Je suis un peu en retard, mais je me le procure au plus tard demain !
Je n'ai encore lu que le premier chapitre...
Chapitre 1 terminé. Effectivement, il se lit très vite. (Ce qui me permet de poursuivre la lecture d'un autre livre)
J'ai apprécié la présentation rapide qui permet d'entrer aussitôt dans l'intrigue. un décor, deux personnages qui se rencontrent par hasard, deux beaux jeunes gens, diplômés et célibataires.
Pas surprise d'y retrouver tous les éléments basiques des feel-good books. Mais pas désagréable de lire un roman où il n'y a pas de questions existentielles posées...pour le moment !
J'ai apprécié la présentation rapide qui permet d'entrer aussitôt dans l'intrigue. un décor, deux personnages qui se rencontrent par hasard, deux beaux jeunes gens, diplômés et célibataires.
Pas surprise d'y retrouver tous les éléments basiques des feel-good books. Mais pas désagréable de lire un roman où il n'y a pas de questions existentielles posées...pour le moment !
Lu 60 pages d’un trait (deux chapitres). Dans le genre ça paraît une belle réussite. C’est bien enlevé, très visuel, de beaux dialogues, tout ce qu’il faut pour plaire, même aux vieux scrogneugneux, pourvu qu’ils ne soient pas trop difficiles.
Dans le premier chapitre deux personnages principaux : le docteur et Lily. Je trouve qu’ils sont bien campés, tout ce qu’il faut pour qu’on ait envie de voir ce qu’il va leur arriver.
Dans le deuxième chapitre, la colloc et la mère de Lily font leur apparition… ça promet.
Un style facile, sans recherche, ce qui convient pour ce genre de bouquin.
Impatient de lire la suite.
Dans le premier chapitre deux personnages principaux : le docteur et Lily. Je trouve qu’ils sont bien campés, tout ce qu’il faut pour qu’on ait envie de voir ce qu’il va leur arriver.
Dans le deuxième chapitre, la colloc et la mère de Lily font leur apparition… ça promet.
Un style facile, sans recherche, ce qui convient pour ce genre de bouquin.
Impatient de lire la suite.
Une cinquantaine de pages pour moi...
L'histoire est intéressante et on a envie de connaître la suite...
L'écriture par contre je l'ai trouvée très quelconque, très simple, très banale, le tout est très plat!...
Bon, attendons la suite...
Jusqu'au chapitre 7 inclus
~120 pages
(hier soir, j'étais trop fatiguée pour envisager de lire autre chose - au moins c'est facile à lire)
Un peu trop de coïncidences.
Difficile de trouver un découpage "évident" pour la lecture commune
p120 enfin il se passe peut-être quelque chose, la soeur de Ryle essaie de dire quelque chose au sujet de son frère à Lily mais Ryle l'en empêche.
~120 pages
(hier soir, j'étais trop fatiguée pour envisager de lire autre chose - au moins c'est facile à lire)
Un peu trop de coïncidences.
Difficile de trouver un découpage "évident" pour la lecture commune
p120 enfin il se passe peut-être quelque chose, la soeur de Ryle essaie de dire quelque chose au sujet de son frère à Lily mais Ryle l'en empêche.
180 pages et…très bof bof !
Un roman pour ados, nul doute.
Ça se laisse lire néanmoins mais je redoute que ça ne reste pas impérissable.
Un roman pour ados, nul doute.
Ça se laisse lire néanmoins mais je redoute que ça ne reste pas impérissable.
J’ai finalement dû acheter le livre (j’en ai profité pour le prendre en anglais), qui avait été emprunté à la bibli. Ça m’a permis de bien rire intérieurement en vous imaginant faire la même chose. SJB avec ce livre tout rose à la main, merci Bluewitch pour l’image !
À la fin du premier chapitre, j’en pense que ça me fait renouer avec des sensations de lectures adolescentes : le plaisir vaguement coupable en réalisant que ce velouté riche en clichés fonctionne, ou que les tics de langage me font sourire plus qu’ils ne m’agacent (ah, ces protagonistes qui se mordent les lèvres !). Allez, je continue - évidemment, c’est un page turner !
À la fin du premier chapitre, j’en pense que ça me fait renouer avec des sensations de lectures adolescentes : le plaisir vaguement coupable en réalisant que ce velouté riche en clichés fonctionne, ou que les tics de langage me font sourire plus qu’ils ne m’agacent (ah, ces protagonistes qui se mordent les lèvres !). Allez, je continue - évidemment, c’est un page turner !
Je trouve le début assez réussi, cette rencontre sur le toit d'un immeuble à Boston. La narratrice, Lily, est très sympathique et on se l'umage assez bien sans que l'auteur ne la décrive, juste avec les quelques évocations. Sa nouvelle amie, la soeur de Ryle, est aussi très sympathique. Par contre le Ryle est un peu prétentieux et énervant.
