L'amour, la mort
de Dan Simmons

critiqué par Martell, le 21 juin 2004
( - 61 ans)


La note:  étoiles
Cinq nouvelles
Tous ceux qui aiment les écrits de Dan Simmons que ce soit du type Hypérion ou L'Homme nu vont peut-être apprécier ce livre et découvrir combien cet écrivain maîtrise tous les niveau d'écriture.
Le point commun entre ces histoires est fidèle au titre. Et j'ajouterais une certaine lassitude chez le personnage principal de chacune d'entre elle. On passe par le Vietnam, la Thaïlande, le Dakota du Sud (Simmons a des ancêtres amérindiens) et par la France de 1917. Cette dernière histoire 'Le grand amant' vaut le livre à elle seule. Je m'explique:
Ce n'est plus Simmons qui écrit, il nous fait découvrir les notes, chansons et poèmes d'un écrivain au talent fou peu connu puisque mort dans les tranchées. Ce J.E. Rooke nous permet de voir quelques moments de ce temps maudit. Je ne peut pas en dire plus sous peine de vous priver de la surprise finale.

Une seule recommandation, ne lisez l'Avant-propos qu'après avoir terminé le livre. Du moins c'est mon point de vue, j'aime pas trop quand l'auteur résume lui-même ses histoires avant que nous puissions d'abord les lire. Mais par après, c'est bon.

Et encore,
sauf pour 'Flash-back' il n'y a nulle trace de science-fiction ou de fantastique. Donc ceux qui sont surtout attirés par ce genre risque d'être, comme moi, assez déçu de ce bouquin.
Sans intérêt 2 étoiles

Ce livre, m'a énormément déçue, moi qui avait été épatée par Dan Simmons en lisant Nuit d'été. J'ai trouvée ces nouvelles absolument sans intérêt, la magie n'était pas au rendez-vous.

Janiejones - Montmagny - 39 ans - 15 mai 2007