Tu as raison, Aria !
L'héroisme, comme la capacité de nuisance, est partagée par les deux sexes.
Mais je rejoins Stavroguine : la bravoure, pendant des siècles, a été considérée comme une valeur virile.
Ce qui explique pourquoi, aujourd'hui, on pose encore cette question : La bravoure est'elle réservée aux hommes ?
Et c'est triste de constater qu'on puisse encore et toujours la poser .....
L'héroisme, comme la capacité de nuisance, est partagée par les deux sexes.
Mais je rejoins Stavroguine : la bravoure, pendant des siècles, a été considérée comme une valeur virile.
Ce qui explique pourquoi, aujourd'hui, on pose encore cette question : La bravoure est'elle réservée aux hommes ?
Et c'est triste de constater qu'on puisse encore et toujours la poser .....
De Gouge, d'accord avec Stavro aussi.
Mais je ne me pose même pas la question : bien sûr, les femmes font aussi preuve de bravoure.
Je prends un exemple : les pompiers volontaires, que j'admire beaucoup. Il y a de plus en plus de femmes pompiers.
Bizarre que tu te poses la question...moi, je n'oppose plus jamais femmes et hommes, la vieillesse, sans doute ! ;)
Mais je ne me pose même pas la question : bien sûr, les femmes font aussi preuve de bravoure.
Je prends un exemple : les pompiers volontaires, que j'admire beaucoup. Il y a de plus en plus de femmes pompiers.
Bizarre que tu te poses la question...moi, je n'oppose plus jamais femmes et hommes, la vieillesse, sans doute ! ;)
Je ne crois pas que Christiane Taubira fasse partie de la bravitude. ;)
Elle était engagée dans un combat qui lui était naturel, dans le sens où elle faisait partie de cette minorité de couleur, descendante d'esclaves.
C'est terrible, mais là, tout se joue à la densité de la couleur. Aux Antilles, on est perçu différemment selon que l'on est plus ou moins noir. C'est effroyable ! Je ne m'y suis jamais faite.
Moi aussi, j'ai des esclaves dans mes ancêtres, mais comme je suis châtain aux yeux clairs, personne ne peut le soupçonner, sauf les Antillais très observateurs.
En revanche, on voit plus le sang noir ou indien chez mes soeurs.
Ca ressortira peut-être le jour où mon fils aura un enfant.
Vive le métissage !
(où dérivé-je ?)
Elle était engagée dans un combat qui lui était naturel, dans le sens où elle faisait partie de cette minorité de couleur, descendante d'esclaves.
C'est terrible, mais là, tout se joue à la densité de la couleur. Aux Antilles, on est perçu différemment selon que l'on est plus ou moins noir. C'est effroyable ! Je ne m'y suis jamais faite.
Moi aussi, j'ai des esclaves dans mes ancêtres, mais comme je suis châtain aux yeux clairs, personne ne peut le soupçonner, sauf les Antillais très observateurs.
En revanche, on voit plus le sang noir ou indien chez mes soeurs.
Ca ressortira peut-être le jour où mon fils aura un enfant.
Vive le métissage !
(où dérivé-je ?)
Tu as raison, Aria !"Virtus", le courage en latin, dérivé de "vir", l'homme (par opposition à la femme), a abouti au français "vertu", très associé à la femme. La langue connaît d'ironiques évolutions.
L'héroisme, comme la capacité de nuisance, est partagée par les deux sexes.
Mais je rejoins Stavroguine : la bravoure, pendant des siècles, a été considérée comme une valeur virile.
Tu as raison, Aria !
L'héroisme, comme la capacité de nuisance, est partagée par les deux sexes.
Mais je rejoins Stavroguine : la bravoure, pendant des siècles, a été considérée comme une valeur virile.
"Virtus", le courage en latin, dérivé de "vir", l'homme (par opposition à la femme), a abouti au français "vertu", très associé à la femme. La langue connaît d'ironiques évolutions.
