Chromosome 6
de Robin Cook

critiqué par Ayor, le 10 mai 2005
( - 52 ans)


La note:  étoiles
L'HOMME DESCEND DU SINGE.
A Cogo, Guinée-Equatoriale en Afrique se trouve un vaste complexe comprenant un hôpital , de nombreux laboratoires, et un centre de recherche sur des primates proches des humains: les Bonobos. Tout ceci étant financé par GenSys, une firme spécialisée dans la biotechnologie.

Kévin Marshall, docteur en biologie moléculaire, travaille dans ce centre, et est à l'origine même de sa création. En effet, il est le seul à savoir déplacer certains segments d'un chromosome à un autre, et par conséquent de modifier une partie de l'ADN d'un être vivant. Or depuis peu, il s'inquiète des conséquences de ses travaux sur le comportement des primates sur lesquels il a implanté de l'ADN humain. Mais les responsables de GenSys ne veulent rien entendre, et chechent à le dissuader d'en savoir plus.

Jack Stapleton et Laurie Montgomery sont légistes à New-York, et un jour, le cadavre d'un mafioso, Carlo Franconi, leur est confié pour une autopsie. Or, plusieurs éléments vont les amener à enquêter sur le passé du gangster. Aidés de Lou Soldiano, un inspecteur de la brigade criminelle, ils remontent la piste de Franconi jusqu'en Guinée-Equatoriale...

Voici un excellent thriller mené avec brio par Robin Cook. Des personnages attachants, un très bon suspense,un scénario original, et deux intrigues complémentaires nous amènent dans une aventure haletante.
A lire ! 10 étoiles

Il est vrai que les méchants ont une tête & une attitude de méchants & que les gentils sont... gentils, c'est un livre plein de rebondissements qui tient en haleine, dont l'intrigue est prenante ! Je suis certes jeune, mais c'est un livre qui m'a beaucoup plu !

Youri1993 - - 31 ans - 15 novembre 2008


Ouistitis dans le brouillard 3 étoiles

Roman sans surprise. Les méchants sont très méchants et ont des gueules de méchants, les gentils sont vraiment sympas, ont l'haleine fraiche et sentent bon sous les bras (normal, ils sont gentils). Plus manichéen, tu meurs.
A part ça, rien de bien neuf, le style est passe-partout, l'intrigue est très classique, la fin est archi convenue.
J'ai perdu mon temps

El grillo - val d'oise - 50 ans - 2 septembre 2008