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Eloge du mensonge critiqué par Cuné, le 13 septembre 2005 La note: 
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| Coup de coeur ! | |||||||
| Lorsque nous faisons sa connaissance, José Guber réécrit les classiques sous pseudonymes, pour une collection de romans faciles. Ses synopsis sont régulièrement refusés par son éditeur, qui ne reconnaît jamais les intrigues pourtant célèbres. Parallèlement à ça, José est affublé d'une mère affligée par le décès d'un de ses fils, et tombe amoureux d'une nutritionniste pour serpents. Las, elle est déjà mariée, et va l'entraîner dans une incroyable aventure pour tenter d'éliminer ce mari gênant... Voici un roman peu commun, bourré d'humour et de noirceur, de finesse et de gros sabots. Le mélange est détonnant, et on reste totalement captifs de l'imagination pétillante de l'auteure, servie par une plume super efficace et sobre : le bonheur. ____________________________ Née à Rio en 1962, Patrícia Melo a d'abord travaillé comme scénariste pour la télévision avant d'écrire son premier roman en 1994, Acqua-Toffana. Elle est également dramaturge. Qu'elle raconte la violence des favellas à travers le destin d'un gosse de Rio (O matador, Enfer) ou préfère détourner les règles du roman noir avec crime et jalousie (Eloge du mensonge), Patrícia Melo est une ambitieuse qui construit ses livres au cordeau et leur choisit une écriture à l'image d'une partition. Sélectionnée par le magazine LIRE parmi les auteurs qui marqueront le 21° siècle. |
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