Le méchanisme des flash-backs via le livre intime est bien pensé, car sans ca il ne se passerait vraiment pas grand chose dans ce livre.
Je le lis en anglais et j'apprend de temps en temps un mot, mais le vocabulaire n'est pas très élaboré.
J'en suis à la moitié du livre. Ca ne me passionne pas mais c'est une lecture divertissante
Le méchanisme des flash-backs via le livre intime est bien pensé, car sans ca il ne se passerait vraiment pas grand chose dans ce livre.
Je le lis en anglais et j'apprend de temps en temps un mot, mais le vocabulaire n'est pas très élaboré.
J'en suis à la moitié du livre. Ca ne me passionne pas mais c'est une lecture divertissante
Lu les chapitres 3, 4, 5, 6, 7 jusque la page 123
La nouvelle amie Allysa a l’air d’un numéro intéressant. Elle semble une véritable originale. On verra ce que ça donne.
Par contre, Ryle et Lily, commencent à me taper sur les nerfs ; leur jeu « je t’aime, moi non plus » tourne en rond ; c’est du genre téléphoné mais ça prépare peut-être une surprise.
La réception chez Allysa est une réussite. J’ai bien aimé le personnage de Devin, « l’amoureux » de circonstance de Lily, il est sympa et bien typé.
Pour le style, il faut s’y faire, c’est le langage des jeunes : mon frère est con, je pisse de rire, j’ai envie de baiser, tu me rases le cul… et d’autres raffinements de langage à la mode d’aujourd’hui, il faut s’y faire. Mais ça se lit avec plaisir. Continuons !
La nouvelle amie Allysa a l’air d’un numéro intéressant. Elle semble une véritable originale. On verra ce que ça donne.
Par contre, Ryle et Lily, commencent à me taper sur les nerfs ; leur jeu « je t’aime, moi non plus » tourne en rond ; c’est du genre téléphoné mais ça prépare peut-être une surprise.
La réception chez Allysa est une réussite. J’ai bien aimé le personnage de Devin, « l’amoureux » de circonstance de Lily, il est sympa et bien typé.
Pour le style, il faut s’y faire, c’est le langage des jeunes : mon frère est con, je pisse de rire, j’ai envie de baiser, tu me rases le cul… et d’autres raffinements de langage à la mode d’aujourd’hui, il faut s’y faire. Mais ça se lit avec plaisir. Continuons !
Chers amis Céliens,
J'ai déjà fini le livre, j'étais en déplacement dans un espace sans réseau... :-)
Je vais donc laisser ici mon impression des premières pages : oui, ça pique la curiosité, c'est facile à lire, prenant, on se doute, on voit venir les choses, le langage n'est pas très élaboré et le style n'évite quasi aucun écueil.
Cependant, je rejoins l'impression de Lobe quant au fait de renouer avec l'avidité des lectures de mon adolescence.
Pas de prise de tête, juste l'émotion...
Dès le début, c'est plaisant, totalement caricatural, mais émoustillant, facile, léger...
J'ai déjà fini le livre, j'étais en déplacement dans un espace sans réseau... :-)
Je vais donc laisser ici mon impression des premières pages : oui, ça pique la curiosité, c'est facile à lire, prenant, on se doute, on voit venir les choses, le langage n'est pas très élaboré et le style n'évite quasi aucun écueil.
Cependant, je rejoins l'impression de Lobe quant au fait de renouer avec l'avidité des lectures de mon adolescence.
Pas de prise de tête, juste l'émotion...
Dès le début, c'est plaisant, totalement caricatural, mais émoustillant, facile, léger...
250 pages avalées…et la descente attendue se précise. Il ne manquait que du sexe et des coups. Nous y voilà !
C’est consternant.
Allez, courage, encore 200 pages et je passe à autre chose.
C’est consternant.
Allez, courage, encore 200 pages et je passe à autre chose.
Terminé le chapitre 4.
Comme Saint Jean-Baptiste, je trouve la relation avec le beau docteur, agaçante, mais cela fonctionne dans tellement de séries, de romans.. que l'autrice aurait tort de s'en priver.
Et elle ne s'en prive pas, car la relation avec sa mère et avec sa coloc est bâtie de la même manière.
Avis assez mitigé sur ces rencontres improbables et magiques, une décoratrice d'intérieur bénévole qui se révèle être la soeur de Ryle.
J'ai préféré le récit de sa rencontre pendant son adolescence avec "son" SDF, Atlas.
Je vais arrêter la lecture alternée des deux livres en cours pour ne me consacrer qu'à cette lecture commune au risque de me retrouver toute seule sur le fil :-)
Comme Saint Jean-Baptiste, je trouve la relation avec le beau docteur, agaçante, mais cela fonctionne dans tellement de séries, de romans.. que l'autrice aurait tort de s'en priver.
Et elle ne s'en prive pas, car la relation avec sa mère et avec sa coloc est bâtie de la même manière.
