Otto ore
de Enzo Crispino

critiqué par JPGP, le 21 septembre 2023
( - 77 ans)


La note:  étoiles
Enzo Crispino et le travail humain
Enzo Crispino vit sa passion pour la photographie avec une inquiétude permanente, celle d'être un artiste autodidacte. Il vit cela comme un complexe mais bien à tord.

Pour preuve "Otto re" et sa manière d'objectiver le réel là où ceux qui travaillent pour usiner des objets ne sont présents que de manière aporique.

D'où la prégnance, par leur absence, de ce qui est montré, là où une forme d'onirisme rejoint la réalité pour la faire surgir.

là où le photographe travaille les formes, les volumes, les couleurs, la lumière et ce pour fixer déjà en une sorte d'"éternité" à ce qui va advenir.

Jean-Paul Gavard-Perret