D'après le fait que j'ai plusieurs fois entendu des comparaison entre la musique Jazz et la musique Classique, l’un improvisée donc instinctive, l’autre écrite donc dite « savante ». J’ai entendu que la musique Classique écrite donc dite « savante » serait supérieur à la musique non écrite, la musique instinctive comme la Jazz. J’ai entendu dire que la musique instinctive serait la musique du cœur, ce avec quoi je suis d’accord, mis à part le fait que le musique écrite peut aussi sortir du cœur, pour moi une musique qui sort du cœur, de l’âme, des tripes, n’est pas dû au fait d’être écrite ou instinctive, mais au fait de jouer par ce qu’on en ressent le besoin, ou pour impressionner la galerie, voir faire carrière. J’ajoute pour précision que vouloir impressionner la galerie et faire carrière n’empêche pas d’aimer la musique et de ressentir le besoin d’un jouer, seulement le besoin d’en jouer n’est pas une motivation, alors là je suis d’accords pour dire que dans ce cas ce n’est pas une musique du cœur, de l’âme, des tripes.
Il y a ceux qui ont eu accès à l’apprentissage de la musique, accès a des instruments, et ceux dont les moyens du bords furent les seules possibilités.
Puis je pense que si la musique écrite peut influencer la musique instinctive, l’inverse est aussi un fait.
Nous sommes, dans une période où les musiques modernes, souvent faite ou accompagnés de machines, ont cette malchance d’agacées des musiciens instrumentistes. Certains instrumentiste puristes, voudraient même voir disparaitre cette musique électronique. De mon point de vue, la musique électronique à ouvert de nouveau horizon, de nouvelles possibilités, mais surtout a permis une démocratisation massive de la musique. Pour certains musiciens instrumentistes puristes c’est un fléau. Tout le monde peut faire de la musique, sans forcément être pro, sans avoir une maitrise techniques. Certes, la musique non maitrisée, qu’elle soit écrite ou instinctive, jouer avec des instruments ou avec des machines, et souvent moins agréable à l’oreille que les musiques maitrisées, si je puis dire ainsi. Mais la culture, n’a pas à être privatisé, élitiste, le but de la musique, selon moi ne doit pas être de divisé les gens, avec d’un côté ceux qui la jouent, et ceux qui l’écoutent, sans avoir la possibilité de choisir, mais de rassemblé les gens, aussi bien ceux qui la jouent que ceux qui l’écoutent en laissant la possibilité à chacun de s’y essayer, et de continuer même sans réel niveau de maitrise.
Il y a ceux qui ont eu accès à l’apprentissage de la musique, accès a des instruments, et ceux dont les moyens du bords furent les seules possibilités.
Puis je pense que si la musique écrite peut influencer la musique instinctive, l’inverse est aussi un fait.
Nous sommes, dans une période où les musiques modernes, souvent faite ou accompagnés de machines, ont cette malchance d’agacées des musiciens instrumentistes. Certains instrumentiste puristes, voudraient même voir disparaitre cette musique électronique. De mon point de vue, la musique électronique à ouvert de nouveau horizon, de nouvelles possibilités, mais surtout a permis une démocratisation massive de la musique. Pour certains musiciens instrumentistes puristes c’est un fléau. Tout le monde peut faire de la musique, sans forcément être pro, sans avoir une maitrise techniques. Certes, la musique non maitrisée, qu’elle soit écrite ou instinctive, jouer avec des instruments ou avec des machines, et souvent moins agréable à l’oreille que les musiques maitrisées, si je puis dire ainsi. Mais la culture, n’a pas à être privatisé, élitiste, le but de la musique, selon moi ne doit pas être de divisé les gens, avec d’un côté ceux qui la jouent, et ceux qui l’écoutent, sans avoir la possibilité de choisir, mais de rassemblé les gens, aussi bien ceux qui la jouent que ceux qui l’écoutent en laissant la possibilité à chacun de s’y essayer, et de continuer même sans réel niveau de maitrise.