Mais est-ce que ce n'est pas plus récent ? A mon avis, si virtus a évolué en vertu, c'est aussi parce qu'on a longtemps attendu des hommes qu'ils en possèdent beaucoup - et qu'elles dépassent de beaucoup le courage sur le champ de bataille. Les vertus chevaleresques, par exemple, sont exigées des hommes, de même que la mesure, l'honneur, la gravité et l'instruction, dès l'Antiquité. Plus tard, il faudra l'éloquence, la grâce, l'agilité, la culture, savoir danser... Tandis que pendant ce temps, on ne demandait aux femmes que d'être bien nées, accessoirement belles, et surtout de rester vierges jusqu'au mariage - ce qui n'était pas à proprement parler une vertu, mais qu'on désignait ainsi puisqu'il eut été indécent d'en parler autrement, si bien qu'elle est peu à peu devenue LA vertu par excellence et que le mot a pris une connotation féminine. Bien sûr, tout ceci était un moyen efficace d'assurer la domination masculine, mais tout de même, la condition d'homme n'était pas une sinécure - et ne l'est toujours pas, d'ailleurs.
. Les vertus chevaleresques, par exemple, sont exigées des hommes, de même que la mesure, l'honneur, la gravité et l'instruction, dès l'Antiquité. Plus tard, il faudra l'éloquence, la grâce, l'agilité, la culture, savoir danser... Tandis que pendant ce temps, on ne demandait aux femmes que d'être bien nées, accessoirement belles, et surtout de rester vierges jusqu'au mariage - ce qui n'était pas à proprement parler une vertu, mais qu'on désignait ainsi puisqu'il eut été indécent d'en parler autrement, si bien qu'elle est peu à peu devenue LA vertu par excellence et que le mot a pris une connotation féminine. Bien sûr, tout ceci était un moyen efficace d'assurer la domination masculine, mais tout de même, la condition d'homme n'était pas une sinécure - et ne l'est toujours pas, d'ailleurs.
Ok, mais celle des femmes,lesquelles ne choisissaient ,ni n'avaient droit à l'instruction, qui ne chosissaient pas non plus leur époux imposé et qui mourraient si couramment en couches ..... Celles dont tu parles n'étaient qu'une minorité, friquée (enfin noble...)pas sûre heureuse (et pas certaine de ne pas mourir à la première grossesse): leur seule raison d'être, procréer un mâle! Dans l'ensemble, la femme devait être un ventre vierge pour mériter d'être reconnue dans une société gérée par des "chevaliers" ?.
Expoitées et/ou violées par ces mêmes chevaliers.
La femme du peuple (l'homme ausi, dans une moindre mesure)n'a été que méprisée et corvéable à merci
On ne refera pas l'Histoire. Je reste persuadée qu'hommes et femmes ont souffert, chacun à son aulne et sa culture (inculture )
dominantes.
Quel gachis !
Mais quelle victoire si nos petits enfants en arrivaient à considérer le sexisme comme nous voyons la Préhistoire !
A nous d' aider à apporter ce nouveau regard !
Je suis pas sur que pointer sans cesse à quel point la condition de la femme a été horrible et insupportable par rapport à celle du vil homme exploiteur et violeur à travers les âges soit le meilleur moyen de dessexuer la société...
Tout cela a un peu trop tendance à tourner à la guerre des sexes.
