Paris, New-York, Cleveland
de Maria Desmée

critiqué par Froidmont, le 19 mars 2025
(Laon - 33 ans)


La note:  étoiles
Voyage et sensualité
Un beau poème qui retrace le voyage
Par-delà l’océan immense et infini
Vers New-York, ville haute, tendue comme un lit,
Où Maria s’est couchée, sensuel paysage.

Chant aussi du retour, plus sombre que l’aller,
Car on quitte un amour, et le flot de paroles
Traduit ce désespoir, qui vire et qui s’envole
Vers le corps regretté qu’on voit les yeux fermés.

Le texte est parcouru de superbes images.
On voit se dérouler bien plus que le décor,
On voit l’envers de l’œil, le frisson dans le corps.
Écriture des sens, écriture de mage.