En fait, ce livre m'a vachement laissé sur ma faim et m'a donné un arrière goût de déjà vu. ( J'avais lu peu de temps avant les emmurés, avec lequel j'ai trouvé un peu trop de similitudes. )

Si les situations abracadabrantes ne me gênent pas, on va dire que toute cette histoire est loin de rendre hommage aux autres œuvres de l'auteur.

Brussolo peut faire mieux niveau terreur, BEAUCOUP mieux. Un bon moment, mais sans plus pour moi.

Monkey - - 37 ans - 19 mars 2010

Présentation de l'éditeur
Modèle nu, Jeanne doit poser pour un sculpteur dont l'atelier est installé au coeur de la maison Van Karkesh. Un hôtel particulier au passé trouble, dont le propriétaire fut jadis retrouvé coupé en morceaux dans la cage des fauves, au jardin zoologique voisin. Là tout n'est qu'angoisse, malédictions et obscurité. La bâtisse semble abriter mille crimes impunis, et tout autant de secrets. Chaque fois qu'elle commet l'erreur de s'y endormir, Jeanne est visitée par des rêves dangereux qui font d'elle une stigmatisée dont le corps se couvre de blessures inexplicables. Est-elle folle, ou victime d'un jeu dont les règles lui échappent? qui complote contre elle, les locataires ou les fantômes?


personnellement je n'ai pas aimé ce roman. il a beaucoup de longueurs et de situations abracadabrantes. le point positif c'est quand on lit un autre roman on est assuré de le trouver meilleur. c'est le deuxième roman que je lis de cet auteur le premier était la fille de la nuit que j'avais apprécié. les deux romans ne sont pas comparables.

Pinapi - - 71 ans - 16 juillet 2007

C'est le premier livre de Brussolo dans lequel je me plonge, et je dirais qu'il vaut bien le contexte qui m'a fait l'acheter : pas grand-chose d'autre, ce jour-là, en magasin. J'ai trouvé cette histoire grotesque, bourrée de clichés aussi navrants les uns que les autres (ah, les murs qui respirent le mal ! ah, les pauvres animaux du zoo enfermés dans leur cage et que plus personne ne vient nourrir !) Passé 14-15 ans, et à condition de n'être pas très regardant sur le style, je vois mal comment on peut apprécier ce genre d'inepties.

Seraphina - SAINT QUENTIN - 54 ans - 4 mars 2005