On oublie aussi trop souvent, j'ai l'impression, les circonstances de l'époque. Jusqu'au vingtième siècle, on évolue dans des sociétés éminemment guerrières. Ce n'est sûrement pas un hasard si les mouvements féministes éclosent dans un monde pacifié. Tu dis que le but des femmes était de faire un enfant mâle. Certes, mais ce n'était pas une lubie du vilain mâle dominant : c'est juste qu'il appartenait à l'homme de défendre le pays, de produire de la richesse. Encore une fois, ça participe aussi à la domination de la femme, mais ça ne tombe pas de nulle part non plus. Regarder le monde de l'époque avec nos valeurs actuelles, ça relève de l'anachronisme. L'homme a légitimement perdu ses privilèges acquis quand il défendait sa patrie quand le monde s'est pacifié (tout comme la noblesse avait perdu les siens quand elle avait cessé de jouer un rôle de protecteur pour devenir une bande de courtisans). Si ce privilège n'est certainement plus justifié aujourd'hui, cela ne veut pas dire qu'il ne l'a jamais été. Certes, l'homme jouissait de plus de liberté, mais ses responsabilités étaient aussi bien plus conséquentes.
Quant à l'homme du peuple, il était certainement aussi corvéable que sa femme. Et il mourrait sur le champs de bataille de façon toute aussi arbitraire que sa femme se faisait violer par les envahisseurs. De même, que l'homme noble ne choisissait pas plus sa femme que sa femme ne le choisissait.
Tout cela a un peu trop tendance à tourner à la guerre des sexes.
On oublie aussi trop souvent, j'ai l'impression, les circonstances de l'époque. Jusqu'au vingtième siècle, on évolue dans des sociétés éminemment guerrières. Ce n'est sûrement pas un hasard si les mouvements féministes éclosent dans un monde pacifié. Tu dis que le but des femmes était de faire un enfant mâle. Certes, mais ce n'était pas une lubie du vilain mâle dominant : c'est juste qu'il appartenait à l'homme de défendre le pays, de produire de la richesse. Encore une fois, ça participe aussi à la domination de la femme, mais ça ne tombe pas de nulle part non plus. Regarder le monde de l'époque avec nos valeurs actuelles, ça relève de l'anachronisme. L'homme a légitimement perdu ses privilèges acquis quand il défendait sa patrie quand le monde s'est pacifié (tout comme la noblesse avait perdu les siens quand elle avait cessé de jouer un rôle de protecteur pour devenir une bande de courtisans). Si ce privilège n'est certainement plus justifié aujourd'hui, cela ne veut pas dire qu'il ne l'a jamais été. Certes, l'homme jouissait de plus de liberté, mais ses responsabilités étaient aussi bien plus conséquentes.
Quant à l'homme du peuple, il était certainement aussi corvéable que sa femme. Et il mourrait sur le champs de bataille de façon toute aussi arbitraire que sa femme se faisait violer par les envahisseurs. De même, que l'homme noble ne choisissait pas plus sa femme que sa femme ne le choisissait.
La guerre n'est pas que sur les champs de bataille, elle a été, et est encore dans la rue, dans les grèves ! Pour moi la femme héroïque par excellence c'est Louise Michel qui s'est retrouvée au bagne !
On pourrait dire qu'il existe plusieurs sortes d'héroïsmes basés sur des notions différentes du courage et de la bravoure. Mais il n'y a aucune différence entre la bravoure des hommes et des femmes, pour moi la question "La bravoure est elle réservée aux hommes ?" n'a même pas à se poser.
On pourrait dire qu'il existe plusieurs sortes d'héroïsmes basés sur des notions différentes du courage et de la bravoure. Mais il n'y a aucune différence entre la bravoure des hommes et des femmes, pour moi la question "La bravoure est elle réservée aux hommes ?" n'a même pas à se poser.
Des femmes braves et héroïques, on en trouve là : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/35480
Essayons de rester au rayon lecture pour une fois !
Essayons de rester au rayon lecture pour une fois !
Et là aussi :
Shi Xiu, Tome 3 : L'appât de Nicolas Meylaender (Scénario), Qing song Wu (Dessin)
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/35856
Shi Xiu, Tome 3 : L'appât de Nicolas Meylaender (Scénario), Qing song Wu (Dessin)
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/35856
Mes chers compatriotes , n'oublions pas non plus Gabrielle PETIT, jeune fille fusillée par l'occupant en 1916 pour espionnage...
