Renaud Camus retrouvera un éditeur dès qu'il le souhaitera, crois-moi ; ça n'est pas du tout un problème. Quant à Richard Millet, sa position est une posture : il fait tout pour être une victime, on ne parle que de lui que pour ça ; il y trouve une sorte d'étrange jouissance.
Je pense que la seconde proposition est une plaisanterie, n'est-ce pas? Ils n'ont même PLUS d'éditeurs (toujours vrai pour R.Camus, R.Millet àprès s'être fait jeté par Gallimard a été récupéré par Guillaume de Roux), je ne parle même pas d'apparition dans les grands media...
Par ailleurs je ne vois rien qui leur donne plus de légitimité pour s'exprimer publiquement qu'à d'autres auteurs qui ont encore moins la possibilité de se faire entendre. (Même si je suis bien d'accord que parmi ceux que l'on entend souvent...)
Je pense que la seconde proposition est une plaisanterie, n'est-ce pas? Ils n'ont même PLUS d'éditeurs (toujours vrai pour R.Camus, R.Millet àprès s'être fait jeté par Gallimard a été récupéré par Guillaume de Roux), je ne parle même pas d'apparition dans les grands media...
Renaud Camus retrouvera un éditeur dès qu'il le souhaitera, crois-moi ; ça n'est pas du tout un problème. Quant à Richard Millet, sa position est une posture : il fait tout pour être une victime, on ne parle que de lui que pour ça ; il y trouve une sorte d'étrange jouissance.
Par ailleurs je ne vois rien qui leur donne plus de légitimité pour s'exprimer publiquement qu'à d'autres auteurs qui ont encore moins la possibilité de se faire entendre. (Même si je suis bien d'accord que parmi ceux que l'on entend souvent...)
Moi je veux bien et j'espère que c'est vrai mais bon, les faits sont là et ils sont têtus: Camus s'est fait dégager de P.O.L et Fayard, Millet de Gallimard...le second a bien retrouvé un éditeur mais, et même si Guillaume de Roux produit des beaux livres, il ne fait pas partie du sérail...je trouve cela assez significatif.
Quant à l'attaque sur Millet, je veux bien que le personnage est narcissique et auto-centré avec une tendance paranoïaque mais enfin, il n'a pas demndé à se faire virer que je sache...
Qu'il y ait des excès dans l'anti racisme c'est possible ; quoi qu'il en soit ça fait moins de dégâts que le racisme...honnêtement où se situe vraiment l'intérêt de critiquer les positions anti-racistes même exagérées ? Sauf à regretter que le contraire, le racisme donc, ne puisse se manifester de nouveau... c'est bien en 40 que la plupart des maisons d'éditions ont favorisé les publications racistes de certains auteurs, non ? Devrait-on regretter cette période ?....
Au moins comme ça Millet n'est plus publié dans la propre maison où il était éditeur. Pratique banale mais qui m'a toujours paru contre-nature.
Moi je veux bien et j'espère que c'est vrai mais bon, les faits sont là et ils sont têtus: Camus s'est fait dégager de P.O.L et Fayard, Millet de Gallimard...le second a bien retrouvé un éditeur mais, et même si Guillaume de Roux produit des beaux livres, il ne fait pas partie du sérail...je trouve cela assez significatif.
Quant à l'attaque sur Millet, je veux bien que le personnage est narcissique et auto-centré avec une tendance paranoïaque mais enfin, il n'a pas demndé à se faire virer que je sache...
Qu'il y ait des excès dans l'anti racisme c'est possible ; quoi qu'il en soit ça fait moins de dégâts que le racisme...honnêtement où se situe vraiment l'intérêt de critiquer les positions anti-racistes même exagérées ?
!!! Anti racisme qui comme par hasard revêt tous les oripeaux d'un racisme anti-blanc tout aussi condamnable que les autres.
