Darwyne
de Colin Niel

critiqué par Tanneguy, le 17 janvier 2023
(Paris - 84 ans)


La note:  étoiles
Drame en Guyane amazonienne
Après quelques pages, j'ai failli abandonner tant le récit me paraissait à la fois convenu et improbable. Ce qui m'a poussé à continuer, c'est lorsque j'ai compris qu'il se déroulait en Guyane, dans un bidonville désolé en bordure de la forêt amazonienne.
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Darwine est un jeune garçon contrefait qui vit avec sa mère seul sauf quand celle-ci "embauche" des amants qui apparaissent subitement puis disparaissent sans laisser de traces. La vie à trois dans un taudis de quelques mètres carrés carrément insalubre soumis à des conditions climatiques insupportables. L'enfant semble adorer sa mère qui paraît lui rendre la pareille.

Mais des bruits, puis des signalements anonymes bien sûr, attirent l'attention des services de protection à l'enfance, particulièrement débordés. Le lecteur va découvrir la vérité progressivement, et sera entrainé dans la forêt vierge proche dans laquelle l'enfant se déplace avec facilité (il n'a que dix ans ! ).

Quelques passages intéressants mais beaucoup d’invraisemblances