Ciel sans prise
de Esther Tellermann

critiqué par JPGP, le 19 octobre 2023
( - 77 ans)


La note:  étoiles
Esther Tellerman, le corps, l'âme et la poésie
Esther Tellerman connaît autant les tréfonds de la nature humaine que de la poésie qui - pourquoi pas et dans certains cas - peut ou pourrait déboucher sur l'infini. Mais il faut dire que la nature des écrivains est faible - sauf si l'on fait exception de l'auteure elle-même, sorte de météorologue de l'âme capable d'un distinguer les composants insaisissables.

C'est pourquoi elle s'amuse avec nous. Et sans vergogne. Allusions à l’Histoire ou aux petites histoires deviennent de subtiles manigances en une certaine nature luxuriante c qi n'empêche en rien l'épure et l'esprit de sérieux..

Mais il ne faut pas se faire d'illusion l’obscurité veille. %ais pas n'importe laquelle ; avec des ombre dedans. C'esst pour une telle poétesse l'occasion de rappeler qu'il est inutile de chercher ç caresser la chimère. Même la plus belle d'entre elles.


Jean-Paul Gavard-Perret