Qu'il y ait des excès dans l'anti racisme c'est possible ; quoi qu'il en soit ça fait moins de dégâts que le racisme...honnêtement où se situe vraiment l'intérêt de critiquer les positions anti-racistes même exagérées ? Sauf à regretter que le contraire, le racisme donc, ne puisse se manifester de nouveau... c'est bien en 40 que la plupart des maisons d'éditions ont favorisé les publications racistes de certains auteurs, non ? Devrait-on regretter cette période ?....
Il faut comprendre antiracisme comme l'idéologie dominante en politique depuis le milieu des années 70 en gros. A partir du moment ou le parti communiste et la gauche sociale ont considérablement perdu du terrain et ou il s'est agit de trouver des relais électoraux ainsi que des thèmes de campagne clivants.
En effet, l'antiracisme en tant que tel est une valeur positive, et ce, depuis la Renaissance. Erigé en tant qu'idéologie principale, i.e en en faisant le centre des débats et des explications des maux sociaux, on en vient à dénaturer sa valeur même jusqu'aux aberrations que je soulignais plus haut.
Ceux qui nous disent que les races n'existent pas réclament des mesures compensatoires car ils se jugent victimes de ségrégations...Je pense sincèrement que les races existent, nous appartenons tous à la même espèces mais nous sommes issus de races différentes...je ne pense en revanche pas qu'il y a des races supérieures. En revanche , je n'arrive pas à être convaincu par ceux qui prétendent que toutes les culture/civilisations se valent...et pour aller plus loin, je suis presque sûr que la plupart des personnes pensent le contraire mais s'interdisent de l'exprimer sous la pression de 40 ans d'antiracisme institutionnalisé.
Le problème, c'est que cette fameuse (fumeuse) Doxa dont tu parles n'a jamais empêché le racisme au quotidien. Je ne parle pas ici du sentiment de supériorité raciale, mais du racisme quotidien. Celui qui nous fait presque naturellement désigner des coupables, des boucs émissaires quand quelque chose ne va pas ; celui qui crée (en partie ) les ghettos et les écoles-poubelles ; celui qui donne une certaine couleur aux filles du chômage ; celui qui est issu de frustrations face à des problèmes qui dépassent l'entendement du commun des mortels : l'économie, l'hyperinformation, la délinquance, les angoisses identitaires, les incertitudes professionnelles, les guerres et les migrations planétaires, la crise quoi... ;
Celui dont usent et abusent les Le Pen, les Sarkozy, les Valls et tant d'autres pour assouvir leur égo et leur soif de pouvoir.
Il est là, le vrai racisme.
Celui dont usent et abusent les Le Pen, les Sarkozy, les Valls et tant d'autres pour assouvir leur égo et leur soif de pouvoir.
Il est là, le vrai racisme.
les files de chômage ! pas les filles... :-)
Et pour répondre à Myrco, ce sont les mêmes causes (en gros) qui font qu'aujourd'hui, on parle de "racisme anti blanc" de la part de populations qui, pendant des décennies, ont fait ce que M Chevénement leur demande : rester discrètes. A quel prix et pour quel bénéfice?
Et pour répondre à Myrco, ce sont les mêmes causes (en gros) qui font qu'aujourd'hui, on parle de "racisme anti blanc" de la part de populations qui, pendant des décennies, ont fait ce que M Chevénement leur demande : rester discrètes. A quel prix et pour quel bénéfice?
Ne me fais pas dire Mino ce que je n'ai pas dit. Je ne cautionnerai jamais un racisme fondé sur la couleur de peau ou autre spécificité morphologique (ce qui me paraît le fondement même de la notion de racisme). Si je considère que la lutte contre le racisme est une cause juste, il me paraît pour le moins paradoxal et suspect d'adopter des comportements discriminatoires tels que ceux adoptés par les organisateurs de ces fameux camps d'été de Reims.
