L'Assassin royal, tome 10 : Serments et deuils
de Robin Hobb

critiqué par Cuné, le 12 juin 2004
( - 57 ans)


La note:  étoiles
Accro ! et en manque....
Une merveille que ce 10° tome.
Encore une fois, nous ne bougeons pas de Castelcerf, mais de nombreuses actions se déroulent. Un clan d'Artiseurs se forme pour Devoir, sauvant la vie de Fitz une nouvelle fois aux portes de la mort. Devoir apprend toute la vérité, Umbre sucre de plus en plus les fraises, les négociations prennent forme avec le lignage, et en fin de livre l'épopée vers le dragon s'apprête à se mettre en route...

Impossible de lâcher en cours une telle lecture... On voudrait avoir des nouvelles de tout le monde mais hélas 300 pages ça passe trop vite. AAAAh mais quand donc interviendra vraiment Ortie ?....

Je n'aime pas du tout le dessin de Fitz en couverture... Je le vois plutôt sous les traits de Robert Hossein à l'époque d'Angélique... Avec une belle cicatrice pleine de charme...

C'est un deuil pour moi de devoir attendre le tome 11 El sait quand.... Mais je me fais le serment de me jeter dessus ;o)
Lignage 7 étoiles

Assurément moins haletant que le volume précédent, ce dixième tome reste néanmoins très agréable à lire. L’action se base principalement sur les rapports entre le lignage, les pies et la couronne et se termine par la préparation du voyage vers les îles d’outre-mer. Beaucoup de questions restent quand même en suspens ce qui assure l’intérêt et les rapports compliqués entre Tom Blaireau et Sire Doré sont toujours aussi forts et mystérieux. De toute façon, me voila depuis bien longtemps accro à cette série et je ne suis pas près d’en décrocher.

Kabuto - Craponne - 64 ans - 25 septembre 2011


Encore une réussite ! 10 étoiles

Au départ, dans l'édition originale, "Royal Assassin" est la première trilogie qui comporte les 6 premiers tomes, et "Tawny Man" (comprenez l'homme fauve, ou l'homme doré) est la seconde qui comprend les 4 derniers ; "Serments et Deuils" est le tome français qui clot le second tome de la deuxième trilogie anglaise, id est "Golden Fool". C'est donc un tome où les choses se précipitent, plein de révélations.
Comme d'habitude, on avait laissé Fitz au milieu de ses interrogations métaphysiques, et c'est dans celles-ci qu'on le retrouve ; histoire d'amour, de fesses, remords, questionnements : que de bonnes choses au programme.
L'Assassin Royal est une série fantastique : la seule où le héros souffre et se plaint tout au long des treize tomes, pour notre plus grand bonheur, sans jamais nous lasser !
Ce tome verra la formation d'un clan d'Art, des négociations sur le Vif, la magie des bêtes, des préparatifs de voyage, les mises augmentent, les méchants approchent et les gentils doivent partir. Une seule solution : lire la suite, le 11ème tome, "Le dragon des glaces" : un titre niais, pour un livre loin de l'être (bientôt critiqué par mes soins!).

Poupi - Montpellier - 34 ans - 23 septembre 2006


Plongée en plein dedant pour le moment.........passionnée 10 étoiles

Je suis en train de finir ce tome 10 (page 315 de l'édition Pocket) et je suis totalement captivée, je ne pense plus qu'à ça. Certaines personnes, dont moi il y a deux ans de ça, sont entièrement plongées et constamment dans un jeu vidéo, ils ne jurent que par ce jeu, chaque personne de la vraie vie, chaque attitude, chaque mouvement ou parole sera comparé à une chose de ce jeu : et bien pour moi c'est pareil mais avec ce livre !!!!!
Dans le rue, je vois Burich partout, Ketricken aussi et parfois même j'aperçois le seigneur Doré je compare un chien-loup avec Oeuil-de-Nuit et j’imagine la vie avec l'art et le vif ; cette série m'aura changée et ce tome 10 en particulier : il est certes court mais captivant un des plus captivants peut-être même le plus captivant on pourrait le lire d'un trait sans manger, bailler ou même ciller tellement c'est passionnant.
De plus la couverture (en Pocket, pas chez Pigmalyon) est superbe et si nous ne savions pas l'age de Fitz, (à savoir environ 35-38 ans) jamais, jamais nous ne pourrions le deviner, à travers le livre autant que la couverture, Tom Blaireau alias Fitz est grand, jeune bien qu'amoché, revigoré, et dans toute sa splendeur, encore peu montrée à se jour, il est montré sous un jour nouveau, un jour qui le met si bien en valeur que toute personne qui l'aurait trouvé vieux et qui aurait été lasse de cette série changerait radicalement d'avis!!!!

Grained'écrivain - Strasbourg - 32 ans - 28 mars 2006