@XooHooX
Je pense que la musique est un moyen d’expression. Peut-être que la musique dite « savante » parle de sentiments plus élevés, plus universels.
Il y a des musiques plus populaires, plus spontanées, qui expriment des choses plus banales. C’est un autre genre mais il y a aussi d’excellentes choses dans la musique populaire, comme dans toutes les musique.
Le jazz, par exemple, exprime souvent la nostalgie du pays perdu et les mauvaises conditions de vie mais parfois aussi une ferveur religieuse.
Il ne faut pas comparer avec la musique "savante", ça exprime autre chose et différemment.
Dans chaque genre de musique il y a du bon et du mauvais. Souvent le bon résiste au temps et le mauvais passe très vite.
Je pense que la musique est un moyen d’expression. Peut-être que la musique dite « savante » parle de sentiments plus élevés, plus universels.
Il y a des musiques plus populaires, plus spontanées, qui expriment des choses plus banales. C’est un autre genre mais il y a aussi d’excellentes choses dans la musique populaire, comme dans toutes les musique.
Le jazz, par exemple, exprime souvent la nostalgie du pays perdu et les mauvaises conditions de vie mais parfois aussi une ferveur religieuse.
Il ne faut pas comparer avec la musique "savante", ça exprime autre chose et différemment.
Dans chaque genre de musique il y a du bon et du mauvais. Souvent le bon résiste au temps et le mauvais passe très vite.
Je ne suis pas sur que la musique "savante" exprime plus, mais bon on peut entendre la musique selon nos interprétation.
" Dans chaque genre de musique il y a du bon et du mauvais. Souvent le bon résiste au temps et le mauvais passe très vite." là je suis d'accords.
Les classifications sont le fait des spécialistes et des médias.
C'est sûrement très intéressant, mais pour ma part, le plaisir que je ressens à l'écoute de la musique est avant tout émotionnel. Et tout fait farine au moulin : du baroque au hip-hop, en passant par la musique romantique, folklorique, par le jazz, le rock, et j'en passe. Ce que j'attends d'une expression artistique, c'est qu'elle me raconte quelque chose : une fêlure, une douceur, une blessure, une lumière... Il y a plein de musiques qui ne me racontent rien. Sans doute, tout simplement ne rencontrent-elles pas mes sentiments au moment où je les entend et voilà : c'est comme une rencontre amoureuse qui aurait pu être et ne s'est pas produite. Tant pis pour elles, et après tout, elles feront sûrement d'autres rencontres. Mais celles que j'ai rencontrées, je leur suis resté fidèle. Et ce n'est pas une question de style : c'est ce morceaux-là, par cet interprète-là.
Je pense qu'une des question que tu poses est celle des puristes, de quelque bord qu'ils soient. Je pense sincèrement que ceux-là ne lient pas la musique (ou l'art en général) aux émotions, mais à des postures intellectuelles.
L'autre question est celle du "tout-venant" qui accède à la production musicale grâce aux machines. Je n'ai pas de souci avec ça : chacun a le droit de s'exprimer. Par contre, il ne faut pas confondre expression artistique et art. La première est, à un moment donné, et appartient d'abord à son auteur•e ; le second, c'est ce qui reste quand le temps a passé, et appartiendra à tous ceux et celles qui le désirent.
C'est sûrement très intéressant, mais pour ma part, le plaisir que je ressens à l'écoute de la musique est avant tout émotionnel. Et tout fait farine au moulin : du baroque au hip-hop, en passant par la musique romantique, folklorique, par le jazz, le rock, et j'en passe. Ce que j'attends d'une expression artistique, c'est qu'elle me raconte quelque chose : une fêlure, une douceur, une blessure, une lumière... Il y a plein de musiques qui ne me racontent rien. Sans doute, tout simplement ne rencontrent-elles pas mes sentiments au moment où je les entend et voilà : c'est comme une rencontre amoureuse qui aurait pu être et ne s'est pas produite. Tant pis pour elles, et après tout, elles feront sûrement d'autres rencontres. Mais celles que j'ai rencontrées, je leur suis resté fidèle. Et ce n'est pas une question de style : c'est ce morceaux-là, par cet interprète-là.