Par ailleurs les propos de Monsieur Chevènement ne s'inscrivent pas dans ce débat et visent non une ethnie mais bien un comportement lié à une certaine vision idéo-religieuse (qui ne concerne pas forcément l'ensemble des français de religion musulmane) qui va à l'encontre d'un mode de vie fondé sur des valeurs antinomyques . Et c'est un tout autre débat que celui du racisme!
Je pense sincèrement que les races existent, nous appartenons tous à la même espèces mais nous sommes issus de races différentes...Qu'est-ce qu'une race ?
Le concept de race appliqué aux humains était une croyance au siècle passé, quoique on peut penser que cette croyance scientifique était surtout une manière pratique de légitimer la colonisation et l'oppression des noirs (esclavagisme,..).
A l'heure actuelle, quand on parle de race, c'est un abus de langage. Et quand bien même on parlerait de races, il y aurait les noirs, les blancs et les jaunes : ça ne permet pas de ségréger les musulmans (puisque c'est bien de ça dont il est question).
A l'heure actuelle, quand on parle de race, c'est un abus de langage. Et quand bien même on parlerait de races, il y aurait les noirs, les blancs et les jaunes : ça ne permet pas de ségréger les musulmans (puisque c'est bien de ça dont il est question).
Le jour où une espèce domestiquera l'homme et sélectionnera les individus présentant les mêmes caractères physiques, il y aura des races. Des hommes à jambes courtes et à grandes oreilles tombantes, des hommes tout minces et à la peau tachetée, des hommes velus sur tout le corps (même les femelles)... C'est parfaitement réalisables, des races d'homme. Ça a peut-être même déjà été tenté.
Le racisme anti-Blanc (s'il existe vraiment ...) n'a rien à voir avec l'anti-racisme, c'est du racisme, quelles qu'en soient les motivations...
La notion de race n'existe que pour faire ressortir de prétendues différences, différences qui seront utilisées pour faire des ségrégations etc....Cette notion n'est jamais anodine car il y a toujours quelque chose derrière la tête...
Humains et animaux, c'est tout...à moins qu'il y ait quelques extra-terrestres cachés quelque part...
Humains et animaux, c'est tout...à moins qu'il y ait quelques extra-terrestres cachés quelque part...
A l'heure actuelle, quand on parle de race, c'est un abus de langage. Et quand bien même on parlerait de races, il y aurait les noirs, les blancs et les jaunes : ça ne permet pas de ségréger les musulmans (puisque c'est bien de ça dont il est question).
Oui, le concept de race s'applique effectivement à une sélection volontaire, type animal domestique. Pour l'homme ou les espèces sauvages, je dirai que le concept qui me semble le plus juste est celui de "population" au sens de la biologie ou de génétique des populations, qui a développé plusieurs théories expliquant les différences physiques ou génétiques plus ou moins importantes qu'on peut observer au sein de groupes d'une même espèce (isolation géographique, etc...)
Je décèle un énorme paradoxe dans ces raisonnements...on parlerait de races pour les espèces animales mais on s'interdirait de le faire pour les hommes...impliquant ainsi que l'homme n'appartient pas au règne animal (alors qu'il se reproduit comme les mammifères, vit, meurt comme n'importe que être vivant, etc...). Il y a ici un biais démiurgique assez affolant: l'homme cherche à s'affranchir de l'état de nature et nie son appartenance au commun du vivant.
J'aimerais par ailleurs qu'on m'explique pourquoi si les races n'existent pas pourquoi certaines associations antiracistes (comme le CRAN par exemple), réclament qu'on les reconnaisse en tant qu'individus Noirs, Arabes etc...là encore, mon cerveau a du mal à lier les causes et les conséquences...tout cela me semble bien flou et les raisonnements semblent circuler sur une ligne de crête bien étroite...
J'aimerais par ailleurs qu'on m'explique pourquoi si les races n'existent pas pourquoi certaines associations antiracistes (comme le CRAN par exemple), réclament qu'on les reconnaisse en tant qu'individus Noirs, Arabes etc...là encore, mon cerveau a du mal à lier les causes et les conséquences...tout cela me semble bien flou et les raisonnements semblent circuler sur une ligne de crête bien étroite...
