Insoumission. Journal 2016
de Renaud Camus

critiqué par Vince92, le 26 mars 2017
(Zürich - 47 ans)


La note:  étoiles
Une année de combats
Comme il le fait à plusieurs fois remarquer dans ce journal, Renaud Camus déplore le peu de succès qu'il a dans son combat politique. Alors que l'évidence crève les yeux, que notre pays et l'Europe toute entière succombent au fameux Grand Remplacement de sa population et subissent tous les jours les affres de ses conséquences, les responsables politiques, qui devraient conduire les destins des nations qui leur sont confiées préfèrent discuter des questions subalternes ou à l'extrême, favorisent le mouvement.
Nous suivons donc Renaud Camus dans son combat d'arrière-garde, de conférences données partout en France en interviews plus ou moins honnêtes dans les grands et petits media. Nous suivons également l'auteur dans son activité artistique, peinture et photographies.
Mais surtout Renaud Camus se révèle un farouche partisan de la langue française, de son art, de son "génie" en quelque sorte. Nonobstant, les insultes et les raccourcis faciles, Renaud Camus continue son combat: il vit tout simplement son existence telle qu'il l'entend, debout, insoumis, menant ses luttes d'écrivains qui, avec le recul, se révèleront sans aucun doute la colonne vertébrale intellectuelle de notre temps: Un combat méta-politique fondamental pour notre civilisation.