critiqué par Hervé28, le 10 juin 2018 (Chartres - 55 ans)
La note:
Inégal
Un album, à mon avis, où tout s'enchaine trop vite. Nous avons pas le temps de nous attacher aux personnages. J'ai eu du mal à m'intéresser au destin fou d'Anatoli Lenski dans Moscou occupé par les troupes de Napoléon.
Reste le dessin de Stéphane Perger, que j'avais découvert sur la trilogie assez réussie d’ailleurs de "Sir Arthur Benton", qui nous gratifie de belles planches,(en particulier page 32 avec le départ de l'Empereur) rehaussée par des couleurs dignes du brasier lancé par le célèbre Gouverneur de Moscou, le comte Rostopchine.