Je décèle un énorme paradoxe dans ces raisonnements...on parlerait de races pour les espèces animales mais on s'interdirait de le faire pour les hommes...impliquant ainsi que l'homme n'appartient pas au règne animal (alors qu'il se reproduit comme les mammifères, vit, meurt comme n'importe que être vivant, etc...). Il y a ici un biais démiurgique assez affolant: l'homme cherche à s'affranchir de l'état de nature et nie son appartenance au commun du vivant.Précisément : il n'existe de races que chez les animaux domestiques, par le biais d'une sélection forcée. Les mots ont un sens, tout de même. Aurais-tu vocation à devenir un animal domestique ?
Je décèle un énorme paradoxe dans ces raisonnements...on parlerait de races pour les espèces animales mais on s'interdirait de le faire pour les hommes...impliquant ainsi que l'homme n'appartient pas au règne animal (alors qu'il se reproduit comme les mammifères, vit, meurt comme n'importe que être vivant, etc...). Il y a ici un biais démiurgique assez affolant: l'homme cherche à s'affranchir de l'état de nature et nie son appartenance au commun du vivant.
J'aimerais par ailleurs qu'on m'explique pourquoi si les races n'existent pas pourquoi certaines associations antiracistes (comme le CRAN par exemple), réclament qu'on les reconnaisse en tant qu'individus Noirs, Arabes etc...là encore, mon cerveau a du mal à lier les causes et les conséquences...tout cela me semble bien flou et les raisonnements semblent circuler sur une ligne de crête bien étroite...
Les races sont un mythe commode inventé par les hyper-scientistes du XIXe siècle...puisqu'il n'y a pas de solution de continuité entre un "blanc" scandinave et un "noir" africain; séparés par une infinité de variantes intermédiaires, induites par ce qu'on sait (climat, régime alimentaire, faune et flore, etc. etc.) au cours des 5 millions d'années antérieures à aujourd'hui. Chez les animaux, pas plus de "races" : les variétés de chiens sont le résultat de sélections arbitraires, plus ou moins monstrueuses, destinées par les humains à procurer aux hideuses foillettes ou aux non moins hideux potentats de jadis un joujou susceptible de ne pas les bouffer tout crus.
La revendication "identitaire" est aussi chez beaucoup un procédé visant à peser dans le concert des groupuscules avides de visibilité, d'influence, d'existence. Je ne connais pas ce CRAN lequel, s'il en a, devrait aller "sur zone" à Calais, Vintimille ou Lesbos apporter une contribution efficace...tant il est vrai que la vocifération spectaculaire ne sert qu'une poignée de fripons intéressés à leur image.
Paradoxalement, l'antiracisme finit par légitimer ce qu'il récuse : à force de crier "au loup", on finit par le voir quand bien même serait-il une chimère.
L'antiracisme, tel que la sphère communicante l'engendre, est une pseudo-vertu commode aux cuistres et aux carriéristes de la gogoche libérale. Une variante de la pensée magique, en quelque sorte.
Quand les ténors de l'antiracisme auront chez eux, rompant le même pain, les mêmes qu'ils côtoient dans la journée (ou la nuit s'ils sont postés) devant les 1000° d'un four, le fracas d'une chaîne de montage, ou la puanteur d'une usine de retraitement, ils seront légitimes. Or, ils ne le sont pas : ils ne sont la plupart du temps que des pantins médiatiques et planqués.
Ma fille cadette a été soigneusement placée dans les écoles de la République, depuis la maternelle jusqu'à la terminale , où elle a pu côtoyer et apprécier ses copains Maghrébins, Maliens, Espagnols, Portugais, Chiliens, et tutti quanti, la plupart (comme chantait Léo Ferré) "...fils de rien, ou bien fils de si peu,qu'on ne les voit jamais que lorsqu'on a peur d'eux...". Comme je voyais leurs papas tous les jours à l'usine, le mot "racisme" ne nous arrivant qu'abstraitement via la téloche, il ne figurait que comme l'écume d'une insignifiance dans le fil de nos existences (- Nota : je n'écris pas "au quotidien", comme les abrutis du journalisme de pacotille -).
