Michelangelo et le banquet des damnés
de Didier Convard

critiqué par Palmyre, le 8 septembre 2015
( - 62 ans)


La note:  étoiles
Déçue.
Quatrième de couverture:

Milan, 1508. Un matin d'avril, la tête d'un architecte récemment installé en ville est retrouvée dans le baptistère de Saint-Ambroise.
Chargé d'enquêter sur cette affaire, le prévôt Vittore, pourtant connu dans toute l'Italie pour sa brillante intelligence, est bien en peine d'en démêler les fils. Ce célibataire endurci est-il à ce point troublé par la ravissante veuve de la victime, qui en sait sans doute plus qu'elle n'en dit ?
Rien dans ce meurtre n'est ordinaire. Ni l'attitude de l'évêque de Milan, qui semble redouter le pire des cataclysmes, ni l'arrivée subite du célèbre Michelangelo, qui a dû pour cela abandonner la fresque qu'il est en train de peindre à Rome, dans la chapelle de Sixte. Mais le plus troublant demeure ce plat d'argent où reposait la tête tranchée, et sur lequel sont grossièrement gravés ces trois mots : VENIT IUSTITIAE SOL - Le Soleil de Justice a brillé.


Voilà un résumé alléchant et je me réjouissais de lire ce roman car j'avais beaucoup aimé la série de BD " Le triangle secret". Et bien j'ai trouvé ce livre un peu "plat" , il faut en arriver aux trois quarts pour que les choses démarrent vraiment, j'en attendais un meilleur moment de lecture...