L'héroïque infirmière Edith CAVELL, fusillée elle aussi à Bruxelles en 1915...
Et la chef du Réseau Comète, Andrée DE JONGH, femme ô combien exceptionnelle qui, après la guerre, se dévouera en Afrique dans une léproserie...
En France, il y a aussi Angèle LECAT, fusillée en 1918, Emilienne MOREAU, "l'héroïne de Loos" qui, âgée de 17 ans à peine, se bat aux côtés des Anglais lors des combats de Loos en 1915 !, Louise de BETTIGNIES, etc... Et n'oublions pas Lucie AUBRAC !
L'héroïque infirmière Edith CAVELL, fusillée elle aussi à Bruxelles en 1915...
Et la chef du Réseau Comète, Andrée DE JONGH, femme ô combien exceptionnelle qui, après la guerre, se dévouera en Afrique dans une léproserie...
En France, il y a aussi Angèle LECAT, fusillée en 1918, Emilienne MOREAU, "l'héroïne de Loos" qui, âgée de 17 ans à peine, se bat aux côtés des Anglais lors des combats de Loos en 1915 !, Louise de BETTIGNIES, etc... Et n'oublions pas Lucie AUBRAC !
Finalement, dans les mêmes circonstances, les femmes et les hommes sont capables de la même bravoure ; dire le contraire serait du sexisme et de l'idiotie. Je crois seulement que dans notre culture il y a plus de circonstances offertes aux hommes de montrer leur bravoure.
Finalement, dans les mêmes circonstances, les femmes et les hommes sont capables de la même bravoure ; dire le contraire serait du sexisme et de l'idiotie. Je crois seulement que dans notre culture il y a plus de circonstances offertes aux hommes de montrer leur bravoure.
Absolument, SJB !
Tu as raison, Aria !Oui, comme le dit le prof de français-latin, "virtus", c’est en latin essentiellement "courage" (mais pas de façon tout à fait restrictive, si j’en crois mon dictionnaire..).
L'héroisme, comme la capacité de nuisance, est partagée par les deux sexes.
Mais je rejoins Stavroguine : la bravoure, pendant des siècles, a été considérée comme une valeur virile.
"Virtus", le courage en latin, dérivé de "vir", l'homme (par opposition à la femme), a abouti au français "vertu", très associé à la femme. La langue connaît d'ironiques évolutions.
En tout état de cause, "In medio stat virtus", l’idée du juste milieu, c’est bien "Le courage est entre les deux".. o)
Au-delà de la chasteté, on peut penser aussi à l’aspect religieux ou moral que peut revêtir le mot "vertu", parce que, dans ce sens, les vertus concernent autant les hommes que les femmes, et réciproquement.. :o)
Mais est-ce que ce n'est pas plus récent ? A mon avis, si virtus a évolué en vertu, c'est aussi parce qu'on a longtemps attendu des hommes qu'ils en possèdent beaucoup - et qu'elles dépassent de beaucoup le courage sur le champ de bataille. Les vertus chevaleresques, par exemple, sont exigées des hommes, de même que la mesure, l'honneur, la gravité et l'instruction, dès l'Antiquité. Plus tard, il faudra l'éloquence, la grâce, l'agilité, la culture, savoir danser... Tandis que pendant ce temps, on ne demandait aux femmes que d'être bien nées, accessoirement belles, et surtout de rester vierges jusqu'au mariage - ce qui n'était pas à proprement parler une vertu, mais qu'on désignait ainsi puisqu'il eut été indécent d'en parler autrement, si bien qu'elle est peu à peu devenue LA vertu par excellence et que le mot a pris une connotation féminine. Bien sûr, tout ceci était un moyen efficace d'assurer la domination masculine, mais tout de même, la condition d'homme n'était pas une sinécure - et ne l'est toujours pas, d'ailleurs.
