La morte survit au 13
de Stanislas-André Steeman

critiqué par Catinus, le 25 octobre 2016
(Liège - 73 ans)


La note:  étoiles
Ca tient encore la route
« Madame Adèle, veuve d'Albert, continue de tenir sa maison close au 13 de la rue des Cultes. Les notables de la ville viennent y retrouver les jeunes filles, dont Odile qui arrondit les fins de mois en faisant de la voyance. Un soir qu'un veuf vient faire tourner les tables avec elle, et qu'il interroge sa femme décédée pour savoir comment elle est morte, une armoire tombe, tuant Odile. La police ne tarde pas à découvrir que l'armoire a été volontairement poussée. Qui avait intérêt à ce qu'Odile se taise ? Ou plutôt, à ce qu'une morte ne puisse révéler les circonstances de sa propre mort ? »

Sans aucun doute, S.A. Steeman a dû éprouver beaucoup de plaisir en écrivant la plupart de ses romans. Il a du même se bidonner vu que toutes ces pages sont emplies d’un humour presque burlesque, un humour que l’on pourrait qualifier de « pipelette » … Côtoyer ses semblables devaient constituer pour lui une perpétuelle occasion de rigoler, tant nous sommes ridicules, … n’est-il pas ?
Bon, ça date un peu mais ça tient bien le coup …