Le contrat Salinger
de Adam Langer

critiqué par Tanneguy, le 18 novembre 2015
(Paris - 84 ans)


La note:  étoiles
Un drôle de contrat !
Un écrivain à succès se voit proposer d'écrire un roman dont le commanditaire sera le seul lecteur. Assez original ! La quatrième de couverture décrit très bien cette intrigue, les cinquante premières pages du roman ne disent pas autre chose, au sens propre du terme, c'est à dire que le lecteur n'apprendra rien de plus ; il est en droit de se lasser.

Par la suite les choses bougent un peu mais c'est laborieux, d'autant que l'auteur cite en permanence des auteurs américains que le lecteur français ignore souvent, à juste titre parfois. Le dénouement est obscur, d'autant plus si l'on n'a pas tout suivi. On peut oublier !