On vit une vie exempte de racisme, on n'en parle pas à tout bout de champ, tout comme on vit une existence "de gauche", sans avoir même à se déplacer en allant voter pour des imposteurs.
Je crois (héritage des curés de mon enfance ?) que la foi n'est rien sans les actes, quelle que soit la foi.
Il faut travailler chacun de notre côté avec ceux que l'on stigmatise comme "Autre".
Tout le reste est littérature.
Si mon gamin donnait un coup de pied à un petit blanc, c'était un voyou. Si c'était à un petit noir, c'était un raciste.
Si dans la file du chômage il y a des colorés, c'est du racisme. Si il y a des blancs, c'est la crise !
Si on n'aime pas ceux qui brûlent nos voitures, c'est parce qu'ils sont issus des quartiers d'immigrés. Si c'était des jeunes issus des beaux quartiers on les trouverait sympas, nous sommes racistes... !
Si on en a marre des comportements des salafistes qui nous imposent leurs vêtements, leurs nourritures, leurs écoles, leurs congés, leurs emmerdes, et maintenant leurs crimes, nous sommes racistes... puisque les musulmans salafistes sont une race, n'est-il pas !
Allons soyons sérieux !
« Paradoxalement, l'antiracisme finit par légitimer ce qu'il récuse : à force de crier "au loup", on finit par le voir quand bien même serait-il une chimère. » (dixit Radetsky).
On ne peut pas mieux dire !
Les vrais racistes sont les SOS racisme, touche pas à mon pote et compagnie.
Ils vivent du racisme. Le racisme est leur fond de commerce. Ils doivent l'inventer pour se donner une raison d'exister.
Ne donnons pas dans le panneau ! Il y a des problèmes dans la société qui n'ont rien à voir avec le racisme. Ils ne vont pas se résoudre tout seul. Se reprocher des propos nauséabonds avant même qu'on ait ouvert la bouche, évoquer les années trente ou les colonies, se traiter de racistes à tous bouts de champs, c'est botter en touche, c'est refuser de s'entendre, c'est pas comme ça qu'on va y arriver.
Si dans la file du chômage il y a des colorés, c'est du racisme. Si il y a des blancs, c'est la crise !
Si on n'aime pas ceux qui brûlent nos voitures, c'est parce qu'ils sont issus des quartiers d'immigrés. Si c'était des jeunes issus des beaux quartiers on les trouverait sympas, nous sommes racistes... !
Si on en a marre des comportements des salafistes qui nous imposent leurs vêtements, leurs nourritures, leurs écoles, leurs congés, leurs emmerdes, et maintenant leurs crimes, nous sommes racistes... puisque les musulmans salafistes sont une race, n'est-il pas !
Allons soyons sérieux !
« Paradoxalement, l'antiracisme finit par légitimer ce qu'il récuse : à force de crier "au loup", on finit par le voir quand bien même serait-il une chimère. » (dixit Radetsky).
On ne peut pas mieux dire !
Les vrais racistes sont les SOS racisme, touche pas à mon pote et compagnie.
Ils vivent du racisme. Le racisme est leur fond de commerce. Ils doivent l'inventer pour se donner une raison d'exister.
Ne donnons pas dans le panneau ! Il y a des problèmes dans la société qui n'ont rien à voir avec le racisme. Ils ne vont pas se résoudre tout seul. Se reprocher des propos nauséabonds avant même qu'on ait ouvert la bouche, évoquer les années trente ou les colonies, se traiter de racistes à tous bouts de champs, c'est botter en touche, c'est refuser de s'entendre, c'est pas comme ça qu'on va y arriver.
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