Je pense qu'une des question que tu poses est celle des puristes, de quelque bord qu'ils soient. Je pense sincèrement que ceux-là ne lient pas la musique (ou l'art en général) aux émotions, mais à des postures intellectuelles.
L'autre question est celle du "tout-venant" qui accède à la production musicale grâce aux machines. Je n'ai pas de souci avec ça : chacun a le droit de s'exprimer. Par contre, il ne faut pas confondre expression artistique et art. La première est, à un moment donné, et appartient d'abord à son auteur•e ; le second, c'est ce qui reste quand le temps a passé, et appartiendra à tous ceux et celles qui le désirent.
Tu veuxt dire l'ouvre reste a son auteur mais la pratique de l'art reste libre ouverte a tous ?
Tu veux dire l’œuvre reste a son auteur mais la pratique de l'art reste libre ouverte a tous ?
Tu veux dire l’œuvre reste a son auteur mais la pratique de l'art reste libre ouverte a tous ?
Non. Il veut dire, je crois, que chacun est libre d'expression artistique, mais que tout le monde ne peut pas "réclamer" une appartenance à l'Art. Les lettres de noblesse que ce mot confère ne sont pas un dû.
Si une personne laisse une trace, cela ne dépend pas seulement d'elle, mais aussi d'un ensemble de critères objectifs et subjectifs propres à son époque et aux temps à venir.
à XhX : Je ne suis pas hostile à certains genres. Par exemple, il y a un titre d'Eminem que j'aime beaucoup. Pour autant, il ne me viendrait pas à l'idée de mettre le rap et la musique classique sur le même plan. Suis-je en tort, selon toi ?
J'aime beaucoup la chanson française. Pour autant, il ne me viendrait jamais à l'idée de mettre Brassens au même niveau que Beethoven. Suis-je un monstre d'élitisme ?
J'aime beaucoup la chanson française. Pour autant, il ne me viendrait jamais à l'idée de mettre Brassens au même niveau que Beethoven. Suis-je un monstre d'élitisme ?
Chacun a ses préférence, point de vu musicalité, je comprend bien que les musique écrite par de fins "partitionneurs" est plus travailler qu'un série d'accord, juste en fait je n'aime pas le fait que certains écrase les autres musique, mais chacun a le droit de faire sont classement.
La culture étant une façon de donner un sens a la vie pour certaines personnes, je trouve malsain de vouloir en exclure certaines personne par ce que leurs niveau de maitrise n'égale pas les pros.
La culture étant une façon de donner un sens a la vie pour certaines personnes, je trouve malsain de vouloir en exclure certaines personne par ce que leurs niveau de maitrise n'égale pas les pros.
Je comprends.
Mais sache, que dans le monde actuel, l'inverse arrive encore plus fréquemment :
Des personnes, paroliers ou mélodistes, d'un talent inouï sont enfouis sous la marée dévastatrice de la musique populaire abêtissante.
Et j'ai en tête des exemples connus de moi personnellement.
Oui ce n'est pas faut, mais je ne parlais pas de connu ou reconnu, mais juste de pratiquer et de donner les moyens de pratiquer à ceux qui sen sont privé matériellement. Mais tu fais bien d'ajouter cette précision.
Juste une nuance, ce n'est pas la musique populaire qui est abêtissante, mais une partie de cette musique, celle pratiquer par ceux qui n'ont pour objectifs, que d’épater les galerie pour ramasser des billets.
Épater pour mieux appâter !
Épater pour mieux appâter !
Difficile de savoir à partir de quand un certain bruit est devenu une musique...
