L'Empreinte de la bête
de Pierre Bellemare

critiqué par Catinus, le 20 juin 2018
(Liège - 73 ans)


La note:  étoiles
De petites merveilles
Cinquante histoires où l’animal joue un rôle de très à assez important, racontées par un grand conteur. Toutes intéressantes ( = dignes d’intérêt). J’ai tout particulièrement pointé :

- « La bête qui valait une fortune » : que m’a donné Jane le jour de mon anniversaire ?
- « Le corbeau du Romain » : combat singulier entre un Romain, un Gaulois et un corbeau en 360 avant J.C.
- « Il faut sauver Pussy » : Pussy, la chatte, a-t-elle été empoisonnée au corned beef ?
- « Le paradis de animaux » : Cui-Cui, le poussin sans plume et Dick le chien.
- « Les huit pattes de la peur » : Jean-Paul Steiger, l’ami des animaux.
- « Le retour des hirondelles » : des hirondelles sauvent tout un village.
- « Les dauphins nous aiment » : et Jack le dauphin n’a pas la mémoire courte …
- « La loutre du roi » : celle de Pologne est une vraie terreur.
- « Les griffes du chat » : le chat Indiana et les trois sœurs californiennes.
- « Un bien curieux cheminot » : et Glasgow le chien, Jack le babouin.
- « La grand-mère immobile » : et son chien Galopin.
- « Un gros gibier » : ou les malheurs de François le chasseur.

Bref, de petites merveilles !