Avis assez mitigé sur ces rencontres improbables et magiques, une décoratrice d'intérieur bénévole qui se révèle être la soeur de Ryle.
J'ai préféré le récit de sa rencontre pendant son adolescence avec "son" SDF, Atlas.
Je vais arrêter la lecture alternée des deux livres en cours pour ne me consacrer qu'à cette lecture commune au risque de me retrouver toute seule sur le fil :-)
300 pages (chapitre 21) et toujours aussi mièvre. Riley qui la frappe et s’excuse. Riley qui la pousse dans les escaliers et s’excuse…
Lily qui se jure de ne pas reproduire le schéma familial mais qui pardonne à chaque fois.
C’est du vu et revu.
Allez, courage, encore 150 pages.
Lily qui se jure de ne pas reproduire le schéma familial mais qui pardonne à chaque fois.
C’est du vu et revu.
Allez, courage, encore 150 pages.
Arrivée au dixième chapitre qui confirme que je préfère les souvenirs de Lily et d'Atlas.
Je pense que le manque d'intérêt pour ce roman vient aussi d'une permanente impression de déjà-vu, ou plutôt déjà-lu. Depuis la parution du Journal de Bridget Jones (en 1996), il y a eu pléthore de parutions utilisant les mêmes ingrédients, le même ton, la même trame. Alors entre les lectures passées, et mon grand age, il ne reste plus beaucoup de place pour apprécier pleinement cette lecture.
Je pense que le manque d'intérêt pour ce roman vient aussi d'une permanente impression de déjà-vu, ou plutôt déjà-lu. Depuis la parution du Journal de Bridget Jones (en 1996), il y a eu pléthore de parutions utilisant les mêmes ingrédients, le même ton, la même trame. Alors entre les lectures passées, et mon grand age, il ne reste plus beaucoup de place pour apprécier pleinement cette lecture.
Pourquoi ne regrettai je pas de ne pas m'être lancé dedans ??
Chapitre 26 (page 344) . Lily appelle enfin Zoro qui débarque sur son fier destrier pour l’amener vers des contrées moins hostiles.
Je crois deviner la fin mais…sais-on jamais.
Je crois deviner la fin mais…sais-on jamais.
Refermé le livre hier, j'imagine que la postface de Colleen Hoover est aussi dans la VF ? Aux alentours de là où vous semblez en être, j'étais agitée de soubresauts de rejet. Ça tient à plusieurs choses : à l'irruption de la violence dans la relation, évidemment, mais aussi à cette fascination, de la part de l'héroïne (et sa mère), pour la richesse extrême des différents personnages masculins, fascination qui me révulse en retour. C'est certain qu'en relisant des bouquins comme Twilight maintenant, ça me frapperait aussi et m'ôterait une bonne partie du plaisir de lecture : que les relations amoureuses sont toujours déséquilibrées (âge, richesse), ce qui n'est pas un problème en soi, mais plutôt parce que ça semble être non seulement une norme de ce type de roman, mais quelque chose qui ne s'interroge pas. Bon, ce n'est pas forcément ce qu'on leur demande, d'interroger les structures de pouvoir en place ^.^ mais ça fait que je suis incapable d'éprouver beaucoup d'empathie pour le personnage de Lily.
Hé oui, c'est une lecture assez consternante.
Les ingrédients utilisés sont éculés mais comme dirait une chaîne de fast-food belge : "Nous, c'est le goût". Pas la qualité, ni les valeurs, ni rien... Juste l'attraction exhausteur de goût, qui fonctionne, mais on se demande bien pourquoi.
Ma lecture fut rapide, car sans effort à fournir...
Mais au final, rappelons-nous la démarche taquine et légère à l'origine de ce défi "lecture de Mai". :-)
Il y a quelques années, nous avions été emporté par une vague joyeuse et espiègle ayant entrainé une série de critiques pas piquées des vers de "Oui-Oui". Et si nous transformions ce carnage littéraire en créative drôlerie? :-)
https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/7847
Lachez-vous, supplantez le style new romance par la critique qui grincera joyeusement sous les dents?
Les ingrédients utilisés sont éculés mais comme dirait une chaîne de fast-food belge : "Nous, c'est le goût". Pas la qualité, ni les valeurs, ni rien... Juste l'attraction exhausteur de goût, qui fonctionne, mais on se demande bien pourquoi.
Ma lecture fut rapide, car sans effort à fournir...
Mais au final, rappelons-nous la démarche taquine et légère à l'origine de ce défi "lecture de Mai". :-)
Il y a quelques années, nous avions été emporté par une vague joyeuse et espiègle ayant entrainé une série de critiques pas piquées des vers de "Oui-Oui". Et si nous transformions ce carnage littéraire en créative drôlerie? :-)
https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/7847
Lachez-vous, supplantez le style new romance par la critique qui grincera joyeusement sous les dents?
Tistou, c'est ce qui aurait pu te motiver ! :-D
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