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Les lettres de Capri critiqué par Jules, le 22 février 2001 La note: 
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| Un très bon livre | |||||||
| Ce livre commence par les retrouvailles à Rome de deux amis américains. L'un, ancien employé de l'Unesco à Paris, l'autre travaillant dans le cinéma. Harry Perkins, l'ancien de l'Unesco, va entamer la rédaction d'un scénario qu’il espère que son ami lui achètera. Commence alors une toute autre histoire, celle de la vie d'Harry et de sa femme, également américaine. Nous sommes en Italie sous l'occupation américaine. Des combats ont encore lieu dans le nord. Harry va rencontrer une infirmière, Jane, dont il tombera amoureux et dont il finira par faire sa femme. Mais, parallèlement, il est totalement sous le charme d'une très belle italienne qui se nomme Dora. Cette femme le hante, il n’y a pas d’autres mots ! il ne peut s'empêcher de penser à elle, de se priver de la voir et de la toucher, de coucher avec elle. Il se doute qu'elle arrive à survivre en se livrant un peu à la prostitution, mais cela ne change rien à l'attraction irrésistible qu’elle exerce sur lui. Quelques années plus tard, la guerre finie, nous sommes en Amérique ou à Paris. Harry a un enfant, vit avec sa femme qu’il aime toujours, mais n'a en rien oublié Dora. Un jour, pour une raison de santé, ils décident que sa femme et son enfant iront à Capri pour se refaire une santé. En effet, sa femme semble un peu neurasthénique. Lui, il en profitera pour revivre une folle passion avec Dora. Aller à Rome n'est pas trop difficile pour lui, vu son boulot à l’Unesco à Paris. Le sentiment de sa faute, de sa trahison envers sa femme ne change strictement rien à son comportement. Il est attaché à Dora comme par un fil invisible et indestructible. Soudain, voilà que tout bascule !… Jane livre également sa propre confession... Un récit dévorant, très psychologique, avec des personnages déchirés par leur dualité, mais incapables de faire autrement. La suite et la fin à l’écran ! |
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