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L'Ecorché critiqué par Pascale Ew., le 2 mars 2025 La note: 
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| On peut toujours rêver... | |
| En 2028, Philippe, chirurgien plastique qui répare les patients défigurés, reçoit une lettre d’Olga, sa première femme qui l’a quitté peu après leur mariage il y a vingt-cinq ans. Elle lui donne rendez-vous à la cathédrale Notre-Dame de Paris restaurée notamment avec une flèche en verre et à côté de laquelle il habite. Olga a un fils, Vlad Rashen, chanteur activiste qui vient d’être attaqué au vitriol et elle demande à Philippe de l’opérer en secret. Toujours sous le charme de son ex, Philippe accepte aussitôt. Cette histoire est le prétexte pour dénoncer bien des dérives modernes et prôner de nombreux idéaux, parfois malheureusement trop utopiques. Les personnages doivent beaucoup à leur auteur : Philippe et Olga sont sculpteurs à leurs heures perdues, … Bernard Tirtiaux choisit de placer son histoire dans le futur proche et prend donc le risque de retarder sur la réalité ou la déforme-t-il sciemment à sa guise ? Je reste un petit peu sur ma faim : l'histoire aurait pu présenter plus de rebondissements et la naïveté de l'auteur m'empêche de croire totalement à son histoire. |
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