Pardonnes-nous, Aria, si tu as l'impression que l'on s'acharne sur ce roman. C'est sans doute que l'on en fait un peu trop en effet. Ce doit être une sorte "d'effet de groupe" (ou de "duo" le cas échéant !).
Cela est révélateur, en tout cas pour moi, des questions que m'ont posé la lecture de ce roman. Je pense qu'au fond de moi cela m'a agacé qu'un aussi bon sujet avec des thématiques aussi fortes ai été "gâché" (selon mon ressenti bien sûr) par une écriture pas au niveau du projet. Et c'est vrai que depuis le temps que j'ai lu "le confident", j'y pense souvent. D'où le fait que les commentaires de Débézed me font totalement écho et que j'y ai réagi vivement. Il est d'ailleurs intéressant de comparer "le confident" à "eux sur la photo" de Hélène Gestern, premier roman lui aussi sur les secrets de famille. Je l'ai trouvé certes imparfait mais finalement plus humble et plus abouti que celui d'Hélène Grémillon. Je suis curieux en tout cas de ce que tu nous dira de "La Garçonnière".
Parfaitement en phase avec Fanou et, pour ma part, je voudrais essayer de tempérer l'enthousiasme médiatique qui se déchaîne et qui ne me parait pas totalement justifié.
J'aime ton art de l'euphémisme.
J'aime ton art de l'euphémisme.
Il faut rester courtois avec les jeunes femmes même quand on ne se pâme pas d'admiration devant leur talent supposé.
J'aime ton art de l'euphémisme.
Il faut rester courtois avec les jeunes femmes même quand on ne se pâme pas d'admiration devant leur talent supposé.
Débézed, pas toi ! Non, c'est trop affreusement méc-con cette envolée pas lyrique ....et trop débilement machiste ! Je n'ai pas lu l'avant, sans doute as-tu une explication ?
Je n'ai pas trop aimé ce livre, sans le détester pour autant, c'est tout, et je me suis largement expliqué sur ce sujet. Je trouve qu'il jouit d'une publicité bien au-dessus de sa qualité mais ce n'est que mon avis et je ne dirai jamais de mal de l'auteure, elle a sans doute fait mieux dans son deuxième essai. Chacun ses goûts.
La médiatisation surfaite me gêne beaucoup, même quand elle concerne des auteurs masculins (Musso, Lévy,...), quand je pense à tous les textes de grande qualité que j'ai lus et dont personne ne parle.
La médiatisation surfaite me gêne beaucoup, même quand elle concerne des auteurs masculins (Musso, Lévy,...), quand je pense à tous les textes de grande qualité que j'ai lus et dont personne ne parle.
Pardonnes-nous, Aria, si tu as l'impression que l'on s'acharne sur ce roman. C'est sans doute que l'on en fait un peu trop en effet. Ce doit être une sorte "d'effet de groupe" (ou de "duo" le cas échéant !).
Cela est révélateur, en tout cas pour moi, des questions que m'ont posé la lecture de ce roman. Je pense qu'au fond de moi cela m'a agacé qu'un aussi bon sujet avec des thématiques aussi fortes ai été "gâché" (selon mon ressenti bien sûr) par une écriture pas au niveau du projet. Et c'est vrai que depuis le temps que j'ai lu "le confident", j'y pense souvent. D'où le fait que les commentaires de Débézed me font totalement écho et que j'y ai réagi vivement. Il est d'ailleurs intéressant de comparer "le confident" à "eux sur la photo" de Hélène Gestern, premier roman lui aussi sur les secrets de famille. Je l'ai trouvé certes imparfait mais finalement plus humble et plus abouti que celui d'Hélène Grémillon. Je suis curieux en tout cas de ce que tu nous dira de "La Garçonnière".
Pas de souci, Fanou !
Je n'ai aucun problème avec les lecteurs qui n'ont pas aimé un roman, bien sûr, sinon à quoi servirait de participer à CL.
Mais en revanche, je suis assez influençable et vos assauts contre "Le Confident" m'ont stoppée dans ma lecture.
Il faudra que je reprenne.
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