Il n’est pas vrai que les pierres soient mortes
de Mathias Lair

critiqué par JPGP, le 26 mars 2024
( - 77 ans)


La note:  étoiles
Poésie néo Lithique de Mathias Lair
Ce qui fut gravé dans la mémoire est tiré parfois dans des tombent célèbres, mais l’ambre jusqu’aux galets prolong une vision extatique et tendrement drôle.

A travers ses images de cet ordre premier l'auteur fait briller nos sens depuis des chemins de traverses, déserts ou gravats. Les diverses types de pierres deviennent ses "phares" baudelairiens.

Preuve que pour celui qui sait regarder l’énigme du monde par les pierres, ses mots en jaillissent. Prospecteur à sa manière Mathias Lair crée une poésie nouvelle par l’onyx, la tourmaline, etc., jusqu’à la pierre du bismuth.

Se transforment par son entropie nouvelle les règnes minéraux pour sortir de notre prison mentale. Mathias Lairl s’enrichit d’un nouvel œil dont les mystère jusqu’au béton ou aux concasseurs s ne s’épuisent pas. Comme un Lacan « l’âme a tiers » traque et lâche l’obscur clarté pour repartir de plus belle vers l’humain

Jean-Paul Gavard-Perret