critiqué par JPGP, le 29 septembre 2023
( - 77 ans)

La note: étoiles

Christophe Landour : pauvre France

Cette pièce permet de rappeler à qui l'aurait oublié que se préoccuper de ses amis n'a rien d'une sinécure. Les ennemis sont en effet plus aimables. Pour preuve la cravate (des plus innommable) que le héros va recevoir en fin de pièce par ses amis se détestent aimablement.

C'est pourquoi et malgré le titre de l'ouvrage ce n'est pas la cravate qui est en question mais cet aéropage d'intellos plus ou moins décervelés et minables. Tous semblent faire partie d'un monde suranné mais qui existe sans doute dans certains restos parisiens semi branchés et salon du même tabac où un tel accessoire de mode démodé est encore de mise.

Jean-Paul Gavard-Perret