Contemporanéité des abîmes
de Jean Azarel

critiqué par JPGP, le 6 janvier 2024
( - 78 ans)


La note:  étoiles
Jean Azarel et et les abîmes de l'humain
Dès le début se son ivre Jean Azarel situe l'espace dans lequel ce livre s'inscrit : "nous avons commencé la descente aux enfers. Elle se fait par paliers, et ce n’est pas plus mal pour constater l’étendue des dégâts.". S'en soucie-t-on vraiment ? Rien de moins sûr. Même si noius revêtons des armures. Mais elles ne sont pas bonnes. Eles appartiennent au vieux monde.

Ce livre le prouve. Il parle de la dictature du virtuel, de la fin des mondes, du sexe numérique, de rares îlots de résistance et de quelques mythes fondateurs de l'humanité. Et ici "La poésie est un cold case insoluble dans l'écriture."

A vouloir avoir été tout nous ne sommes rien. Il y a belle lurette qua nous avons qui la grotte des béatitudes chimiques. Ce qui voulait pacifié le monde dans a perspective d'un âge d'or est une vue dou la myopie de 'esprit.

Nous sommes déjà dans la matrice dont l’abîme jaillit en des actes parcellaires, "Il pleut des déroutes" écrit l'auteur . Le rouge ne suffit plus.

Jean-Paul Gavarrd-Perret