Le jour et l'heure
de Guy Bedos

critiqué par Catinus, le 24 juin 2020
(Liège - 73 ans)


La note:  étoiles
Du bon Bedos
Le narrateur est réalisateur de films, de longs métrages. Il est divorcé, a deux enfants (peut-être trois), une ou deux maîtresses. Désabusé, arrivé en fin de vie, il s’adresse à tout ce petit monde.
D’inspiration plus ou moins autobiographique.
Amusant à lire, du bon Bedos, quoi.

Extrait :
Les pervers narcissiques. « Sous l’influence de leur soi grandiose, ils essaient de créer un lien avec un deuxième individu, en s’attaquant tout particulièrement à l’intégrité narcissique de l’autre afin de le désarmer. Ils s’attaquent aussi à l’amour de soi, à la confiance en soi, à l’auto-estime et à la croyance en soi de l’autre. En même temps, ils cherchent d’une certaine manière, à faire croire que le lien de dépendance de l’autre envers eux est irremplaçable et que c’est l’autre qui les sollicite. »