Assassin's Creed, T8 : Underworld
de Oliver Bowden

critiqué par Ayor, le 18 juillet 2016
( - 51 ans)


La note:  étoiles
Assassin's creed : huitième acte
Dernier volet, à ce jour, de la saga issue du célèbre jeu, cette aventure se déroulant cette fois à Londres au XX ème siècle se classe dans la bonne moyenne et relate le parcours des Assassins de cette ville : Ethan Frye, ses deux enfants, Jacob et Evie, et Jayadeep Mir, alias Henry Green, un membre du credo venu d'Inde formé en grande partie par Ethan.

De l'action, des combats, et cette lutte séculaire acharnée et interminable entre les Assassins et les Templiers dont on pourrait décliner à l'infini le conflit mortel : voici donc ce que propose Oliver Bowden, dont le style et l'écriture agréables nous plongent avec plaisir dans une ambiance londonienne souvent sale et glauque, parmi une population pauvre souvent recluse dans les immondices de la métropole, et subissant les insupportables inégalités sociales de l'époque.