L'écriture exclusive
de Olivier Rachet

critiqué par JPGP, le 9 février 2024
( - 77 ans)


La note:  étoiles
Olivir Rachet : la licence et l'écart
Avec vigueur, Rachet s'oppose à bien des ordonnancements et contextes du monde discutable. Enoncer par les doctes revient souvnt à des conditions de disparition. L'auteur met ainsi à mal deux dérive : celles des tyrannies et des asservissements. Exit les mots valises, les écrans de contrôle voire "quelque orchestre de chambre industrielle menant tout droit à l’abattoir, la bouche en cœur. " Sans oublier non plus l' illettrisme sournois encouragé par les réseaux sociaux dont les souscripteurs se féodalisent sournoisement.

Contre les dirigismes et les productions parfois de véritables holding ou usines à produire révisant des classiques aus conditions favorables (cf. Pasolini) mais pas tous eu égard des enjeux stratégiques. L'auteur rappelle que les tecnicoiens des langages cultivent des pactes aux forces révisables. Pour Pasolini par exemple l'auteur souligne la complexité : " tu ne fus complice d’aucun crime." dit-il . Il saut qu'il ne fut ps complice. Et certaines obligations sont la décision de reprendre l’œuvre de pensée,.

L'auteur rappelle ainsi la mise en pièce des opportunismes dans divers registes dans s revue générale de livres et d'images qui remontent la "voix" jubilatoire. L'écriture exclusive" recrée ainsi des pactes qui à leur manière redéfinissent ce qu'on peut appeler l'honneur poétique". Il faut en prendre soin. D'où l'importance de ce travail stimulantet non sas un certains sourire astucieux pour faire un itinéraire comparable à ceux qui généralement se prêtent au commérage discutable.

Jean-Paul Gavard-Perret