Les papillons du mal
de Graham Masterton

critiqué par Aaro-Benjamin G., le 19 octobre 2004
(Montréal - 54 ans)


La note:  étoiles
sans déplaisir
Bonnie dirige une entreprise de nettoyage des scènes de crime. Un boulot plutôt original et sinistre qui installe l’ambiance lugubre de ce roman. Dans sa vie privée, l’équilibre de la famille est chancelant et elle cherche une étincelle. Au fil de ses contrats de nettoyage, elle découvre soudainement d’étranges chenilles noires qui s’avèrent un symbole d’une légende aztèque, et qui vont faire basculer sa vie.

Il s’agit ici de mon premier livre de Masterton, grand maître de l’horreur. Un bouquin apparemment au style différent de ce que l’on peut s’attendre de cet auteur. Le récit est fluide et étonnement faible en suspense pour le genre. Néanmoins, j’ai été charmé par l’atmosphère étrange et la quête de liberté de ce personnage de femme forte. On passe un bon moment qui nous entraîne loin de notre routine.