Un jour, un primate plus ou moins avancé a tapé avec une branche sur un caillou...plus tard un hominidé a eu l'idée de souffler dans une conque ou un fémur d'auroch, puis d'y faire des trous afin d'avoir plusieurs sons...une autre fois les cro-magnon se sont mis à hurler en cadence afin d'éloigner des prédateurs, tout en dansant autour d'un feu...etc. etc. et on en est arrivé aux Variations Goldberg ou au Magnificat de Jean Sébastien Bach. Et les colonisateurs ont déplacé leurs esclaves, lesquels conservaient pour un temps leurs chants et danses rituels. Car la musique (c'est mon intuition) a depuis les origines une relation consubstantielle avec le sacré.
De ce sacré, la musique profane s'est extraite, mais en visant in petto toujours une forme d'élévation, aussi modeste soit-elle...
Les colonisateurs ont ensuite utilisé les mélodies des esclaves afin de bâtir le genre nommé "jazz", basé sur la syncope rythmique, mais qui renie peu à peu ses origines misérables afin de servir d'accompagnement aux oisifs buveurs de ce qu'on voudra.
Theodor Adorno* (philosophe et musicologue) a écrit plusieurs essais sur le sujet...et il n'est pas tendre. Enfin le jazz a engendré la marée de nemporte quoi où surnagent de très rares perles de sensibilité et de poésie.
Allez démêler cet imbroglio ! Une gageure...
nota * : Théodor Adorno sur "Mode intemporelle" pp. 102-115 et p. 243, dans l'ouvrage "Preismes", publié chez Payot en 1986 ISBN 10 2-228-14040-6
Un jour, un primate plus ou moins avancé a tapé avec une branche sur un caillou...plus tard un hominidé a eu l'idée de souffler dans une conque ou un fémur d'auroch, puis d'y faire des trous afin d'avoir plusieurs sons...une autre fois les cro-magnon se sont mis à hurler en cadence afin d'éloigner des prédateurs, tout en dansant autour d'un feu...etc. etc. et on en est arrivé aux Variations Goldberg ou au Magnificat de Jean Sébastien Bach. Et les colonisateurs ont déplacé leurs esclaves, lesquels conservaient pour un temps leurs chants et danses rituels. Car la musique (c'est mon intuition) a depuis les origines une relation consubstantielle avec le sacré.
De ce sacré, la musique profane s'est extraite, mais en visant in petto toujours une forme d'élévation, aussi modeste soit-elle...
Les colonisateurs ont ensuite utilisé les mélodies des esclaves afin de bâtir le genre nommé "jazz", basé sur la syncope rythmique, mais qui renie peu à peu ses origines misérables afin de servir d'accompagnement aux oisifs buveurs de ce qu'on voudra.
Theodor Adorno* (philosophe et musicologue) a écrit plusieurs essais sur le sujet...et il n'est pas tendre. Enfin le jazz a engendré la marée de nemporte quoi où surnagent de très rares perles de sensibilité et de poésie.
Allez démêler cet imbroglio ! Une gageure...
nota * : Théodor Adorno sur "Mode intemporelle" pp. 102-115 et p. 243, dans l'ouvrage "Preismes", publié chez Payot en 1986 ISBN 10 2-228-14040-6
de nemporte quoi
"n'importe", bien sûr !
Et ça on le classe dans quoi...? https://youtu.be/R2ovoRyv4kw
... certains écrase les autres musique,Je ne comprends pas pourquoi tu dis ça. Dans une conversation personne « n’écrase » une musique. Personne ne veut « exclure de la culture » certaines personnes.
La culture étant une façon de donner un sens a la vie pour certaines personnes, je trouve malsain de vouloir en exclure certaines personne
Comme toujours, il y a des gens qui voudraient faire taire ceux qui ne sont pas de leur avis mais, dans un pays libre, l’accès à la musique n’est interdit à personne. Heureusement, nous ne sommes pas dans un pays où la musique est interdite ou réglementée par le régime.
Peut être n'a tu jamais était exclus, mais un cas n'a jamais était généralité, de plus il y a aussi une barrière l'argent
Et ça on le classe dans quoi...? https://youtu.be/R2ovoRyv4kw
Le gout est les couleurs, une sorte de classement propre a chacun.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre