’un grêle reflet de sang…
« Chéri, tu veux des courgettes,
Mon cœur, mon amour ardent ? »
Dit-elle. Dieu, qu’elle est bête…
Souvent, au petit matin
Lorsque j’ouvre ma fenêtre,
A l’instant je vois paraître
Un beau jour, un jour distinct…
Il flotte un flair de jasmin,
Une espérance, peut-être,
L'espoir frêle de renaître
Dans un voile de satin…
Déjà monte la lumière
Qui mordore les chaumières
D’un grêle reflet de sang…
« Chéri, tu veux des courgettes,
Mon cœur, mon amour ardent ? »
Dit-elle. Dieu, qu’elle est bête…
Bravo Lucien. Tu le faisais au fur et à mesure?
Non, non. C'était le n° 343 de mes prépas...
C’était un beau matin
J’étais à ma fenêtre
Soudain je vis paraître
Au loin, clair et distinct
Le livreur de jasmin
A qui je plais peut-être
Et je sentis renaître
Mon cœur en son satin.
J’éteignis la lumière
Au fond de ma chaumière
Sur une aurore sang.
La soupe à la courgette
Dessus le feu ardent
Mitonnait. Pas si bête !
Excellent. Finalement, la courgette, ça réveille!
« Chéri, tu veux des courgettes,
Mon cœur, mon amour ardent ? »
Dit-elle. Dieu, qu’elle est bête…
Je tiens à préciser que ceci n'a rien d'autobiographique!
Je préfère ton premier
J'ai pensé que c'était peut-être pour moi et ma rime décalée... :-))
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