Entièrement d'accord !Finalement, dans les mêmes circonstances, les femmes et les hommes sont capables de la même bravoure ; dire le contraire serait du sexisme et de l'idiotie. Je crois seulement que dans notre culture il y a plus de circonstances offertes aux hommes de montrer leur bravoure.!Absolument, SJB !
Finalement, dans les mêmes circonstances, les femmes et les hommes sont capables de la même bravoure ; dire le contraire serait du sexisme et de l'idiotie. Je crois seulement que dans notre culture il y a plus de circonstances offertes aux hommes de montrer leur bravoure.!
Absolument, SJB !
Entièrement d'accord !
Moi aussi, d'ailleurs, ça rejoint ce que je disais dans mon premier post.
Ce qui est intéressant, c'est que ça montre bien que c'est avant tout la situation qui fait le brave. Or, il est non seulement difficile de prévoir comment chacun réagirait dans une situation qui exigerait qu'on y réponde avec bravoure (et il est donc difficile de condamner ceux qui s'en révéleraient incapables), mais il n'est même pas certain que les personnes qui se sont montrées braves dans une situation donnée l'auraient été tout autant dans une autre. Bref, avoir un destin héroïque, c'est surtout avoir beaucoup de chance, qu'on soit homme ou femme.
Bref, avoir un destin héroïque, c'est surtout avoir beaucoup de chance, qu'on soit homme ou femme.
Oui, c'est certain que dans la bravoure, l'occasion, ou la chance interviennent mais aussi, sans doute, une dose de vanité. C'est Saint-Exupéry, je crois, qui disait : « la bravoure ça consiste à se tenir debout, les poings serrés face au danger... c'est surtout de la bravoure quand c'est la nuit et que personne ne vous voit ».
Evidemment, on peut être "pour" des femmes héroïques. Tant que l'héroïsme est une valeur positive, autant la partager par le plus grand nombre, y compris les femmes.
Ce qui fait la différence entre les hommes et les femmes, me semble t-il, c'est que les femmes aiment les héros (et délaissent les autres), ce qui oblige les hommes à se conduire ainsi, mais à l'inverse, les femmes n'ont pas besoin d'être héroïques pour être admirées des hommes... c'est un peu une loi de la nature que confirme les rares exceptions... Les hommes partent à la guerre, et les femmes se font une beauté.
Ainsi, un homme héroïque est assuré de se marier, tandis qu'une femme héroïque serait vouée au célibat...:).
Ce qui fait la différence entre les hommes et les femmes, me semble t-il, c'est que les femmes aiment les héros (et délaissent les autres), ce qui oblige les hommes à se conduire ainsi, mais à l'inverse, les femmes n'ont pas besoin d'être héroïques pour être admirées des hommes... c'est un peu une loi de la nature que confirme les rares exceptions... Les hommes partent à la guerre, et les femmes se font une beauté.
Ainsi, un homme héroïque est assuré de se marier, tandis qu'une femme héroïque serait vouée au célibat...:).
Evidemment, on peut être "pour" des femmes héroïques. Tant que l'héroïsme est une valeur positive, autant la partager par le plus grand nombre, y compris les femmes.
Ce qui fait la différence entre les hommes et les femmes, me semble t-il, c'est que les femmes aiment les héros (et délaissent les autres), ce qui oblige les hommes à se conduire ainsi, mais à l'inverse, les femmes n'ont pas besoin d'être héroïques pour être admirées des hommes... c'est un peu une loi de la nature que confirme les rares exceptions... Les hommes partent à la guerre, et les femmes se font une beauté.
Ainsi, un homme héroïque est assuré de se marier, tandis qu'une femme héroïque serait vouée au célibat...:).
J'avoue ne pas bien comprendre cette conception...
Moi aussi, j'ai du mal. Au début, je pensais que c'était un raisonnement à la Pieronnelle, mais visiblement, ce n'est même pas le cas... ;)
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